Garches

commune française du département des Hauts-de-Seine

Garches
Garches
L'hôtel de ville, et le parc environnant.
Blason de Garches
Blason
Garches
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Nanterre
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
Maire
Mandat
Jeanne Bécart
2020-2026
Code postal 92380
Code commune 92033
Démographie
Gentilé Garchois
Population
municipale
17 898 hab. (2021 en augmentation de 0,77 % par rapport à 2015)
Densité 6 556 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 43″ nord, 2° 11′ 07″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 164 m
Superficie 2,73 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Cloud
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Garches
Liens
Site web ville-garches.fr

Garches (prononcé [ɡaʁʃ ] ; Écouter) est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France. Située sur le versant d'un coteau, entre le parc de Saint-Cloud et le bois de Saint-Cucufa, la commune est bourgeoise et résidentielle, comprenant de nombreux pavillons.

Garches est également connue par de nombreux accidentés de la route, pour l'hôpital Raymond-Poincaré de réputation internationale, spécialisé en traumatologie, accidents de la route et en rééducation des personnes physiquement handicapées.

Géographie modifier

Localisation modifier

Garches est une commune de la banlieue ouest de Paris, à 11,9 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris[1]. Son altitude[2] est de 98 m pour le point le plus bas, à l'angle de la rue Porte-Jaune et CD 907 et 162 m pour le point le plus élevé, Cité Poincaré (allée de la Marche). La ville se situe à 6 km de la porte de Saint-Cloud et d'Auteuil.

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 269 hectares ; l'altitude varie de 98 à 164 mètres[3].

Les coordonnées géographiques en Lambert-93 du chef-lieu en hectomètre sont : X = 6 403 hectomètres et Y = 68 609 hectomètres. La commune est souvent nommée « la botte de Garches » en raison de sa forme en botte (voir représentation ci-contre).

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 652 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports modifier

Voies routières modifier

Pistes cyclables modifier

L'axe vert majeur, piste cyclable départementale visant à relier l'ensemble des communes du département doit traverser l'ensemble de la commune, du parc de Saint-Cloud à Vaucresson. Bien que son tracé ait été adopté en 2017 par l'établissement public Paris Ouest La Défense, la portion située sur la commune de Garches n'est pas réalisée, même partiellement[10].

Transports en commun modifier

La gare de Garches - Marnes-la-Coquette.

Garches est reliée de plusieurs façons au réseau de transport de l'Île-de-France :

Garches met à la disposition des personnes à mobilité réduite un minibus : L'autre bus[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Garches est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[15] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

Morphologie urbaine modifier

La superficie de la commune est de 273 ha, occupés à 54,7 % par des espaces verts, soit une moyenne de 82 m2 par habitant[réf. nécessaire].

Occupation des sols en 2003
Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 85,63 % 233,80
Espace urbain non construit 14,37 % 39,23
Espace rural 0,00 % 0,00
Source : Iaurif[20]

L’Insee découpe la commune en huit îlots regroupés pour l'information statistique (IRIS), soit Buzenval, La Verboise, Les Bures, Côte Saint-Louis, Mairie, Petit Garches, Porte-Jaune et Poincaré[21].

Logement modifier

Au , la part des résidences principales était de 92,5 %. 58 % des occupants étaient propriétaires et 38 % étaient locataires. 75 % des logements étaient des appartements et le nombre moyen de pièces par résidence principale était de 3,7. L’ancienneté moyenne d'emménagement dans la résidence principale était de 13 ans[22].

Toponymie modifier

C'est dans un texte écrit en 1063 qu'apparaît pour la première fois la commune, sous le nom de Garziacus[23], Gargiæ[23]. Dès le XIVe siècle, on trouve la forme actuelle Garches.

Ernest Nègre[24] suggère le nom d'homme germanique Waracus suivi du suffixe -as. Albert Dauzat et Charles Rostaing[25] y voient une variante du bien connu Guerche issu du francique *werki, ouvrage défensif.

Histoire modifier

Des traces d'habitats préhistoriques des époques paléolithique et néolithique ont été relevées au début du XXe siècle dans une sablière[26].

Première mention du village en 1170.

L'église fondée par Robert de la Marche, fut, en 1297, la première dédiée à saint Louis, qui un an auparavant avait été canonisé[27].

Le territoire de Villeneuve-l'Étang, désormais appelé Marnes-la-Coquette, est séparé de Garches en 1702.

Accroissement du village au XVIIIe siècle, avec l'extension des vignobles.

Le village est très endommagé lors du siège de Paris en 1870. Le , le général Trochu et ses hommes livrèrent en vain les batailles de Montretout-Garches-Buzenval, ce qui anéantit une partie de la ville[26],[28].

Arrivée du chemin de fer en 1884 et percement de la rue menant de la gare à l'église.

Nombreux lotissements dans la période 1875-1925[29].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune était historiquement le chef-lieu du canton de Garches. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Cloud.

Elle dépend pour la police nationale, du commissariat de Saint-Cloud qui couvre les communes de Garches, Marnes-la-Coquette, Saint-Cloud et Vaucresson.

Garches relève du tribunal d'instance[30] ainsi que du tribunal de police de Boulogne-Billancourt[31].

Intercommunalité modifier

Avec Saint-Cloud et Vaucresson, Garches faisait partie de la communauté d'agglomération Cœur de Seine, créée le 1er janvier 2005.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[32].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Paris Ouest La Défense, qui succède à la communauté d'agglomération Cœur de Seine[33].

Tendances politiques et résultats modifier

Depuis 2007, Garches fait partie des 82 communes[34],[35] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter.

Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du , les Garchois ont très majoritairement voté pour la Constitution européenne, avec 72,46 % de Oui contre 27,54 % de Non avec un taux d’abstention de 25,01 % (France entière : Non à 54,67 % - Oui à 45,33 %)[36].

À l’élection présidentielle française de 2007[37], le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 49,78 % soit 5 229 voix, suivi de François Bayrou avec 21,24 % soit 2 231 voix, puis de Ségolène Royal avec 16,79 % soit 1 764 voix, et enfin de Jean-Marie Le Pen avec 5,41 % soit 568 voix, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 5 %. Au second tour, les électeurs ont voté à 70,02 % soit 7 010 voix pour Nicolas Sarkozy contre 29,98 % soit 3 002 voix pour Ségolène Royal, résultat beaucoup plus tranché que la moyenne nationale[38] qui fut, au second tour, de 53,06 % pour Nicolas Sarkozy et 46,94 % pour Ségolène Royal. Pour cette élection présidentielle, le taux de participation a été très élevé. On compte 18 455 inscrits sur les listes électorales garchoises, 88,76 % soit 10 613 voix ont participé aux votes, le taux d’abstention fut de 11,24 % soit 1 344 voix, 1,03 % soit 109 voix ont effectué un vote blanc ou nul et enfin 98,97 % soit 10 504 voix se sont exprimées.

À l'élection présidentielle française de 2012, le premier tour a placé en tête Nicolas Sarkozy avec 49,38 % soit 4 800 voix, suivi de François Hollande avec 21,51 % soit 2091 voix, puis de François Bayrou avec 11,43 % soit 1 111 voix, et enfin Marine Le Pen avec 8,14 % soit 791 voix. Au second tour, les électeurs ont voté à 65,76 % pour Nicolas Sarkozy contre 34,24 % pour François Hollande, un résultat contrasté avec la moyenne nationale qui fut de 51,64% soit 18 000 668 voix pour François Hollande et 48,36 % soit 16 860 685 voix pour Nicolas Sarkozy. Le taux de participation à cette élection a été élevé, de l'ordre de 83,97 %, avec 12 388 inscrits et 10 402 votants, soit un taux de votes blancs et nuls de 3,89 %.

À l'élection présidentielle française de 2017, le premier tour a vu arriver en tête François Fillon avec 4 496 voix (soit 42,42 %), suivi de Emmanuel Macron avec 3 314 voix (soit 27,00 %), puis de Jean-Luc Mélenchon avec 1 016 voix (soit 9,59 %) et enfin Marine Le Pen avec 758 voix (soit 7,15%). Au second tour, les électeurs ont voté à 85,21 % pour Emmanuel Macron (7 770 voix contre 14,79 % pour Marine Le Pen (1 349 voix)[39], un résultat bien plus tranché que la moyenne nationale qui fut de 66,10 % pour Emmanuel Macron contre 33,90 % pour Marine Le Pen. Le taux de participation à cette élection a été relativement moins élevé qu'en 2012, avec 12 767 inscrits sur les listes, et 10 792 voix participants au vote[40].

Administration municipale modifier

Le conseil municipal est composé de 33 membres dont le maire et les maire-adjoints[41].

La liste actuelle des élus est consultable sur le site de la mairie[42].

Liste des maires modifier

Jacques Gautier, maire de Garches de 1989 à 2019.
Jeanne Bécart, maire de Garches depuis avril 2019.
Liste des maires de Garches depuis la Libération de la France[43]
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1944 octobre 1945 Léon Emile Bouchet    
octobre 1945 octobre 1947 Jean-Pierre Isnard    
octobre 1947 mars 1959 Marcel Chappey    
mars 1959 mars 1971 Joseph Le Rallec Rad.  
mars 1971 octobre 1973 Pierre Gauthier    
octobre 1973 mars 1989 Yves Bodin SE[44],
puis UDF
Avocat
Conseiller régional
mars 1989[45] avril 2019[46] Jacques Gautier[47],[48] RPR,
puis
UMPLR
Conseiller d'entreprise
Sénateur des Hauts de Seine (2011 → 2016)
Conseiller général de Garches (1988 → 2007)
Président de l'Établissement public d'aménagement de La Défense (? →2007)
Vice-président de l'EPT Paris Ouest La Défense (2016 → 2019)
Démissionnaire
avril 2019[49] En cours
(au 2 juin 2023[50])
Jeanne Bécart LR Conseillère départemental de Saint-Cloud (2015 → )
Vice-présidente de l'EPT Paris Ouest La Défense (2019[51] → )

Politique de développement durable modifier

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[52].

Jumelages modifier

Au 1er juillet 2016, Garches est jumelée avec :

La cérémonie officielle de jumelage avec cette ville allemande située à une vingtaine de kilomètres de Munich s'est déroulée le 18 septembre 1994[54].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[55],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 17 898 habitants[Note 4], en augmentation de 0,77 % par rapport à 2015 (Hauts-de-Seine : +2,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6026056806707949761 1201 2101 256
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3391 4431 4551 2351 3661 6071 8372 0402 602
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 3333 8474 3075 5296 4737 3777 4728 82810 447
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
13 24414 21717 99818 09417 95718 03618 21018 11817 663
2021 - - - - - - - -
17 898--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 20,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 8 384 hommes pour 9 378 femmes, soit un taux de 52,80 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,1 
7,8 
75-89 ans
10,1 
13,9 
60-74 ans
14,8 
22,9 
45-59 ans
22,0 
18,2 
30-44 ans
19,0 
17,5 
15-29 ans
14,7 
19,0 
0-14 ans
17,4 
Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2020 en pourcentage[59]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,6 
5,2 
75-89 ans
7,2 
12,1 
60-74 ans
13,4 
19,3 
45-59 ans
19,4 
22,6 
30-44 ans
21,9 
20,1 
15-29 ans
18,8 
20,1 
0-14 ans
17,5 

Au , le nombre de ménages était de 17959, en augmentation de 363 par rapport à 1999. La part des ménages dont la personne de référence est active est de 71 %, et le nombre moyen de personnes par ménage était de 2,4[22].[Passage à actualiser]

Enseignement modifier

Garches est située dans l'académie de Versailles.

Établissements scolaires modifier

La ville administre trois écoles maternelles : Pasteur-Maternelle , Saint-Exupéry ; ... et trois écoles élémentaires communales : Pasteur-A , Pasteur-B , et Gaston-Ramon . Elle dispose par ailleurs d'une école privée catholique : l'école Jean-Paul-II. Le département gère un collège, le collège Henri-Bergson.

Manifestations culturelles et festivités modifier

JEMA 2021 modifier

En 2021, pour la première fois, la ville de Garches va participer aux Journées européennes des métiers d'arts, les 10 et 11 avril. Intitulé « Reprendre la main : de l’art à l’artisanat, la création en métiers », le projet de la ville va permettre au public de découvrir sur le site www.ville-garches.fr et les réseaux sociaux le savoir-faire d’artisans d’art garchois (ébéniste, peintre en décoration, restauratrice de tableaux…) mais aussi le travail des élèves et des professeurs de cordonnerie / botterie de l'EREA Jean-Monnet, tout en s’informant des formations aux métiers de l’artisanat.

Concours photo sur le patrimoine modifier

L’hôpital Raymond-Poincaré.

En 2014, le Collectif Coteaux de Seine associations qui regroupe 11 associations des 5 communes : Garches mais aussi Marnes-la-Coquette, Saint-Cloud, Vaucresson et Ville-d'Avray organise un concours photo jusqu'au 10 janvier 2015 pour faire découvrir la richesse du patrimoine local ; patrimoine bâti et naturel : Le Patrimoine, aimez-le, photographiez-le, partagez-le !

Sports modifier

En 2010, le club EPAM, par l'intermédiaire des patineurs Pierre Mériel et Prescillia Henneguelle, ramène des championnats d'Europe et du championnat du monde, en catégorie Junior, la première médaille d'or française en couple danse.

La municipalité a mis en place des séances de sport gratuites et accessibles à tous sans inscription, les samedis matin. Initialement, ces séances se déroulaient dans le parc Jacques-Chirac, situé devant la mairie. Elles se déroulent désormais sur le stade Léo-Lagrange.

Santé modifier

Le 18 janvier 2021, la municipalité a obtenu l'accord de la préfecture des Hauts-de-Seine pour accueillir l'un des 12 centres de vaccination[60] initialement prévus dans les villes du département, dans le cadre de la pandémie de Covid-19. Rapidement, de nombreux professionnels de santé (infirmières et médecins) se sont mobilisés pour assurer la vaccination du plus grand nombre, en partenariat avec les sections locales de la Croix-Rouge[61] et de la Protection civile.

La ville a également été pilote[62] pour la vaccination à domicile des personnes handicapées et / ou isolées qui se trouvaient dans l'incapacité de faire le déplacement jusqu'au centre de vaccination installé au sein de la médiathèque Jacques-Gautier[63].

Médias modifier

En plus des professeurs de référence de l'hôpital Raymond-Poincaré, interviewés à de multiples reprises dans le cadre de l'épidémie de Covid-19, qui ont pu mettre la ville de Garches à l'honneur[64], l'ouverture du centre de vaccination et la politique de la municipalité de Garches dans ce domaine ont donné suite à plusieurs reportages dans la presse nationale et régionale[65],[66].

Cultes modifier

Les Garchois disposent de lieux de culte catholique.

Culte catholique modifier

Depuis janvier 2010, la commune de Garches fait partie du doyenné des Collines, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[67].

Au sein de ce doyenné, le lieu de culte catholique est l'église Saint-Louis qui relève de la paroisse Saint-Louis[68],[69].

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 47 599 , ce qui plaçait Garches au 490e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[70].

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[71].

Monuments et sites, inventaire au 31 décembre 2005
Intitulé Ensemble classé Ensemble inscrit
Ancien hospice Brézin : ensemble des bâtiments et chapelle x
Intitulé Monument classé Monument inscrit
Villa de M. Nubar par A. Perret, 75 rue du 19-Janvier x
Intitulé Site classé Site inscrit
Jardins et laboratoires du Docteur-Debat x
Bois de Fausses-Reposes x
Domaine de Saint-Cloud avec le parc de Villeneuve-l'Etang x
Hippodrome de Saint-Cloud x
Source : Iaurif[72]

L'église Saint-Louis modifier

La construction de cette église a démarré dès la canonisation de saint Louis en 1298, comme en témoigne la plaque commémorative à l'entrée de l'église[73]. C’est la première église en France à être consacrée à saint Louis[74]. L'église d'origine, construite en 1209 a été partiellement détruite en 1871 lors de la bataille de Buzenval. Reconstruite en 1876 par l'architecte Blondel et l'entrepreneur Tillet, c’est l’église que l’on voit aujourd’hui. Le cimetière qui lui était accolé fut déplacé en 1930. La restauration de l’église a débuté en 1980 par les vitraux du 19e puis en 1983 par la restauration de l’orgue d’origine, totalement rénové et agrandi. La flèche a été reconstruite en 1988, la croix a été bénie en 1989, le tympan sculpté en 1990, la rénovation de l’intérieur en 1995 suivie de celle des façades[75]. Une cloche, datée de 1787, a été classée à l'inventaire des monuments historiques le 27 avril 1944[76].

La maison de Louis Pasteur modifier

En 1884, Louis Pasteur utilisa une propriété de Villeneuve-l'Étang pour ses recherches. Aujourd'hui, cette propriété est une annexe de l'Institut Pasteur et se trouve sur le territoire voisin de la commune de Marnes-la-Coquette.

Monument commémoratif des combats de 1871 modifier

Le nord de Garches a été marqué par les combats du 19 janvier 1871, lorsque les Parisiens assiégés ont tenté de forcer le blocus allemand pour rejoindre les troupes françaises de Versailles. Des monuments commémorent cet évènement, rue du 19-Janvier et rue du Colonel-de-Rochebrune.

L'école modifier

Les bâtiments de l'école primaire Pasteur-B ont été construits en 1907 par L. Larlat, architecte communal et par Beaudoin, entrepreneur, et surélevés d'un étage en 1908 ; les préaux ont été supprimés en 1930[77].

L'ancien hospice Brézin modifier

Les bâtiments de l'école primaire Pasteur-B ont été construits en 1836. Les façades et toitures de l'ensemble des bâtiments ainsi que la chapelle ont été classées à l'inventaire des monuments historiques le 28 septembre 1978[78].

Il convient de ne pas confondre ces bâtiments avec ceux de l'hospice de la Reconnaissance, construit entre 1837 et 1846 par Pierre Gauthier, prix de Rome, sur un terrain et avec des fonds légués à l'Assistance publique par Michel Brézin. L'hospice est transformé en hôpital et de 1932 à 1936 puis l'hôpital Raymond-Poincaré est construit à l'arrière et à l'est de l'hospice[79]. Le nom du président de la République Raymond Poincaré, président du 18 février 1913 au 18 février 1920 et président du Conseil des ministres après cette date, décédé le 15 octobre 1934 à Paris 16e lui a été donné.

Le parc du domaine des Quatre-Vents modifier

Ce parc, situé 29 bis rue du 19-Janvier, présente des jardins remarquables[80].

Fondation Casimir Davaine modifier

Cette maison, situé 23 avenue de Brétigny, a été construite entre 1870 et 1880 pour Casimir Joseph Davaine (1812-1882), biologiste émérite, précurseur de Pasteur. Elle a été léguée en 1891 par la veuve de Davaine à l'Assistance publique pour y créer un centre de convalescence pour filles entre 4 et 12 ans de toute religion[81].

Cité ouvrière du Docteur-Debat modifier

Cette cité, située 151-153 rue de Buzenval, a été construite à proximité du laboratoire Debat de 1947 à 1956 par l'architecte René Crevel. Elle comprend sur deux hectares une salle des fêtes, une garderie d'enfants, un tennis et une vingtaine de maisons pour loger cinquante familles du personnel du laboratoire. Certaines maisons sont ornées de fresques exécutées en 1954 par Clément Serveau[82].

Cimetière de Garches modifier

Patrimoine culturel modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique, logotype et devise modifier

Armes de Garches

Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

D'argent à la croix pattée de gueules cantonnée en chef à dextre d'une feuille de vigne de sable, en chef à senestre et en pointe à dextre d'un mur plein maçonné de sable, en pointe à senestre d'une feuille de chêne de sable, sur le tout d'azur à la fleur de lys d'or.

L'azur à la fleur de lys d'or fait référence à saint Louis, roi de France, et patron de la paroisse de Garches. La croix pattée de gueules est une référence aux croisades auxquelles il a participé. Les deux murs maçonnés de sable font référence aux deux briqueteries ayant été établies sur la ville. La feuille de vigne rappelle les nombreuses vignes présentes au XIXe siècle et la feuille de chêne rappelle les forêts des alentours.

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Bibliographie modifier

  • Catherine Sart, Garches, arrêt sur images, 1999.
  • Collectif, Saint-Louis en toute confidence, plaquette consacrée à l'église Saint-Louis, éditée par la société historique de Garches, janvier 2007, 100 pages[83].

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

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  47. « Élections sénatoriales : les biographies des élus », Le Monde,‎ (lire en ligne) « Jacques Gautier, 65 ans, sénateur sortant, écarté de la liste UMP officielle, le maire de Garches mène une liste dissidente. Ce qui lui vaut d'avoir été suspendu de son parti. Entré au Sénat en 2007 en remplacement de Roger Karoutchi nommé au gouvernement, il a été élu conseiller général en 1993. Il en a été premier vice-président de 2004 à 2007. Il préside l'Association des maires des Hauts-de-Seine ».
  48. « Démission du maire de Garches », Le Monde,‎ (lire en ligne) « Ce " réaménagement technique " voulu par le maire de Garches va lui permettre de ne pas reconduire dans leur fonction trois de ses adjoints qui ont déjà perdu leur délégation, Isabelle du Saillant (UDF), sœur de Valéry Giscard d'Estaing, qui était chargée de la culture, Bernard Bornette (RPR), adjoint aux finances, et Guy de Murat, qui s'était vu confier le secteur du logement ».
  49. Anissa Hammadi, « Jeanne Bécart élue maire de Garches à la surprise générale : Lors de l’élection du nouveau maire samedi matin, le magistrat (LR) démissionnaire, Jacques Gautier, avait désigné son successeur, Yves Menel. Mais c’était sans compter la candidature de son adjointe à la culture », Le Parisien, édition des Hauts de Seine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. David Livois, « Municipales à Garches : l’héritier déchu rêve de revanche face à la maire sortante : Jeanne Bécart, la maire sortante, et Yves Menel, se disputent les voix de droite face à la candidate de gauche Françoise Guyot. Le second se voyait déjà maire, il y a un an. », Le Parisien, éditio du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il y a de la revanche dans l'air à Garches. Moins d'un an après la succession rocambolesque du maire démissionnaire Jacques Gautier (LR), marquée par l'élection surprise de sa deuxième adjointe Jeanne Bécart (LR), le conseiller départemental Yves Menel (SE) rêve de laver l'affront. Car c'est à l'ancien premier adjoint au maire que le fauteuil semblait promis, en avril dernier (...) Têtes de liste : Jeanne Bécart (LR, soutien de LREM, UDI et MoDem) ; Yves Menel (DVD) ; Françoise Guyot (DVG, soutenue par EELV ».
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