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John Cockerill (entreprise)

groupe d'ingénierie et de maintenance
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Pour les articles homonymes, voir CMI et John Cockerill (homonymie).

John Cockerill
logo de John Cockerill (entreprise)
illustration de John Cockerill (entreprise)
Le véhicule d'interception terrestre Cockerill i-X lors de l'IDEX 2023.
Création 1817
Dates clés 1982 : devient une filiale de Cockerill-Sambre
2002 : est revendu par Usinor à un actionnariat privé indépendant
Fondateurs John Cockerill
Personnages clés John Cockerill, fondateur
Bernard Serin, président depuis 2002
Forme juridique Société anonyme (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social Seraing
Drapeau de la Belgique Belgique
Direction Francois Michel (depuis le 6 Mai 2022)
Actionnaires Drapeau de la France Famille Serin (via Ebenis S.A.) : 80,65 %
Drapeau de la Belgique Dodeca S.A. : 19,35 %
Activité Ingénierie industrielle, industrie de l'armement
Société mère Ebenis S.A.Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 4 470 (2014) ; Belgique : 1 369, France : 1 248, Brésil : 845, Inde : 560, États-Unis : 168, reste (Afrique, Chine, Europe, Nouvelle-Calédonie et Russie) : 280
BCE 0422362447Voir et modifier les données sur Wikidata
TVA européenne BE0422362447Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web johncockerill.com
Fonds propres 132,66 millions d'€ (2014)
Chiffre d'affaires 1,046 milliard d'€ (2022)
1,046 milliard d'€ (2022)
1,014 milliard d'€ (2020)
896 millions d'€ (2014)
647 millions d'€ (2013)
793 millions d'€ (2012)
Résultat net
53,09 millions d'€ (2014)
11,59 millions d'€ (2013)
32,13 millions d'€ (2012)
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John Cockerill, anciennement Cockerill Maintenance & Ingénierie (CMI), est une multinationale belge d'ingénierie et de maintenance basé à Seraing près de Liège, en Wallonie.

Le groupe est actif dans l'énergie (chaudières de récupération de chaleur pour centrales électriques à cycle combiné, chaudières pour centrales thermo-solaires à concentration, stockage)[1], l'armement (systèmes tourelle-canon et simulateurs)[2], l'industrie (complexes complets à froids pour les aciers plats carbone pour la sidérurgie[3], lignes de traitement des aciers et métaux non-ferreux, installations de traitement de surface), l'environnement[4] (installations de traitement des déchets industriels solides, liquides et gazeux et solutions d'efficacité énergétique) et, depuis 2017, dans l'hydrogène[5].

Le groupe est présidé et détenu majoritairement par l'homme d'affaires français et président du FC Metz Bernard Serin[6], ainsi que dirigé depuis 2022 par l'ingénieur français François Michel, ancien de Saint-Gobain[7].

Histoire modifier

Origines modifier

L'origine de CMI remonte à 1817, lorsque le britannique John Cockerill s'installe dans le château des Princes-Evêques de Seraing[8], acheté à Guillaume Ier des Pays-Bas.

John Cockerill y développe des activités de construction mécanique : machines à vapeur, canons, rails de chemin de fer, locomotives, métiers à tisser... Rapidement[évasif], les Établissements Cockerill diversifient leurs activités, investissant notamment dans un haut fourneau pour fabriquer de l'acier. Progressivement, cette activité sidérurgique devient le cœur de métier de l'entreprise, laquelle prit une ampleur considérable au cours des décennies pour devenir un géant mondial de l'acier : Cockerill-Sambre.

1982 : CMI s.a. modifier

Toutefois, l'activité initiale de construction mécanique perdure. Elle est filialisée en 1982 pour devenir CMI s.a[9]. (Cockerill Mechanical Industries). Vingt ans plus tard, en 2002, CMI s.a. s'émancipe de la maison-mère – laquelle intégrera le groupe français Arcelor, puis ArcelorMittal – passant sous le contrôle de deux actionnaires indépendants, l'homme d'affaires français Bernard Serin et l'homme d'affaires belge Pierre Meyers[10].

Sous leur impulsion, le nom de CMI évolue en Cockerill Maintenance & Ingénierie (2004). CMI connait depuis une croissance forte[11],[12]. En janvier 2008, CMI acquiert l'entreprise indienne de fabrication d'outils de laminage FPE[13].

En 2016, Bernard Serin, via sa holding Ebenis, rachète les parts de Pierre Meyers dans l'actionnariat du Groupe CMI[14].

2019 : CMI devient le groupe John Cockerill modifier

En 2019, le nom du groupe change et devient John Cockerill, du nom de son fondateur[15]. En parallèle à ce changement d'identité, l'entreprise poursuit son virage stratégique dans les énergies renouvelables[16].

En 2022, John Cockerill reprend les activités refroidissement du Groupe Hamon, en faillite[17].

En 2024, le groupe John Cockerill prévoit de reprendre l'entreprise française Arquus (ex-Renault Trucks Defense), actuellement détenue par le groupe suédois Volvo, pour consolider sa filière défense et renforcer la coopération européenne en matière de défense[18],[19].

Filiales modifier

Le groupe John Cockerill est composé de six secteurs d'activités : Energy, Defense, Industry, Environment, Services et Hydrogen.

La filiale CMI Defense, spécialisée dans l'industrie de l'armement, est une entreprise française[20] qui change de nom en 2020[21] et intègre la société spécialisée dans la simulation Agueris[22]. En 2005, CMI rachète deux sociétés aux États-Unis, EFCO, active dans les fours de traitement thermique[23], et EPTI, spécialiste des chaudières horizontales[24]. En 2008, CMI s'implante en Inde avec l'acquisition de Flat Products Equipments Limited, spécialisé dans les fours et laminoirs pour la sidérurgie[25]. Dans les années 2012, 2013 et 2014, CMI développe ses activités dans l'environnement : le groupe acquiert les sociétés de traitement de l'air Europe Environnement[26] et de traitement des eaux Proserpol[27] et Balteau[28]. Avec le français Sleti[29] et le finlandais Galvatek[30], John Cockerill se positionne également parmi les leaders mondiaux de la fourniture d'ateliers de traitement de surface pour des industries comme l’aviation et l’automobile.

Actionnariat modifier

Actionnaires du groupe John Cockerill au 18 avril 2024[31]
Actionnaire Part
Drapeau de la France Famille Serin (Bernard Serin et son fils, à travers Ebenis S.A., basé au Luxembourg[32]) 80,65 %
Drapeau de la Belgique Dodeca S.A. (Cadres dirigeants du groupe Cockerill) 19,35 %

Activités modifier

Hydrogène vert et énergies renouvelables modifier

Actif dans l'énergie depuis sa création avec la maîtrise de la vapeur, John Cockerill se développe dans les énergies renouvelables dès les années 2010[33]. En 2018, l'entreprise équipe son site de Seraing de 6.500 panneaux solaires et de différents types de batteries, pour créer la plus grande station industrielle de stockage d’énergie verte en Europe, baptisée MiRIS[34], puis installe des bornes pour la recharge de véhicules[35],[36] et camions électriques[37]. Les ingénieurs de John Cockerill développent également des récepteurs solaires, des générateurs de vapeur et des échangeurs de chaleur à sels fondus qui équipent des centrales thermo-solaires au Chili[38], en Chine[39], aux Émirats arabes unis[40] et en Afrique du Sud[41].

Hydrogène vert modifier

John Cockerill crée en 2018 la co-entreprise Cockerill Jingli Hydrogen pour la production d'électrolyseurs alcalins de grande capacité[42]. Un site est inauguré en 2019 pour la fabrication d'électrolyseurs[43], dont ceux destinés à alimenter en hydrogène vert la flotte de bus circulant au sein du village olympique des Jeux Olympiques de Pékin 2022[44] ou l'industrie des semi-conducteurs à Taiwan[45]. L'entreprise déclare avoir fourni 151 MW de capacité de production d'hydrogène sur un marché global de 450 MW d'électrolyseurs alcalins installés en 2021[46].

En parallèle à la conception et la fabrication d'électrolyseurs, John Cockerill a lancé la construction de nouvelles usines de fabrication d'électrolyseurs en France[47] et en Belgique[48], en Inde[49], au Maroc[50], aux Émirats arabes unis[51] et aux États-Unis[52]. L'entreprise est notamment citée pour la fourniture d'équipements de production d'hydrogène vert dans plusieurs projets en Belgique[53] visant à décarboner l'industrie[54]et la mobilité[55].

En 2023, John Cockerill et Technip Energies ont annoncé la création d'une nouvelle société spécialisée dans la conception et l'équipement de projets d'hydrogène vert[56].

Sidérurgie modifier

Dès son installation à Seraing en 1817, John Cockerill développe la production d'acier et de machines à vapeur. L'histoire de l'entreprise est en partie liée à la sidérurgie, par la volonté du fondateur de disposer de son propre acier pour produire ses locomotives, rails, canons, ponts, etc[57]. L'esprit d'entrepreneur de John Cockerill a persisté au sein de l'entreprise avec, deux siècles après la création des Établissements Cockerill, le développement continu d'équipements de production d'acier performants[58] et innovants comme le Jet Vapor Deposition[59] ou Volteron[60] pour les principaux sidérurgistes.

Défense modifier

John Cockerill Defense conçoit, fabrique et améliore des systèmes tourelle-canon pour des calibres 25 à 120 mm. Certifié OTAN en tant que fournisseur de systèmes d’armes, l'entreprise est reconnue par les autorités américaines, britanniques, belges[61] ou encore françaises[62] en tant que partenaire technique de développement de systèmes. John Cockerill participe ainsi à plusieurs programmes du Fond Européen de Défense[63]afin de contribuer au renforcement de la base industrielle et technologique de la défense en Europe[64].

En 2022, John Cockerill présente le Cockerill i-X (en), un véhicule d'interception terrestre doté d’un système de combat[65]. En 2023, dans le contexte de la guerre en Ukraine, John Cockerill modernise plusieurs dizaines de véhicules M113 pour l'Armée belge destinés à l'Ukraine[66],[67],[68].

Controverses modifier

Des organisations non gouvernementales comme Amnesty International s'inquiètent, en 2019, de voir le groupe exporter de l'armement de manière non transparente à destination de l'Arabie saoudite alors que ce pays mène une guerre au Yémen et est régulièrement pointé du doigt pour violation des droits de l'homme[69].

Amnesty International France révèle en que des soldats saoudiens doivent être instruits au sein d'un centre de formation installé dans la commune française de Commercy (Meuse). Géré par John Cockerill, le centre a bénéficié de financements publics français ainsi que de l'appui du ministre de la défense français d'alors, Gérard Longuet. Ce dernier a par la suite rejoint le conseil d'administration de l'entreprise[70],[71].

Notes et références modifier

  1. ↑ « CMI à l’heure du thermo-solaire », sur Le Soir,
  2. ↑ Luc Gochel, « Seraing: CMI va engager 100 personnes dans son secteur Défense en 2015 et 40 dans le secteur Energie », sur La Meuse,
  3. ↑ « Cockerill Maintenance & Ingénierie : bilan positif », sur Le Soir,
  4. ↑ « Balteau renforce le pôle environnemental de CMI », sur L'Avenir,
  5. ↑ Christophe De Caevel, « Jean-Luc Maurange, CEO de John Cockerill: "Chez nous, l'hydrogène a démarré dès 2017" », sur Trends-Tendances, (consulté le )
  6. ↑ « Bernard Serin complète la gouvernance de CMI et procède à plusieurs nominations », sur John Cockerill (consulté le )
  7. ↑ Louise Ranson, « François Michel nommé nouveau CEO de John Cockerill » Accès libre, sur L'Écho,
  8. ↑ Portail Wallonie (Connaitre la Wallonie), John Cockerill
  9. ↑ Trends Top
  10. ↑ Journal Le Soir, 15 décembre 2001 2001
  11. ↑ Journal Le Soir, 2 février 2006
  12. ↑ « Le Groupe CMI signe deux contrats de travail par jour », sur La Libre Belgique,
  13. ↑ « lesoir.be/actualite/economie/s… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  14. ↑ « Pierre Meyers, de CMI: «Je pars l’esprit serein» », sur Le Soir, (consulté le )
  15. ↑ La Libre.be, « Le groupe CMI rebaptisé John Cockerill », sur www.lalibre.be, (consulté le )
  16. ↑ « Présentation des résultats 2021 et ambitions 2022-2025 lors notre conférence de presse annuelle », sur John Cockerill (consulté le )
  17. ↑ « John Cockerill reprend les activités "refroidissement" de Hamon », sur Le Soir, (consulté le )
  18. ↑ John Cockerill s’apprête à acquérir Arquus, important fabricant de véhicules militaires en France - rtbf.be, le
  19. ↑ « Le Belge John Cockerill s'engage à ne pas fermer des sites d'Arquus et veut développer l'export », sur BFM BUSINESS (consulté le )
  20. ↑ « CMI Defence SAS », Groupement des industries de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres, (consulté le ).
  21. ↑ Philippe, « Changement de dénomination :CMI Defence S.A.S. devient John Cockerill Defense France », sur GICAT - Groupement des Industries françaises de Défense et de Sécurité terrestres et aéroterrestres, (consulté le )
  22. ↑ Philippe, « Fusion des sociétés Agueris et John Cockerill Defense France au 1er janvier 2023 », sur GICAT - Groupement des Industries françaises de Défense et de Sécurité terrestres et aéroterrestres, (consulté le )
  23. ↑ (en) « CMI Group Acquires EFCO | Industrial Heating », sur www.industrialheating.com (consulté le )
  24. ↑ Ph.Law, « CMI se renforce et engrange des résultats positifs », sur La Libre.be, (consulté le )
  25. ↑ « Sidérurgie Le groupe liégeois voit en l’Inde une « nouvelle Chine » : CMI s’invite chez Tata Steel », sur Le Soir, (consulté le )
  26. ↑ « Europe Environnement repris par le belge CMI », sur Les Echos (consulté le )
  27. ↑ « Cockerill Maintenance et Ingénierie rachète Proserpol », sur Revue EIN, (consulté le )
  28. ↑ « Le groupe CMI a acheté la société sprimontoise Balteau », sur Le Soir, (consulté le )
  29. ↑ « Le belge CMI acquiert la PME lyonnaise Sleti », sur Capital Finance, (consulté le )
  30. ↑ « L’acquisition du Finlandais Galvatek renforce les activités de CMI dans le traitement de surface », sur John Cockerill (consulté le )
  31. ↑ « Organisme », sur Actionnariat Wallon (consulté le )
  32. ↑ « EBENIS SA (0667.505.401) : Chiffre d'affaires & dirigeants », sur www.pappers.be (consulté le )
  33. ↑ « John Cockerill : des générateurs de vapeur au stockage par batterie et à l'hydrogène vert », sur Technology for a better world (consulté le )
  34. ↑ « CMI inaugure la plus grande station industrielle de stockage d'énergie verte européenne », sur RTBF (consulté le )
  35. ↑ « Bientôt des camions poubelles électriques pour la collecte de déchets en région liégeoise ? », sur RTBF (consulté le )
  36. ↑ CP., « Une recharge électrique à haute puissance chez John Cockerill pour un camion électrique de collecte des déchets », sur CCI Mag', (consulté le )
  37. ↑ Michaël Vandamme, « TM Energy Summit « Le camion électrique gagne du terrain étonamment vite » », sur Transportmedia, (consulté le )
  38. ↑ « John Cockerill achève le récepteur de la plus haute tour solaire du monde », sur L'Echo, (consulté le )
  39. ↑ « La centrale solaire de John Cockerill en Chine », sur sudinfo.be, (consulté le )
  40. ↑ Gilles Quoistiaux, « John Cockerill et sa tour solaire vont alimenter Dubaï en électricité », sur Trends-Tendances, (consulté le )
  41. ↑ La Libre Eco avec Belga, « John Cockerill participe à un projet innovant de centrale solaire », sur La Libre.be, (consulté le )
  42. ↑ « John Cockerill (ex-CMI) se diversifie dans l’hydrogène », sur sudinfo.be, (consulté le )
  43. ↑ Stéphane Tassin, « L’hydrogène chinois de John Cockerill alimentera les bus des prochains JO de Pékin », sur La Libre.be, (consulté le )
  44. ↑ « L’hydrogène vert de John Cockerill aux JO de Pékin 2022 », sur Pôle MecaTech, (consulté le )
  45. ↑ Laurent Meillaud, « John Cockerill vend 25 MW d’électrolyseurs à Taiwan », sur H2Today, (consulté le )
  46. ↑ « Groupe Cockerill: retour à la croissance et priorité à l’hydrogène », sur RTBF (consulté le )
  47. ↑ « Hydrogène : le belge John Cockerill bien armé pour attaquer le marché français », sur La Tribune, 2020-09-25cest06:00:00+0200 (consulté le )
  48. ↑ « Gigafactory à Seraing : les cellules produites en Alsace seront assemblées à Seraing, un hall est en cours d’aménagement », sur sudinfo.be, (consulté le )
  49. ↑ Arijit Barman, « Greenko, John Cockerill to set up 2 electrolyser giga factories for green hydrogen », The Economic Times,‎ (ISSN 0013-0389, lire en ligne, consulté le )
  50. ↑ Soufiane Chahid, « Hydrogène vert: le Belge John Cockerill annonce une gigafactory d’électrolyseurs alcalins au Maroc, une première en Afrique », sur L'Opinion Maroc - Actualité et Infos au Maroc et dans le monde. (consulté le )
  51. ↑ « John Cockerill signe pour une gigafactory d'électrolyseurs à Abou Dhabi », sur L'Echo
  52. ↑ « Hydrogène : John Cockerill annonce une gigafactory d'électrolyseurs aux Etats-Unis », sur www.h2-mobile.fr (consulté le )
  53. ↑ SPW, « Le Gouvernement wallon donne un coup d’accélérateur au développement d’une filière hydrogène en Wallonie avec deux projets uniques - Willy BORSUS », sur Willy BORSUS - Vice-Président de la Wallonie, (consulté le )
  54. ↑ « John Cockerill et Besix construiront l’usine d’hydrogène vert de Hyoffwind à Zeebrugge », sur Le Soir, (consulté le )
  55. ↑ « Feu vert wallon à Hayrport, le projet de station d'hydrogène de Liege Airport et John Cockerill », sur RTBF (consulté le )
  56. ↑ « Technip et John Cockerill s'associent pour créer un géant de l'hydrogène vert », sur Les Echos, (consulté le )
  57. ↑ « L’épopée de Cockerill sur grand écran », sur Le Soir, (consulté le )
  58. ↑ CP., « John Cockerill concrétise 2 nouvelles initiatives pour décarboner l’économie en Inde », sur CCI Mag', (consulté le )
  59. ↑ Isabelle Lemaire, « ArcelorMittal inaugure le JVD, une première mondiale à Liège », sur La Libre.be, (consulté le )
  60. ↑ « ArcelorMittal et John Cockerill annonce la création d'une nouvelle usine inédite - RTC Télé Liège », sur www.rtc.be (consulté le )
  61. ↑ « Des blindés belges remis à neuf à Aubange avant d’être envoyés en Ukraine », sur RTBF (consulté le )
  62. ↑ Laurent Lagneau, « L'intercepteur terrestre Cockerill i-X a été présenté à la Section technique de l'armée de Terre », sur Zone Militaire, (consulté le )
  63. ↑ « John Cockerill sélectionné pour les programmes européens de défense FAMOUS 2, MARSEUS et INDY », sur John Cockerill (consulté le )
  64. ↑ « Le Fonds de défense européen va booster l'industrie et la recherche belges »
  65. ↑ « Intercepteur terrestre Cockerill® i-X : Defense - John Cockerill », sur Défense (consulté le )
  66. ↑ « Guerre en Ukraine : John Cockerill prêt à livrer dix blindés M113 à l'Ukraine financés par le Benelux », sur RTBF (consulté le )
  67. ↑ « Guerre en Ukraine: la Belgique s'apprête à envoyer des M113 à Kiev », sur RTL Info, (consulté le )
  68. ↑ « Des blindés belges remis à neuf à Aubange avant d’être envoyés en Ukraine », sur RTBF (consulté le )
  69. ↑ « Belgique : L’accord entre CMI et l’Arabie saoudite est inquiétant en termes d’opacité des procédures », sur Amnesty International Belgique (consulté le )
  70. ↑ Audrey Lebel, « Armes. La France, terre d’accueil », Amnesty International,
  71. ↑ « Des soldats saoudiens formés dans un camp en France, révèle une enquête d'Amnesty », Radio France internationale,

Liens externes modifier

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