La Chapelle-Saint-Mesmin

commune française du département du Loiret

La Chapelle-Saint-Mesmin
Mairie
Panneau d'entrée de ville
Girouet Val de Loire - patrimoine mondial de l'UNESCO
Église
L'hôtel de ville, panneau d'entrée de ville, le girouet Val de Loire - patrimoine mondial de l'UNESCO et l'église Saint-Mesmin.
Blason de La Chapelle-Saint-Mesmin
Blason
La Chapelle-Saint-Mesmin
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Orléans Métropole
Maire
Mandat
Valérie Barthe Cheneau
2020-2026
Code postal 45380
Code commune 45075
Démographie
Gentilé Chapellois, chapelloise
Population
municipale
10 218 hab. (2021 en augmentation de 0,47 % par rapport à 2015)
Densité 1 140 hab./km2
Population
agglomération
290 346 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 26″ nord, 1° 50′ 27″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 113 m
Superficie 8,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Orléans
(banlieue)
Aire d'attraction Orléans
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Jean-de-la-Ruelle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Chapelle-Saint-Mesmin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Chapelle-Saint-Mesmin
Géolocalisation sur la carte : Loiret
Voir sur la carte topographique du Loiret
La Chapelle-Saint-Mesmin
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
La Chapelle-Saint-Mesmin
Liens
Site web ville-lachapellesaintmesmin.fr

La Chapelle-Saint-Mesmin est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

La commune est située dans la région naturelle du Val de Loire et l'unité urbaine d'Orléans. C'est l'une des 22 communes d'Orléans Métropole. Elle est incluse dans le réseau Natura 2000 et le Val de Loire est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) comme « paysage culturel ».

Elle est traversée d'est en ouest par plusieurs voies de communication : la Loire, la route départementale 2152, la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean, l'autoroute A10, le GR3 (sentier de grande randonnée 3) et par l'un des quatre chemins de Compostelle : la Via Turonensis venant de Paris.

Elle doit son nom à Maximin de Micy ou saint Mesmin l'Ancien, 2e abbé (510-520) du monastère de Saint-Mesmin de Micy, édifié sur la rive opposée de la Loire. Selon la légende, il traversa le fleuve pour aller terrasser le dragon dans la grotte du dragon de Béraire (d'où Berarius, le premier nom de la commune) située sous l'église.

La commune possède de nombreux sites archéologiques, notamment celui des Chesnats dont les fouilles ont permis la mise au jour de vestiges d'un village du haut Moyen Âge prenant sa source à l'époque gallo-romaine (du Ier au XIe siècle), retraçant 1 000 ans d'histoire. Ce site est considéré actuellement comme l'un des plus importants en France pour cette période.

La Chapelle-Saint-Mesmin abrite également un patrimoine prestigieux (le château de l'Ardoise et le château des Hauts) et un monument historique classé depuis 1862, l'église de la Chapelle-Saint-Mesmin, l'une des plus anciennes églises du Val de Loire (XIe siècle). De 1846 à 1906, l'ancienne maison de retraite Paul-Gauguin constituait le petit séminaire, école secondaire religieuse, créée par Jean-Jacques Fayet, développée par Félix Dupanloup et où de nombreuses personnalités ont suivi leurs études.

Sur le plan économique, son activité viticole était très importante jusqu’à la fin du XIXe siècle. Le tissu économique communal est aujourd'hui largement représenté par les commerces, transports et services divers mais aussi par un secteur industriel dont le plus important représentant est l'usine de production du verre Duralex, présente sur la commune depuis 1934.

La ville dispose d'un tissu associatif dynamique avec en particulier le club de BMX chapellois, premier club sportif de cyclisme en nombre de licenciés au niveau national. Avec un démarrage des travaux prévu courant , la ville disposera, en , du plus grand circuit de bicross de France, avec une piste d'une longueur de 420 mètres.

Géographie modifier

Localisation et communes limitrophes modifier

Carte

La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin se trouve dans le département du Loiret, en région Centre-Val de Loire[1]. Elle fait partie de la région naturelle du Val de Loire orléanais, une région qui s'étend entre la Puisaye à l'est, le Blaisois à l'ouest, la Petite Beauce et la forêt d'Orléans au nord, la Sologne au sud[2].

Elle se situe à 7,1 km par la route[Note 1] d'Orléans[Carte 1], préfecture du département, et à 5,2 km de Saint-Jean-de-la-Ruelle[Carte 2], bureau centralisateur du canton de Saint-Jean-de-la-Ruelle dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orléans[1].

Les communes limitrophes sont : Ingré au nord, Chaingy à l'ouest, Saint-Jean-de-la-Ruelle à l'est et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin au sud[3].

Les communes les plus proches, les distances étant mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau, sont, au nord de la Loire[4] : Saint-Jean-de-la-Ruelle (3,6 km), Ingré (3,6 km), Orléans (5,0 km), Chaingy (5,0 km), et au sud : Saint-Pryvé-Saint-Mesmin (2,3 km), Saint-Hilaire-Saint-Mesmin (2,7 km), Olivet (5,4 km), Mareau-aux-Prés (5,6 km). Par la route, les communes situées au sud de la Loire, sont bien plus éloignées, le franchissement de la Loire se faisant au droit du pont de l'Europe[5].

Géologie et relief modifier

Carte géologique du territoire, bordée au sud par un socle alluvionnaire lié à la Loire
Carte géologique de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • FC : Alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires (Holocène)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)

La commune se situe au sud du Bassin parisien, un vaste bassin sédimentaire composé localement d'un empilement de roches sédimentaires d'origine marine et lacustre (dépôts carbonatés) et fluviatiles (dépôts détritiques issus de l’érosion d'anciennes chaînes de montagnes)[6],[7].

Le Calcaire de Beauce constitue la principale assise géologique de la commune. C'est une roche calcaire d'origine lacustre âgée de l'Aquitanien (de −23 à −20,5 millions d’années). La partie supérieure de cette formation (Calcaires de Pithiviers - m1CPi et les Marnes et Calcaires de l'Orléanais - m2MCO), est la plus représentée sur la commune[8]. Selon les données disponibles du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM - Service géologique national), les roches calcaires sont présentes au niveau du forage de l'ancien château d'eau de la commune, sous environ 40 cm de terre végétale[9].

Les Marnes et Sables de l’Orléanais (m2MSO), âgés du Burdigalien (de −20,44 à −15,97 millions d'années), recouvrent les Calcaires de Beauce, et se localisent au nord de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[10],[8].

Enfin des alluvions et colluvions récentes, datant de l'Holocène, occupent le fond d'une ancienne vallée secondaire, perpendiculaire à la Loire dont le lit mineur est quant à lui occupé par des alluvions récentes (Fz) datant également de l'Holocène[11].

La superficie de la commune est de 8,96 km2. Son territoire est relativement plat puisque le dénivelé maximal atteint 26 mètres. L'altitude du territoire varie entre 87 m et 113 m[12],[G 1].

Carrières souterraines et à ciel ouvert modifier

Depuis le XVIIe siècle jusqu'en 1914, on comptait de nombreuses carrières à ciel ouvert (notamment aux lieux-dits les Forges, La Guide, Maison Brulée, la Blennerie, Mègreville, la Butte, le Petit Courant et sous le chemin de la levée) et souterraines (notamment aux lieux-dits la Croix Noble, Four à Chaux, Montaut et Monteloup). En 1905, on en recensait 65, le plus important regroupement de carrières de pierres de taille du département du Loiret à cette époque, pour une production annuelle de 6 000 tonnes[Carte 3]. Les fours à chaux sont exploités le plus souvent par des cultivateurs, appelés chaufourniers. Les pierres chapelloises étaient considérées comme dures et de bonne qualité et ont été utilisées notamment pour les constructions à Orléans du pont Royal, de l'église Saint-Paterne ou de la rue de la République. Elles étaient expédiées par bateaux à partir du port de La Chapelle puis par chemin de fer lors du déclin de la batellerie. Aujourd'hui, la plupart des carrières à ciel ouvert ont été remblayées et celles souterraines ont peu à peu été abandonnées puis fermées[GHL 1].

Paysages modifier

Lithographie en noir et blanc présentant, depuis la rive opposée, un village au-delà d'un cours d'eau.
Vue de La Chapelle-Saint-Mesmin depuis la rive opposée au XIXe siècle.

Trois unités topographiques et paysagères peuvent être distinguées sur la commune[G 2] :

  • le plateau de Beauce dont la limite sud est marquée par le coteau qui borde la Loire et qui occupe les deux-tiers nord de la commune. Cette partie haute de la commune présente des altitudes comprises entre 100 et 115 m NGF, avec toutefois la présence d'un petit talweg lié à la rivière des Bois aujourd'hui disparue ;
  • le coteau de la Loire, avec un dénivelé d'une dizaine de mètres, faisant la transition entre Beauce et Val de Loire ;
  • le Val de Loire et sa plaine alluviale présentant une altitude moyenne de 90 m.

Le lit du fleuve est lui-même partagé entre le lit mineur, où l'eau s'écoule en permanence, et le lit majeur, qui fait partie du val de la Bouverie, un petit val agricole, quasiment pas urbanisé, d’une longueur de 4 kilomètres, qui concerne également la commune de Chaingy[13].

Labellisation patrimoine mondial modifier

Logo en noir et blanc du label Patrimoine mondial de l'Unesco.
Patrimoine mondial de l'UNESCO.

Le , le Val de Loire, dans son cours moyen de Sully-sur-Loire (Loiret) à Chalonnes-sur-Loire (Maine-et-Loire), est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) comme « paysage culturel ». Cette inscription reconnaît au site une « valeur universelle exceptionnelle » fondée sur la densité de son patrimoine monumental, architectural et urbain, l'intérêt du paysage fluvial et la qualité exceptionnelle d’expressions paysagères héritées de la Renaissance et du Siècle des Lumières. Toute altération de cette « valeur » est considérée comme une perte pour la mémoire de l’Humanité[14]. Le préfet de la région Centre, préfet coordonnateur, approuve le plan de gestion pour le Val de Loire patrimoine mondial par arrêté en date du [14]. Trente-cinq communes du Loiret sont concernées, dont La Chapelle-Saint-Mesmin qui a une frange de son territoire inscrite et le reste en zone tampon[15]. La covisibilité présente sur la commune entre l'église et la pointe de Courpain est considérée comme l’une des valeurs identitaires du paysage du patrimoine UNESCO dans l’Orléanais[G 3].

Hydrographie modifier

Cours d'eau modifier

Carte en couleurs représentant les cours d'eau (la Loire au sud, le Rollin au sud-ouest)
Réseau hydrographique de La Chapelle-Saint-Mesmin.

La commune est traversée par la Loire sur 3,788 km. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 4,17 km, comprend également un autre petit cours d'eau, le Rollin[17].

Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse le sud du département du Loiret depuis Beaulieu-sur-Loire jusqu'à Beaugency, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées[18]. La station hydrométrique la plus proche située en amont de la commune et servant de référence en cas de crue est celle d'Orléans, au droit du pont Royal[19].

En bord de Loire, les sources de Bellevue, eaux provenant de résurgences de la Loire, du gouffre de l'Île Charlemagne (Saint-Jean-le-Blanc), de l'affleurement de la nappe de Beauce et de nappes souterraines situées dans le sous-sol de la forêt d'Orléans, favorisent une faune et une flore spécifiques[20].

Au pied du coteau coule parfois un petit ruisseau, le Rollin[21], qui prend sa source en contrebas du château du même nom, le château de la Source du Rollin[22], situé en surplomb vers le milieu du val, pour se jeter dans la Loire à l'extrémité du val de la Chapelle à Saint-Ay un peu moins de trois kilomètres plus loin[Note 2].

Zones humides modifier

Le registre du cadastre de 1812 mentionne plusieurs zones humides (Lieux-dits la Vallée, la Noue, le clos du four, le clos de la Source) mais on en comptait d'autres qui avaient pour noms : mare d'Orentay, mare de la Jaunisse, mare des Dangeaux, mare des Garreaux, la mare du Pigeon Vert[23].

Une étude de prélocalisation des zones humides a été engagée en sur l'ensemble du territoire du schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) de la Nappe de Beauce. Sur le territoire de la commune, les zones humides probables sont localisées au niveau du lit majeur de la Loire et en fond de vallon du ruisseau « le Rollin »[24],[G 4].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[25]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[26].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Fleury-les-Aubrais à 8 km à vol d'oiseau[27], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 728,8 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].

Statistiques 1991-2020 et records FLEURY-LES-AUB. (45) - alt : 119m, lat : 47°55'32"N, lon : 1°54'51"E
Records établis sur la période du 01-04-1975 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 0,9 3 5 8,7 11,9 13,8 13,5 10,2 7,8 4,2 1,9 6,9
Température moyenne (°C) 4,3 4,8 7,9 10,6 14,3 17,7 19,9 19,8 16,1 12,3 7,6 4,8 11,7
Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,7 12,9 16,3 19,9 23,5 26 26,1 21,9 16,7 11 7,7 16,5
Record de froid (°C)
date du record
−19
17.01.1985
−13,8
07.02.1991
−13,1
01.03.05
−4,5
11.04.03
−1
05.05.1979
0
05.06.1991
3,1
16.07.1984
4
26.08.1993
0,5
30.09.1988
−4,6
21.10.10
−11
23.11.1993
−12,8
30.12.1985
−19
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17
30.01.02
22,2
27.02.19
24,5
16.03.12
29,7
30.04.05
32
27.05.05
38
29.06.19
41,5
25.07.19
40,4
10.08.03
35
15.09.1982
33,1
01.10.1985
24
01.11.14
19,4
16.12.1989
41,5
2019
Précipitations (mm) 59,4 55,3 51,5 52 74,6 52,9 58,1 58,4 56,3 66,8 68,6 74,9 728,8
Source : « Fiche 45147001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité modifier

La commune est bordée par la Loire sur plus de 5 km. Le sentier de grande randonnée GR3 emprunte l’ancien chemin de halage et permet de découvrir de beaux points de vue sur Orléans et la Sologne à partir du parc municipal situé dans les bois[M 1]. De nombreuses essences (perce-neige, violettes, marguerites...) et une cinquantaine de variétés d'arbres et arbustes sont répertoriées et visibles selon les saisons.

Les bords de Loire offrent à La Chapelle-Saint-Mesmin une grande diversité de paysages et de milieux naturels, dont les plus remarquables sont : la forêt alluviale, les herbiers aquatiques, les grèves et les sources. Grâce à cette diversité de milieux naturels, les bords de Loire chapellois abritent plusieurs stations de plantes rares ou protégées, telles que la gagée des prés, la tulipe sauvage, ou l’herbe Saint-Roch, ainsi que la corydale à bulbe plein[M 2].

La ville a engagé en 2008, l'opération « Objectif zéro pesticide dans nos villes et villages ». Le niveau d’utilisation des herbicides a été fortement réduit depuis plusieurs années pour l’entretien des espaces verts, des forêts, des promenades et des voiries. Le second volet, mis en place à partir du , en prévoit l’interdiction pour un usage par les particuliers[M 3].

La commune a obtenu en 2004 le niveau « deux fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[31]. Elle dispose de trois parcs municipaux : Parc municipal de la place des Grèves (aire de pique-nique, jeux pour enfants et mini-golf[Note 3], parc de l'Espace Béraire (1986)[32] et Parc de la Solitude[M 1].

Réserve naturelle nationale de Saint-Mesmin modifier

Carte en couleurs du périmètre de la réserve naturelle, englobant plusieurs communes.
Carte du périmètre de la réserve naturelle nationale Saint-Mesmin.
Photographie en couleurs d'une rive d'un cours d'eau, avec l'émergence de divers arbres dans l'eau.
Pointe de Courpain (à Saint-Pryvé-Saint-Mesmin).

La réserve naturelle nationale de Saint-Mesmin est une aire protégée faisant partie du réseau des réserves naturelles en France et dont le statut est défini par la loi relative à la démocratie de proximité du . Elle a été créée par décret du . Elle comprend la partie de la vallée de la Loire située dans le domaine public fluvial s’étendant de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin et Mareau-aux-Prés, en rive gauche, à La Chapelle-Saint-Mesmin, Chaingy et Saint-Ay, en rive droite ainsi que certaines parcelles cadastrées de la commune de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin. Elle s'étend sur 263 ha, auxquels s'ajoute un périmètre de protection de 90 ha, et englobe la pointe de Courpain (boisement alluvial situé au confluent de la Loire et du Loiret) et les îles de Mareau[33]. La zone se superpose pour partie à la zone de protection spéciale vallée de la Loire du Loiret du réseau Natura 2000[34] et à la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 2 « Île de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin et abords »[INPN 1]. La variété des milieux a permis le développement d’une flore très riche et diversifiée, avec 558 espèces de plantes supérieures recensées dont trois protégées au niveau national (pulicaire vulgaire, gagée des prés, tulipe sauvage) et cinq au niveau régional (limoselle aquatique, pigamon jaune, corydale à bulbe plein, laîche de Loire, scille d'automne). Il également possible d'observer la céphalanthère de Damas, orchidée rare[35]. Le castor d’Europe a fait son apparition dans la réserve en 1983, à la suite de sa réintroduction en amont de Blois. Nocturne, il se laisse difficilement observer mais les traces de son activité sont nombreuses[33].

Sites Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État Membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[36]. Les sites Natura 2000 présents sur le territoire communal de La Chapelle-Saint-Mesmin sont au nombre de deux[INPN 2] :

  • la Vallée de la Loire de Tavers à Belleville-sur-Loire, un site d'importance communautaire (SIC) (Directive « Habitats ») créé le , de 7 120 ha superficie. Le site concerne 51 communes. La délimitation de ce site Natura 2000 est très proche de celle correspondant à la Directive Oiseaux. L'intérêt majeur du site repose sur les milieux ligériens liés à la dynamique du fleuve, qui hébergent de nombreuses espèces citées en annexe II de la directive Habitats[INPN 3],[INPN 4]. Il est situé dans la frange sud de la commune[37]. Les bords de Loire de La Chapelle abritent notamment deux espèces protégées : la couleuvre vipérine et l’alyte, surnommé le crapaud accoucheur[M 2] ;
  • la Vallée de la Loire du Loiret, une Zone de protection spéciale (ZPS) (Directive « Oiseaux ») créée le , de 7 684 ha de superficie. Le site concerne la vallée de la Loire dans le Loiret. Cette ZPS se poursuit en amont et en aval sur les départements voisins. L'intérêt majeur du site repose sur les milieux et les espèces ligériens liés à la dynamique du fleuve. Ces milieux hébergent de nombreuses espèces citées en annexe I de la directive Oiseaux. Le site est caractérisé par la présence de colonies nicheuses de sternes naines et pierregarin et de mouette mélanocéphale. Des sites de pêche du Balbuzard pêcheur sont également présents. Le site est également lieu de reproduction du bihoreau gris, de l'aigrette garzette, de la bondrée apivore, du milan noir, de l'œdicnème criard, du martin-pêcheur, du pic noir, de la pie-grièche écorcheur[INPN 5],[INPN 6]. Il est situé dans la frange sud de la commune[37].

Au fil des saisons, on peut aussi apercevoir cygnes, hérons, foulques, balbuzards et entendre les chants des rossignols, hirondelles et fauvettes[GHL 3].

Depuis le début des années 1970, on y observe une augmentation massive de la reproduction du grand cormoran (Phalacrocorax carbo sinensis), espèce protégée, à tel point, qu'un projet d'arrêté préfectoral relatif à la régulation du grand cormoran pour la période 2019-2022 dans le département du Loiret est envisagé contre les dégâts aux piscicultures extensives en étangs et aux peuplements piscicoles sur les eaux[38]. En 2014, l'association Loiret Nature Environnement a dénombré une centaine de cormorans perchés sur l'unique saule de l'île de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin qu'on dénomme pour cette raison l'arbre aux cormorans[LaR 1].

Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

Carte en couleurs des Znieff, concernant la Loire, sur le flanc sud de la commune.
Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de La Chapelle-Saint-Mesmin comprend deux ZNIEFF[INPN 7].

L'île de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin et abords est une ZNIEFF de type 1[Note 4], d'une superficie de 50 hectares, s'étendant sur les territoires de deux communes : La Chapelle-Saint-Mesmin et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin[DREAL 1]. Son altitude est de 95 m[INPN 8]. Cette portion de la Loire est constituée d'une mosaïque d'habitats typiques du lit mineur comprenant des eaux courantes calmes, des milieux pionniers des grèves de vase et/ou de sable, des milieux herbacés, des friches, des boisements pionniers de saules arbustifs, des boisements plus évolués de la saulaie-peupleraie[INPN 1].

La Loire orléanaise est une ZNIEFF de type 2[Note 5], d'une superficie de 5 458 hectares. Elle s'étend sur 37 communes et se superpose pour la commune à la zone Natura 2000 de nom similaire. Elle correspond à la boucle septentrionale du fleuve[DREAL 2]. Son altitude varie entre 80 et 135 mètres[INPN 9]. Elle se caractérise par un lit mineur largement occupé par des îles et grèves sableuses. Ces milieux soumis au marnage annuel recèlent de multiples habitats plus ou moins temporaires. C'est pratiquement la seule section qui présente des méandres. On observe, sur les basses terrasses, quelques formations sablo-calcaires[INPN 10].

Jardins familiaux modifier

Photographie en couleurs d'un jardin, ceinturé d'un grillage, dans lequel se trouvent un cabanon et des tunnels de serres.
Enclos municipal des jardins familiaux.

Depuis les années 2010, la commune propose la mise à disposition de douze parcelles de 100 m2 chacune de jardins familiaux pour les habitants. Par le passé et jusqu'en 1974, un terrain privé (à l'emplacement actuel du concessionnaire automobile situé près de l'autoroute) était mis à disposition de l'association des jardins ouvriers et familiaux[GHL 4].

Rucher pédagogique modifier

Un rucher pédagogique, composé de quatre essaims, a été mis en place en 2016 par la mairie, avec l'aide d'une dizaine d'apiculteurs amateurs locaux, afin d’agir en faveur de la sauvegarde des abeilles et de contribuer à préserver la biodiversité. Les quatre essaims composés chacun d'environ 50 000 abeilles (dont des abeilles noires, espèce locale), peuvent produire annuellement jusqu'à 80 kg de miel[LaR 2]. Une sensibilisation est proposée aux enfants des écoles de la commune chaque année au cours des mois de mai et juin. Un pot de miel produit, le miel du dragon, est remis à chaque visiteur[M 5].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Chapelle-Saint-Mesmin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[39],[In 1],[40]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Orléans, une agglomération intra-départementale regroupant 19 communes[In 2] et 282 269 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[In 3],[In 4]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[In 5],[In 6].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (56,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (43,8 %), terres arables (29,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,4 %), forêts (9,5 %), eaux continentales[Note 8] (5,1 %)[41].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Planification modifier

Carte simplifiée de la commune, différenciant avec différentes couleurs les zones urbaines, à urbaniser et naturelles.
Carte du zonage du plan local d'urbanisme de la commune (2019).

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un Schéma de cohérence territoriale (SCoT), un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Orléans-Métropole, approuvé le [42].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[43]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 5]. Les zones AU sont les zones à urbaniser, les A correspondent à des zones agricoles et les N à des zones naturelles.

Morphologie urbaine modifier

L’urbanisation de la commune s’est développée grâce à plusieurs facteurs[G 5] :

  • un territoire fertile constitué de vignes, sans contraintes particulières de relief et à l’abri des caprices du fleuve ;
  • la commune se situe dans un couloir de communication : les voies antiques vers Tours et Le Mans, la Loire navigable (en lien avec Nantes) ;
  • la proximité géographique (essor économique) et le lien historique (St-Mesmin) avec l’abbaye de Micy.

Vers 1905, la commune n’est constituée que d’une mosaïque de hameaux. Dans les années 1950, la tâche urbaine se développe par extension de ces hameaux et des espaces entourant l’usine de verrerie et Michelin. Le centre-bourg apparaît. Dans les années 1980, la morphologie urbaine de la commune se transforme avec la mise en service des autoroutes A10 en 1974 et A71 en 1980. L’urbanisation s’étend alors de manière simultanée sur la quasi-totalité du territoire communal, même si l’extrême ouest reste à dominante rurale. Dans les années 2000, l’urbanisation se densifie par comblement des dents creuses[G 5].

Voies de communication et transports modifier

Voies routières modifier

Carte en couleurs du réseau routier, avec indication des trafics.
Réseau routier principal de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin (avec indication du trafic routier 2014).
Photographie en couleurs d'un bloc cylindrique de pierre entouré de végétation.
Borne royale no 62.

La commune est traversée par trois voies routières d’importance supra communale orientées sud-ouest nord-est : les autoroutes A10 et A71 ainsi que la RD2152[G 6].

L'autoroute A10, qui relie Paris à Bordeaux et dont la section Orléans – Parçay-Meslay a été mise en service en 1974[G 7], longe la commune sur son flanc nord et supportait, sur cette section, un trafic moyen journalier annuel de 42 880 véhicules/jour en 2018[44] (40 186 véhicules/jour en 2014[G 8]).

L’autoroute A71, qui relie Orléans à Clermont-Ferrand et dont la section Orléans (A10) – Olivet (sortie 2) a été mise en service en 1980[G 7], supporte un trafic similaire (41 115 véhicules/jour en 2018[44], 38 993 véhicules/jour en 2014[G 8]). La sortie de cette autoroute, dénommée « Orléans-Centre » est située sur la partie est de la commune et permet l'accès vers le centre-ville d'Orléans à partir des deux autoroutes[G 8].

La RD 2152 est une voie historique. Il s'agit de l’ancienne RN 152 déclassée en 2006 dont la dénomination et le tracé ont évolué avec le temps. Créée en 1824 et reliant Briare à Angers, elle succède alors à la route impériale 172. Elle est numérotée 152 en 1933, puis déclassée en 2006[45]. Elle supporte un trafic de 8 061 véhicules/jour en 2014[G 8]. Sur le tracé, trois exemplaires de bornes royales (ou bornes à fleur de lys) installées tous les 2 km environ au XVIIIe siècle, sont placées sur le trottoir de gauche en provenance d'Orléans[Note 9].

Diverses voies secondaires et parallèles à la RD 2152 et l'A10 sont également présentes : les axes Croquechataigne – Autruche -Chaingy et 3 fossés – Beauvois – Cahotus – Perrière - Muids[G 6]. Perpendiculairement, trois axes nord-sud principaux peuvent être définis : la rue d'Ingré et les axes Gabellière – Placeau – Bruelles – Maison Rouge ainsi que Eiffel – Orentay - Azone[G 6].

Transports collectifs modifier

La commune est bien desservie par le réseau de tram-bus mis en œuvre par Orléans Métropole et dispose également d'une desserte ferroviaire[G 9].

La ligne B du tramway d'Orléans, mise en service en 2012, termine son parcours sur le territoire de la commune. Le terminus ouest nommé Georges-Pompidou est la seule station présente sur la commune. Elle est située sur l'avenue du même nom, à la limite avec les villes d'Ingré et Saint-Jean-de-la-Ruelle. Le trajet reliant la commune au centre-ville d'Orléans s'effectue en 14 minutes environ[46].

La Chapelle-Saint-Mesmin est desservie par cinq lignes de bus des transports de l'agglomération orléanaise (TAO) : 2, 4, 51, 52 et resa’nord. Les deux premières lignes de bus de la TAO (ex-SEMTAO) desservant la commune, ont été mises en service en 1979[M 6].

La commune est également desservie depuis 2017 par Rémi (ligne no 9), le réseau de la région Centre-Val de Loire (Orléans - Beaugency AR) et compte deux arrêts[47].

La ligne de chemin de fer Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean, qui traverse de part en part le territoire de la commune, suivant plus ou moins parallèlement le tracé de l'autoroute A10 à une distance d'environ un kilomètre plus au nord, et qui constitue une frontière naturelle avec la commune voisine d'Ingré, est toujours considérée aujourd'hui comme une véritable coupure avec le centre bourg pour les habitants des quartiers situés entre ces deux réseaux (Les Forges, l'Autruche, Pailly, les Chesnats, Orentay et Maison Rouge). La gare (de 4e classe), d'une longueur de 240 mètres est située à l'est du chemin de la Gabellière.

Certains trains de la ligne TER Centre-Val de Loire no 3[48] (Tours, Blois-Chambord, Orléans) s'arrêtent en gare de La Chapelle-Saint-Mesmin[49]. La ville est desservie en semaine par plusieurs TER en direction d'Orléans et de Blois. Le trajet La Chapelle/Orléans centre-ville s'effectue en huit minutes[M 7].

Transports en mode doux et sentiers de grande randonnée modifier

Photographie en couleurs d'une stèle en pierre parallélépipédique avec une coquille Saint-Jacques en bas relief.
Stèle du chemin de Compostelle.

Un important réseau cyclable maille la commune[G 10].

La commune est traversée par le GR3 (sentier de grande randonnée 3, autrefois dénommé Sentier de Loire) et par l'un des quatre chemins de Compostelle : la Via Turonensis venant de Paris. En , La Chapelle-Saint-Mesmin était la première commune du Loiret à ériger une stèle commémorative, en collaboration avec l'association « Compostelle 45 »[50] qui est à l'origine du projet. L'installation de celle-ci a pour but de mieux faire connaitre la Via Turonensis auprès des pèlerins et randonneurs mais aussi pour contribuer à développer le tourisme. Celle-ci a été réalisée par les élèves et leur professeur de l'atelier sculpture du lycée Henri Gaudier-Brzeska de Saint-Jean-de-Braye. Elle est installée au pied de l'église Saint-Mesmin sur l'ancien chemin de halage de la rive droite de la Loire[LaR 3].

Bornes de Loire modifier

Photographie en couleurs d'un petit bloc blanc pierreux parallélépipédique avec l'inscription 101 sur un côté.
Borne de Loire kilomètre 101, au pied de l'église.

Des bornes géographiques de deux types (forme cylindrique ou carrée) ont été installées au milieu du XIXe siècle par les services des ponts et chaussées tout le long des berges de la Loire[51].

Les bornes de pierre de forme cylindrique servent à indiquer la distance en kilomètres parcourue par la Loire de l’est vers l’ouest du département. À la Chapelle, on en compte cinq placées à égale distance tous les kilomètres à proximité du chemin de halage entre les limites est et ouest de la commune[GHL 6].

Les bornes de pierre carrées sont des bornes-repères de nivellement situées aussi bien sur la rive gauche que sur la rive droite de la Loire. Elles sont gravées d’un numéro suivi d’une lettre. Le « M » signifie montant (amont), le « D » descendant (aval). La numérotation part du Méridien de Paris. La borne 0 se trouve sur la levée de Loire entre Saint-Père-sur-Loire et Saint-Benoît-sur-Loire ainsi que sur la rive gauche. Implantées sur des points hauts comme les levées, elles sont espacées d’un kilomètre réel environ. Au pied de l'église, la borne 54D est parfaitement identifiable[GHL 6].

Logement et habitat modifier

Logement modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 4 609, alors qu'il était de 4 407 en 2015 et de 4 091 en 2010[I 1]. Parmi ces logements, 90,7 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 70,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 29,6 % des appartements[I 2]. Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Chapelle-Saint-Mesmin en 2020 en comparaison avec celle du Loiret et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) par rapport au département (4,7 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à la La Chapelle-Saint-Mesmin en 2020.
Typologie La Chapelle-Saint-Mesmin[I 2] Loiret[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 90,7 86,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 4,7 9,7
Logements vacants (en %) 8,3 9,1 8,2
Programme local de l'habitat (PLH) modifier

Le PLH 4 (2023-2028), élaboré en 2022 par Orléans Métropole en concertation avec les communes membres, a défini les objectifs et le programme d'actions pour les sept prochaines années, notamment à La Chapelle Saint-Mesmin[M 8] :

  • Parc privé:
    • Accompagner des projets de rénovation thermique[52].
  • Développement du logement[53],[M 9]:
    • Accentuer l’effort de production de logements de type 2 et 3, dont la demande augmente.
    • Inclure davantage de logements adaptés aux personnes à mobilité réduite dans les programmes.
  • Production du logement social[54]:
    • La ville a défini un taux minimal de 30% de logements sociaux[55] pour tout programme comportant 5 logements ou plus sur des zones définies au plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm).

Contrat de mixité sociale (CMS)[56] modifier

Faisant suite aux obligations de la loi SRU de 2000, et à la loi 3DS du adaptant le dispositif de l'article 55 de la loi SRU permettant aux communes déficitaires en logements sociaux de bénéficier d'un mécanisme de rattrapage, la commune a conclu avec Orléans Métropole et l'État, pour la période 2023-2025, un contrat de mixité sociale.

Ce contrat constitue un cadre d'engagement de moyens lui permettant d'atteindre ses objectifs pour la période triennale suivante, en développant notamment, comme le stipule son Programme local de l'habitat (PLH 4, 2023-2028), les typologies de logements telle le F1, le F2 ou le F3.

En 2022, la commune comptait 703 logements sociaux sur un total de 4552 résidences principales, limitant le taux SRU sur la commune à environ 15 % (207 logements manquant). C'est la raison pour laquelle, dès son PLU de 2012, la commune décidait d'inclure, dans les constructions à destination d'habitation de plus de 10 logements de ses zones urbaines, au moins 30 % de logements sociaux.

Dans le cadre de ce CMS, il a été décidé de fixer, pour cette période triennale, un objectif correspondant à 25 % du nombre de logements sociaux manquants, soit la mise à disposition de 52 logements[M 10].

De l'habitat typique ancien à l'habitat pavillonnaire modifier

La maison « vigneronne » locale typique, perpendiculaire à la rue, s'articule autour d'une maison d'habitation (avec une chambre basse unique et multifonctionnelle sous laquelle court une cave et surmontée d'un grenier) et d'une grange (qui abrite le pressoir)[T 1]. Le grenier s'ouvre sur une ou plusieurs lucarnes d'accès qui sont souvent placées au-dessus d'une porte ou d'une fenêtre afin d'alléger le poids sur le linteau. Les briques remplacent les pierres autour de la cheminée ou du four pour éviter de les faire éclater à cause de la chaleur. Portes et fenêtres sont encadrées de pierres de taille. La porte d'entrée est d'un seul vantail et surmontée d'une imposte vitrée. Certaines maisons sont munies d'une porte de type fermière (articulée en deux parties, permettant de laisser fermée la partie basse afin d'empêcher l'intrusion d'animaux). Un puits à eau se trouve fréquemment à proximité (notamment pour permettre au maçon d'avoir de l'eau à disposition pour bâtir sa maison). Les murs, souvent d'une largeur d'au moins 50 centimètres, sont élevés en moellons posés (à partir du XIXe) à l'aide d'une pâte de terre blanche, puis enduits de mortier de chaux et de sable de Loire. La toiture est formée de deux versants d'une pente de 45⁰ et composée de tuiles plates à ergots. La base de la toiture repose sur une corniche de briques ou de pierres. Le faîtage est surmonté de tuiles faîtières raccordées par de gros bourrelets de mortier[GHL 7].

À partir du XIXe siècle et jusqu'à la première moitié du XXe siècle, de nombreuses maisons possèdent leur propre four à pain. On le trouve soit à l'intérieur de la maison, soit accolé au corps d'habitation, plus rarement à l'écart de la propriété. Dans le quartier de la Perrière, par exemple, il en existait une quinzaine dont quatre subsistent encore aujourd'hui[GHL 8].

Pendant les Trente Glorieuses, plusieurs lotissements et ensembles immobiliers de logement sont réalisés[GHL 9] :

  • Les Oiseaux (1953) ;
  • La Noue (1954) ;
  • HLM de la rue de Verdun (1959), anciennement dénommés Lotissement des Tilleuls et actuellement Résidence de La Bredauche[GHL 10] ;
  • Les Pervenches (1962-1967) et Le Gaigneau (1963)[Note 10] ;
  • La Barre de l'Ange (1963-1967)[Note 11] ;
  • Les Sansonnets (1964-1968)[Note 12] ;
  • Le Levereau (1965-1967)[Note 13] ;
  • Les Hauts du Bourg (1965-1968)[Note 14] ;
  • Le Prieuré (1968-1972)[Note 15] ;
  • Bel Air (1963-1976) (ou Square des déportés)[Note 16].

Projets d'aménagement modifier

Le plan local d'urbanisme (PLU)[M 14], mis en révision en 2015[M 15] et adopté par Orléans Métropole début 2019, a défini des orientations d'aménagement et de programmation (OAP) qui ont été intégrées le dans le PLU métropolitain (PLUm)[M 16], et concerne les secteurs suivants :

  • secteurs de Pailly et du moulin de Pailly : encadrer l’intégration des nouvelles constructions à vocation d’habitat, préserver les ensembles bâtis et paysagers remarquables et création de liaisons douces. Création d’un équipement public sur le secteur du Moulin de Pailly ;
  • secteur Descartes[M 17] : encadrer l’intégration et le développement de ce secteur à vocation mixte. Préservation des masses et continuités végétales ainsi que création de liaisons douces. Mixité programmatique et qualité d’aménagement pour conjuguer développement économique et qualité du cadre de vie ;
  • secteur des Cacoux : encadrer l’intégration des nouvelles constructions à vocation d’habitat en prenant en compte les risques d’inondation. Préservation des ensembles paysagers remarquables et création de liaisons douces ;
  • zone d'activités ouest : pôle d'activités des quatre cheminées : encadrer le développement du pôle des Quatre Cheminées et veiller à préserver le paysage lointain offert depuis la rive sud de la Loire, traitement des franges entre habitat et activités, et entre espace agricole et activités, amélioration de l’entrée de ville pour contribuer à l’intégration des activités existantes et de l’extension de la zone ;
  • bords de Loire : préserver des éléments du patrimoine bâti et paysager, notamment boisés, et mettre en valeur le secteur UNESCO[Note 17] de protection des bords de Loire. Traitement des entrées de ville est et ouest pour valoriser l’image de la ville. Aménagement de liaisons douces reliant le centre-ville aux bords de Loire ;
  • réaménagement du centre-ville : créer une unité au sein du centre-ville, en minimisant la coupure urbaine constituée par la RD 2152 et « en rapprochant » les équipements et espaces verts entre eux à l’aide de liaisons en modes doux.

En outre, lors de l'élaboration du PLUm, 12 hectares de zones à urbaniser ont été supprimés du PLU communal et conservés en zones Naturelle et Agricole, portant ainsi les superficies des zones Naturelle et Agricole à 380 hectares, de la zone urbaine d'habitation à 414 hectares et de la zone économique à 98 hectares. La zone à urbaniser restante en 2023 était seulement de 10 hectares sur une superficie totale communale de 887 hectares[M 16].

Risques naturels et technologiques majeurs modifier

La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique. Elle est également exposée à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[61]. Entre 1999 et 2020, quinze arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin dont quatre pour des inondations et coulées de boue et onze pour des mouvements de terrain[62]. Le site de la mairie met à disposition le Document d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM)[M 18]. Par ailleurs Orléans Métropole et ses communes membres proposent un dispositif gratuit de diffusion d’alertes à l’ensemble de la population[M 19].

Risque d'inondation modifier

Carte en couleurs représentant la zone inondable par la Loire.
Zone inondable de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin.

La Loire est à l'origine des dégâts les plus importants sur le territoire de la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907[63].

La zone inondable de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin couvre une surface de 158 hectares, soit 18 % du territoire communal. Cette zone se répartit en 25 ha en espaces agricoles, 60 ha en eau, 53 ha en espaces naturels et 20 ha en surfaces urbanisées[64]. 67 personnes résident dans cette zone[65].

Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du val d'Orléans - val amont, approuvé le [66]. Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d'organisation des secours : au niveau départemental, le dispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d'inondation de la Loire, le plan ORSIL[Note 18], et au niveau communal le plan communal de sauvegarde[67].

Risque de mouvements de terrain modifier

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[68]. Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible, mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[69]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003 et la canicule de l’été 2018[70]. La plus grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Une bande étroite longeant la Loire est en aléa « faible ». Une zone au nord de la commune centrée sur Pailly, la Corne, les Bruelles est en aléa « fort »[71].

Risques de tempête modifier

Le , une tempête d’une intensité exceptionnelle a soufflé à 151 km/h sur l’ensemble de la commune[LaR 4]. Des dégâts matériels importants (arbres arrachés, toitures soulevées, véhicules et habitations endommagés) ont été constatés mais aucune victime n’a été à déplorer. Le niveau de vitesse du vent le plus important avait été précédemment relevé en 1967 : 166 km/h.

Toponymie modifier

Attestations anciennes modifier

Cette paroisse, qui appartenait à l'abbaye Saint-Mesmin de Micy, est mentionnée primitivement sous la forme Villa Berarii en 836 (copie de la fin Xe siècle ou début XIe siècle)[72]. Par la suite, elle est attestée au Xe siècle sous le nom de Cappella Sancti Maximini[73],[74]; La Chapelle Sainct Mesmin en [75], en [76], en [77] et en [78]. Puis La Chappelle Saint Mesmin est attestée en 1536, et enfin La Chapelle Saint Mesmin en 1740[79] et sur la carte de Cassini au XVIIIe siècle[74]. Sous la Convention, les noms des saints étant bannis, la commune porte brièvement le nom de Roche-sur-Loire ou La Chapelle-Mesmin[T 2]. On retrouve le nom de La Chapelle Saint-Mesmin en 1801, dans l'arrêté du 5 vendémiaire an IX portant réduction des justices de paix du département du Loiret[80].

Étymologie modifier

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale. D'après la première mention, le nom primitif devait être *Berarville (Villa Berarii IXe siècle), les noms en -ville au sens ancien de « domaine rural, village » étant fréquent dans la région. L'élément Berar- représente l'anthroponyme Berar[ius] ou Berachar[ius], nom d’homme d'origine germanique en usage à l’époque mérovingienne[74]. Par la suite le nom de la chapelle dédiée à saint Mesmin s'est substitué au toponyme d'origine selon un mode usuel en toponymie. La chapelle est consacrée à Maximin de Micy (saint Mesmin l'Ancien), 2e abbé (510-520) du monastère de Saint-Mesmin de Micy. Les formations toponymiques La Chapelle + nom de saint sont courantes comme noms de communes et Albert Dauzat en dénombre plus d'une vingtaine dont La Chapelle-Saint-Martin, lieux du Loir et Cher et de Savoie[81].

Remarque : cappella, diminutif du bas latin cappa, « chape, manteau », désignait spécialement la chape ou manteau de saint Martin, le grand thaumaturge, relique insigne, dont les premiers souverains se faisaient suivre dans leurs expéditions militaires, et sur laquelle se prêtaient les serments. Puis, cappella désigna l'endroit même où dans le palais était conservée la fameuse chape, et enfin ce vocable fut appliqué à tout sanctuaire possédant des reliques; cappella a abouti en ancien français à chapele écrit aujourd'hui « chapelle »[82].

Écarts, lieux-dits et chemins ruraux modifier

Carte présentant le découpage en parcelles et lieux-dits de la commune.
Carte des lieux-dits (hors zone urbaine) de La Chapelle-Saint-Mesmin.

Le fichier FANTOIR 2020 des voies et lieux-dits de La Chapelle-Saint-Mesmin (publié le 2 février 2021) recense pour la commune 328 toponymes et odonymes, se décomposant en 98 lieux-dits et 230 voies : un boulevard, six avenues, 146 rues, cinq places, deux squares, trois routes, 34 impasses, 18 chemins, trois allées, 100 lieux-dits et 10 autres voies[83].

Les hameaux autour desquels s’est développée l’urbanisation dans les années 1950[G 5], subsistent aujourd’hui sous forme de quartiers : les Hauts Champs, Grattelard, Montaut, la Gabellière, la Perrière ou les Muids[84].

Histoire modifier

Préhistoire et protohistoire modifier

Photo en couleur de deux squelettes.
Sépulture double dite « la dame de Monteloup », une femme (20 ans) et son enfant - La jeune femme est richement parée de plusieurs colliers comportant plus de deux cents dentales et une centaine de perles en lignite.

En 1856, la grotte du dragon de Béraire, cavité souterraine naturelle apparue au cours de l'Holocène[85], est découverte par l'archéologue Ernest Pillon.

Au cours du XXe siècle, plusieurs sites préhistoriques (Paléolithique supérieur, culture magdalénienne) sont découverts au lieu-dit Monteloup[GHL 11]. Le site a livré des vestiges humains magdaléniens[86],[87]. Une série d'occupations livre de l'industrie lithique typique du Badegoulien à raclettes, avec des pièces de facture plus récente[88] (Magdalénien)[89]. Monteloup est prospecté par l'abbé A. Nouel en 1937, puis par Jacques Allain en 1970. Dans le même temps, Allain prospecte aussi le site badegoulien « Le Coteau », qui est également visité par Guy Richard en 1972[90],[91].

Des travaux d'agrandissement d'une cave dans le hameau des Neuf-Arpents réalisés en 1988 ont en particulier mis au jour une double sépulture datant du néolithique : « La Dame de Monteloup », une femme d'une vingtaine d'années tenant contre elle un enfant de dix-huit mois. Les riches parures retrouvées sur son corps révèlent son honorabilité ou son niveau de richesse ainsi que l'existence probable d'une coutume funéraire[T 3].

Antiquité modifier

Au début de notre ère, sur l'emplacement actuel de l'église saint-Mesmin, se tenait une villa gallo-romaine appartenant à un dénommé Béraire (Villa Berarii). Cette villa surplombait la falaise dans laquelle se trouve la grotte du dragon de Béraire[T 4]. La Chapelle-Saint-Mesmin était probablement traversée par la voie gallo-romaine reliant Orléans (Cenabum) à Tours (Caesarodunum) par la rive droite de la Loire et qui figure sur la table de Peutinger[92].

La rue du Coin Chaud a livré d'anciennes carrières comblées avec des matériaux de l'époque gallo-romaine[93].

Moyen Âge modifier

Photographie en couleurs d'un terrain sur lequel il y a plusieurs trous de silos et au premier plan, un homme debout en train de regarder au loin.
Vue d'une partie du chantier de fouilles archéologiques des Chesnats en mai 2012.

Des fouilles effectuées en 1990 dans le périmètre de l'ancien cimetière de l'église ont mis au jour de nombreuses sépultures d'époque mérovingienne (notamment sous la 1re mairie et sur la place du bourg)[GHL 12].

Des fouilles archéologiques préventives[94], en 2009 dans le quartier dit les Chesnats, ont permis la mise au jour de vestiges d'un village du haut Moyen Âge, véritable réserve à grains, prenant sa source à l'époque gallo-romaine (du Ier au XIe siècle) et site historique de plusieurs hectares retraçant 1 000 ans d'histoire[95]. Ce site archéologique est considéré actuellement comme l'un des plus importants en France pour cette période (des dizaines de milliers de vestiges immobiliers ont été découverts)[96].

La légende veut qu'aux environs du VIe siècle, saint Mesmin l'Ancien, qui établit un monastère à Micy, de l'autre côté de la Loire, y combattit un dragon à Béraire (premier nom du village), donnant son nom à ce lieu. À sa mort, saint Mesmin se fait ensevelir dans la grotte située sous la Villa Berarii (Béraire). Cette grotte devient un lieu de pèlerinage jusqu'à son oubli. Un cimetière d'époque mérovingienne est implanté à partir du VIe siècle autour d’un édifice cultuel au-dessus du tombeau de Saint Mesmin. L'édifice est remplacé par l'église Saint-Mesmin entre le XIe et le XIIe siècle[T 4].

Temps modernes modifier

XVIe et XVIIe siècles modifier

Au XVIe siècle, la commune dispose d'installations portuaires. En effet, on trouve mention du « port et passage de Saint-Mesmin » dès 1529[97]. En 1616, on compte 185 feux ce qui correspond à environ 832 habitants[GHL 13].

La qualité de bourg ligérien implique que la Loire est une voie de communication aussi sollicitée que la route. Le village est peuplé majoritairement de vignerons qui produisent principalement un vin rouge de table : l'Auvernat[GHL 14], issu du cépage pinot noir[98].

XVIIIe siècle modifier

Lithographie en noir et blanc représentant une église sur un promontoire et, en contrebas, des villageois marchant sur un chemin.
Église et berge de Loire (Aignan-Thomas Desfriches, 1760)

De la préhistoire jusqu'au milieu du XIXe siècle, la Loire est un important axe de navigation et de transport de marchandises et de personnes[99]. Le dessin ci-contre au crayon noir d'Aignan-Thomas Desfriches, daté de 1760, représentant deux bateaux à grande voile rectangulaire, témoigne de l’activité de la marine de Loire au XVIIIe siècle, en interaction avec la commune. Le plus proche est en cours de déchargement. On y voit nettement, à l’arrière, le gouvernail ou piautre placé sur sa fourche. À gauche deux femmes chargées de ballots et une fillette empruntent le chemin escarpé joignant la grève du fleuve à l'église qui le domine[100].

L'assemblée des habitants, composée des chefs de familles du village et représentée par le syndic, Guillaume Rouilly, qui organise la levée des impositions et gère les dépenses dues aux travaux[T 5]. L'assemblée électorale du , présidée par Sylvain Dubois, procureur fiscal dépendant de la justice seigneuriale de l'abbaye de Micy, est chargée d'élire les députés et de rédiger les cahiers de doléances faisant suite à la convocation des États généraux de 1789 par Louis XVI.

Révolution française et Empire modifier

Le décret de l'Assemblée constituante de 1789 décide « il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[101]. La municipalité de La Chapelle Saint Mesmin est rattachée au canton de La Chapelle Saint Mesmin et au district d'Orléans[102]. Jacques Deshayes, vigneron, devient le premier maire de la commune (sont élus avec lui cinq conseillers, un procureur et douze notables). Un décret de déchristianisation est promulgué et le mot saint est banni. La Chapelle Saint-Mesmin devient Roche-sur-Loire ou La Chapelle-Mesmin[T 2]. L'église, fermée la même année, restera sans prêtre jusqu'en 1802. Le premier président élu du canton est François Boucher, un Chapellois. La Chapelle-Saint-Mesmin est alors rattachée au Canton d'Ingré et à l'arrondissement d'Orléans par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[103],[102],[104].

La vie municipale s'organise. Une école primaire est établie dans la commune en [105]. Une Garde nationale composée de volontaires est créée, à La Chapelle, afin de « préserver les villes contre les ennemis au dehors et les prémunir contre les fléaux du dedans »[GHL 15].

Un décret préfectoral en date du 16 thermidor an VIII () nomme maire François Bigault, qui habite non pas La Chapelle mais Saint-Jean-de-la-Ruelle. La même année, la commune est rattachée au canton d'Orléans-Nord-Ouest, un nouveau canton formé entre autres des communes de l'ancien canton d'Ingré[106].

Progressivement, les vignerons sacrifient la vigne au profit de la polyculture désormais plus rentable[GHL 16]. Dans son ouvrage Topographie de tous les vignobles connus paru en 1816, l'œnologue français André Jullien dresse un état des lieux du vignoble orléanais. Parmi les vins rouges dits de première classe, sont répertoriés les vignobles chapellois[Note 19].

Époque contemporaine modifier

Milieu du XIXe siècle modifier

La première mairie est édifiée en 1831 à l'emplacement de l'ancien cimetière (entre l'église et la place du bourg). La seconde est construite en 1854 également place du bourg[107]. En 1844, le petit séminaire du diocèse d'Orléans est édifié dans le parc du château des Hauts. Il sera complètement achevé en [108]. À cette époque, on compte, sur la Loire, quatre moulins flottants servant à moudre le blé ainsi qu'un bac permettant de « passer » le fleuve. Faisant suite à la crue de la Loire du , la ferme de la Bouverie (limite de Chaingy) est saccagée[109] ,[GHL 18],[GHL 19].

L'arrivée du chemin de fer en à La Chapelle fait progressivement disparaitre la viticulture et la batellerie[110], puis cesser, après quelques semaines, leurs activités[111]. La commune commence à tourner le dos à la Loire, ce qui accentue le basculement des activités vers le nord-est de la commune.

Vers 1850, environ 70 % de la population active est concernée par la viticulture. Le vin local, précoce et de bon gout, est alors considéré comme l'un des principaux crus de l'Orléanais[T 6].

Jusqu'à leur disparition en 1851, une dizaine de bateaux à vapeur, d'un tirant d'eau de 21 centimètres, assuraient la liaison entre Nevers et Nantes et pouvaient transporter jusqu'à 150 passagers[111].

Lithographie en couleurs représentant une église en haut d'une falaise dans laquelle est située une grotte et, en contrebas, des embarcations décorées festivement, traversant un cours d'eau très large.
Inauguration de la grotte du dragon (gravure de Charles Pensée-1858).

En 1856, faisant suite à la crue de Loire de début du mois de juin qui a submergé de nouveau les levées de Vaussoudun[Note 20] et de la Bouverie, l'entrée de la grotte du dragon est retrouvée par l'archéologue Ernest Pillon[112]. Elle sera inaugurée le [113].

En 1863[114], un orchestre d'harmonie est fondé au sein du corps de sapeurs-pompiers de la commune qui sera remplacé en 1878 par l'Harmonie de La Chapelle Saint-Mesmin[115].

Le , une énorme inondation recouvre à nouveau le val[116].

Guerre franco-allemande de 1870 modifier

Après l'entrée des troupes bavaroises à Orléans, le , La Chapelle-Saint-Mesmin est occupée à partir du . Faisant suite à l'armistice signé par le gouvernement provisoire le , les troupes d'occupation imposent à la commune le paiement d'une contribution de 4 635 francs avant le . Craignant le retour des troupes, la municipalité parvient finalement à réunir la somme de 2 000 francs qu'elle remet à l'autorité d'occupation vers le . Faisant suite à une nouvelle exigence de la troupe, le maire parvient à faire annuler cette seconde contribution et il est décidé qu'une partie de la somme prélevée sur les habitants soit reversée aux plus nécessiteux. Entre le et le , neuf conscrits chapellois meurent au combat[GHL 21].

Troisième République modifier

Après les ravages causés par le phylloxéra en 1878, un puceron ravageur de la vigne, très peu de replantations sont entreprises[M 20]. Les vignerons deviennent minoritaires et laissent la place aux « cultivateurs propriétaires ». En 1896, ces derniers représentent plus de la moitié de la population active[T 6]. En 1931, ils ne seront plus que 43 %, en 1936 seulement 34 %, en 1954 : 14 % et en 2017 : 0,1 % (cinq agriculteurs).

Jusqu'à la fin du XIXe siècle, le quartier de la Guide prend de l'ampleur et dépasse progressivement en nombre d'habitants celui du bourg. C'est là, en bordure de la route principale, qu'est édifiée en 1884 la nouvelle mairie[M 21].

En , le centre de la commune est raccordé au réseau d'électricité[GHL 22].

Début du XXe siècle modifier

Le , la crue de la Loire, qui atteint la cote de 5,75 mètres, envahit les bois et le chemin de halage. En novembre de la même année, la commune se voit attribuer une nouvelle pompe à incendie qui est remisée dans le local est de la mairie. La précédente pompe sera attribuée en 1910 par la commune au 45e régiment d'artillerie stationné dans la commune[M 22].

En 1911, faisant suite au vote de la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905, l’allée des Tilleuls, propriété de l’ancien petit séminaire, fait l’objet d’un classement dans le domaine communal. La salle des fêtes, les logements de l’asile Sainte-Anne, le presbytère et la chapelle Sainte-Anne sont attribués à la commune[M 23].

La commune compte 178 mobilisés entre les années 1914 et 1918. Dès le mois d', le 45e régiment d'artillerie de campagne (975 hommes), installé à l'origine dans l'ancien Petit Séminaire, est cantonné dans les quartiers du Bourg et de la Guide. L'ancien petit séminaire sert d'ambulance (poste de secours) pour les militaires hindous blessés. Début 1917, le château des Hauts est transformé en hôpital temporaire pour la 5e section d'infirmiers militaires (S.I.M.). Les noms des 50 soldats chapellois[117], déclarés morts pour la France sur 55, figurent sur le monument aux morts de la commune[GHL 23].

Carte postale en noir et blanc : photographie d'un monsieur debout, devant une cabane marquée « passeur », ayant en main une grande barre de bois de plusieurs mètres de longueur
Le passeur de Loire muni de sa bourde.

Début 1921, le bac du passeur[GHL 24] de Loire cesse son activité qui renaitra durant l'occupation à la suite de la destruction par les bombardements alliés des ponts sur la Loire. Il subsistera jusqu'au début des années 1950[T 7].

La culture principale à cette époque reste la vigne (Gris-meunier, Noah, Othello) mais on produit également du blé, de l'avoine, de l'orge, des pommes de terre, des asperges[GHL 25].

Aux alentours de 1930, l'Annuaire général des communes du Loiret des personnes, des services et des biens répertorie une soixantaine d'artisans-commerçants[118].

En 1933, la commune est complètement raccordée au réseau d'électricité. En 1939, le premier château d'eau (rue de Beauvois) est édifié et les travaux du réseau d'adduction d'eau sont achevés en 1940. Un second château d'eau édifié en 1961 (rue des Auvernais) et une station de pompage implantée à Gouffault (Les Muids) en 1985 compléteront le réseau.

Seconde Guerre mondiale modifier

Début , devant la crainte de l'avancée allemande jusqu'à Paris, la commune sollicitée par la préfecture du Loiret, accueille, pendant ce qu'on a appelé la drôle de guerre, une soixantaine de fillettes originaires de la ville de Fontenay-sous-Bois[GHL 26]. Après la débâcle de , faisant suite à l'invasion des troupes allemandes par le Nord de la France, c'est le début de l'exode en juin. La commune est traversée par des flots de réfugiés venant du Nord, de l'Est puis de la région parisienne. À partir du 12 ou , la panique s'empare des habitants qui souhaitent se réfugier au sud de la Loire. Au retour, de nombreuses maisons ont souffert. Beaucoup de poules et de lapins ont disparu mais le bétail s'est regroupé près de quelques fermes[GHL 27].

Après la signature de l'armistice du 22 juin 1940, les troupes allemandes s'installent dans certaines maisons inoccupées. La Kommandantur est en particulier au 7, allée des Tilleuls[Note 21]. Une trentaine de ballons captifs, maintenus dans les airs par des câbles, en bord de Loire au sud-ouest de la commune, empêchent tout survol aérien et protègent le transformateur électrique du hameau de FourneauxChaingy)[GHL 28]. À partir de l'année 1943, de nombreux jeunes Chapellois sont envoyés en Allemagne par le service du travail obligatoire (STO).

Le , une bombe est lâchée par une importante formation de bombardiers se dirigeant vers la ville de Stuttgart en Allemagne. Celle-ci explose au niveau de la rive sud de la Loire et souffle la plupart des vitraux de l'église Saint-Mesmin. Le village est libéré le par les GI américains. Peu après des membres des FFI sont chargés de surveiller la rive opposée de la Loire. Le , un cultivateur est tué dans un champ par l'explosion d'une mine sur laquelle sa carriole avait roulé. Les derniers prisonniers de guerre libérés ne rentrent que vers cette époque[GHL 29].

Depuis 1945 modifier

Après l'implantation d'un hôpital militaire américain en 1951 (the 34th hospital) dans les locaux de l'ancien petit séminaire et sa fermeture en 1967, à la suite du départ de la France du commandement intégré de l'OTAN[GHL 30], l'urbanisation de la commune s'accentue au cours des Trente Glorieuses : de nombreux lotissements et ensembles immobiliers de logements sont réalisés[GHL 31]. La construction de l'école du bourg (appelée aussi école de la route puis de la rue d'Ingré, actuellement École Jean-Vilar) en 1952 permet de répondre plus efficacement à la scolarisation des 400 enfants de la commune[GHL 32].

Avec l’installation de l’usine Michelin en 1950, sont érigés divers ensembles d’habitation : la petite cité Michelin, puis le lotissement des Oiseaux pour le personnel Michelin (en 1953), puis celui de la Noue (en 1954). En 1963, la « maison de campagne » de la Barre de l’Ange (bâtie avant 1850) est remplacée par une résidence. Au nord de la RN 152, les résidences du Levereau et du Prieuré sont respectivement bâties en 1963 et 1968-1971. Puis de nombreux lotissements sont construits : rue de Monteloup (1960) ; les Hauts du Bourg (1965), le domaine de Monteloup (1965- 1973), le Paradis (1973), deux lotissements au grand Courant et vers l’Ardoise (1974-1977), le Moulin de Bel-Air (1975-1977), les Montaux (à partir de 1976), rue d’Orentay (1977), clos du Four (1977)[T 8].

Avec le développement du secteur secondaire dans les années 1950, le nombre d’exploitations agricoles diminue fortement. En 1951, malgré la création de l'appellation d'origine vin délimité de qualité supérieure (VDQS) « vins de l'Orléanais » (Orléans (AOC))[119], s'étendant sur 25 communes autour d'Orléans dont La Chapelle-Saint-Mesmin, la viticulture poursuit son déclin. En 2021, il ne subsiste aucun vignoble notable sur le territoire de la commune.

À partir des années 1960, La Chapelle évolue progressivement vers le secteur tertiaire. Ces changements entrainent des transformations radicales dans les domaines sociaux, démographiques et géographiques. Ils annoncent une inexorable mutation identitaire[T 8].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Chapelle-Saint-Mesmin[Note 22] est membre de l'intercommunalité Orléans Métropole[Note 23], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Orléans. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux. En 2020, il s'agit du SM aménagement desserte aérienne de l'Ouest du Loiret (SMAEDAOL), du SM des bassins versants de la Bionne et du Cens et du SMAH du bassin de la Retrêve et de son affluent le ruisseau du Renard[120].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Orléans, au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[In 7]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Jean-de-la-Ruelle pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[121], et de la deuxième circonscription du Loiret pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[122].

Élections municipales et communautaires modifier

Élections de 2020 modifier

Tête de liste Suffrages Pourcentage CM CC
Nicolas Bonneau 1514 58,38 % 26 2
Francine Meurgues 1079 41,61 % 7 1

Le conseil municipal de La Chapelle-Saint-Mesmin, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[123], pour un mandat de six ans renouvelable[124]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 33[125]. Les trente-trois conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 37,65 %, se répartissant en vingt-six issus de la liste conduite par Nicolas Bonneau et sept issus de celle de Francine Meurgues[126]. Nicolas Bonneau, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [127]. Sa liste étiquetée "Divers Gauche" bénéficiait du soutien du PS, EELV et LREM[128].

Les trois sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de l'intercommunalité Orléans Métropole se répartissent en : liste de Nicolas Bonneau (2) et liste de Francine Meurgues (1)[126].

Nicolas Bonneau, maire depuis 2008, meurt le , à l’âge de 53 ans, à la suite d'un accident vasculaire cérébral[129]. Le conseil municipal élit le Valérie Barthe Cheneau maire de la commune, jusque-là première adjointe[130],[131].

Liste des maires modifier

La liste des maires successifs est affichée à la mairie[132],[T 9].

Depuis la Libération, huit maires se sont succédé[132],[T 9] :

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 1944 octobre 1947 Pierre Bergerard   Maçon
octobre 1947 novembre 1953 Maurice Lalière SFIO Entrepreneur de maçonnerie
Démissionnaire
janvier 1954 mars 1977 Aurélien Hatton Sans étiquette Plombier-chauffagiste, gardien de la paix
mars 1977 mars 1989 Pierre Grard RPR Chirurgien-dentiste
mars 1989 juin 1995 Jean-Marc Bernard PS[Note 24] Responsable de projets
juin 1995 mars 2008 Michel Tescher UDF[Note 25] puis UMP Chirurgien gynécologue[136]
mars 2008 [129] Nicolas Bonneau PS[137] puis DVG[Note 26] Cadre de la fonction publique

Décédé en fonction[LaR 5]

14 septembre 2020[130] En cours
(au [M 24])
Valérie Barthe Cheneau[130] DVG Chargée de communication[139]

Conseil municipal des jeunes modifier

Le conseil municipal des jeunes est une instance consultative de la jeunesse créée en 1996 par la municipalité[M 25] dont les principaux objectifs sont :

  • d'associer et de consulter les jeunes sur les projets et décisions de la commune dans les domaines qui les concernent ;
  • de contribuer à préparer les jeunes à leur vie de citoyen.

Les 33 jeunes conseillers sont élus par les enfants scolarisés dans les classes de CM1, CM2 et 6e, domiciliés dans la commune. La durée de leur mandat est de deux ans.

Finances locales modifier

La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin faisant partie d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre, Orléans Métropole, son budget ne reflète qu'imparfaitement la réalité de la fiscalité locale en raison des transferts de dépenses de fonctionnement et d'investissement vers l'EPCI, d'une part, et de la perception par l'intercommunalité du produit de la fiscalité professionnelle (la contribution économique territoriale), d'autre part. Ainsi, diverses ressources fiscales sont prélevées au niveau communautaire, et de nombreuses dépenses sont également effectuées à ce niveau[140].

En 2019, le budget communal principal s'équilibrait à 17 689 000  dont 12 541 000  en section de fonctionnement et 5 148 000  en investissement. La part d'impôts locaux dans les produits de fonctionnement s'établissait à 63,0 %, contre 43,2 % pour la strate de communes équivalente de 10 000 à 20 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé, avec des taux d'imposition fixés à 16,3 % pour la taxe d'habitation (16,7 % pour la strate), (y compris Taxe sur les logements vacants (THLV)), 32,62 % et 64,21 % pour la taxe foncière sur le bâti et le non-bâti (23 % et 54 % pour la strate). Par ailleurs l’encours de la dette communale est relativement faible, puisqu’il s’établit à 530 €/habitant contre 850 €/habitant pour la strate[141].

Distinctions et labels modifier

La commune a obtenu en 2004 le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[31].

En 2019, elle obtient le label officiel commune touristique[LaR 6] au titre de membre d'Orléans Métropole et le label « Terre de jeux 2024 » destiné aux collectivités qui s’engagent dans l’aventure des Jeux avec leurs habitants[142] dans la perspective de la tenue des Jeux olympiques d'été de 2024[M 26].

En 2023, l'association Prévention routière lui décerne le niveau « deux cœurs » du label « ville prudente », label des communes qui s’engagent pour la prévention et la sécurité routières[143].

Jumelages modifier

Photographie d'une estrade de part et d'autre de laquelle peuvent être vus le drapeau français et le drapeau du Royaume-Uni et en arrière plan le nom des deux communes jumelées des deux pays.
Jumelage La Chapelle-Newhaven.

Au 1er septembre 2023, La Chapelle-Saint-Mesmin est jumelée avec[144],[145] :

Le jumelage avec Newhaven, ville portuaire d'Angleterre située dans le Sussex de l'Est, est particulièrement actif. Il fête ses dix ans en 2021[LaR 7].

Celui avec Cavriglia fête son 30e anniversaire en 2023 par l'organisation de plusieurs manifestations[LaR 8].

Équipements et services publics modifier

Gestion de l'eau modifier

Eau potable modifier

Le premier château d'eau (de Beauvois) est édifié en 1939 avec un forage de 84 mètres. Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du sur l’eau et les milieux aquatiques[146]. La gestion de l’eau étant une compétence obligatoire des communautés urbaines[147] et des métropoles[148], la communauté urbaine Orléans Métropole s'est substituée à la commune[Note 27] pour la mise en œuvre du service public d'eau potable lors de la transformation de la communauté d'agglomération Val de Loire en communauté urbaine le , puis c'est la métropole Orléans Métropole le qui a pris cette compétence. La commune de La Chapelle-Saint-Mesmin est alimentée en eau potable par deux forages pompant l'eau dans la nappe souterraine des calcaires de Beauce : le forage de 75 mètres de la rue des Auvernais (château d'eau des Auvernais), mis en service en 1962 et le forage de 80 mètres de Gouffaut (les Muids), mis en service en 1985[149].

Eaux usées modifier

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[150], est assurée depuis le par la communauté de l'Agglomération Orléans Val de Loire, puis le par la communauté urbaine et enfin depuis le par Orléans Métropole[151].

Depuis le , la métropole a signé un contrat de délégation de service public avec la société Suez pour l'exploitation des réseaux et ouvrages de transport de 11 communes du territoire métropolitain dont La Chapelle-Saint-Mesmin[152]. Le réseau comprend un réseau unitaire (eaux usées + eaux pluviales) de 40 822 ml, un réseau séparatif eaux usées de 7 760 ml et un réseau d'eaux pluviales de 4 229 ml. On compte, dans la commune, 17 stations de relevage pour les eaux usées et 2 pour les eaux pluviales[151]. Ces stations peuvent contenir de une à quatre pompes dont les puissances peuvent varier de 1,3 kW à 140 kW (soit de 3 l/s à 450 l/s)[153].

Un zonage d'assainissement, qui délimite les zones d'assainissement collectif, les zones d'assainissement non collectif et le zonage pluvial[154] a été réalisé par l’AgglO et a été approuvé par délibération du conseil de communauté du [155].

La commune est raccordée à la station d'épuration dite « de La Chapelle-Saint-Mesmin », située au sud-ouest du territoire communal[156]. Cet équipement, dont la capacité est de 350 000 EH, le plus important sur le territoire d'Orléans Métropole, a été mis en service le [157] et son exploitation est assurée depuis par Véolia[152].

Gestion des déchets modifier

Carte présentant les différents points de traitement des déchets de Orléans-Métropole.
Sites de collecte, de traitement et de valorisation des déchets de la communauté urbaine d'Orléans Métropole, avec localisation de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin.

La collecte, le traitement et la valorisation des déchets sont une compétence exclusive de la communauté urbaine Orléans Métropole depuis 2002 (l'intercommunalité était alors communauté de communes). La collecte des déchets ménagers résiduels (DMr)[Note 28] est effectuée en porte-à-porte dans toutes les communes de la communauté urbaine. Un réseau de six déchèteries (créé au début des années 1990) accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, cartons…). La plus proche pour les habitants de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin est celle d'Ingré[158].

Une unité de traitement permettant la valorisation énergétique (l’incinération des déchets ménagers résiduels) et la valorisation matière des autres déchets (corps creux, corps plats et multimatériaux) est en service à Saran depuis 1996. Elle est exploitée par la société Orvade, filiale du groupe Veolia[159].

Enseignement, formation, animation modifier

La commune dispose de trois groupes scolaires (élémentaire, maternelle) Jean-Vilar[Note 29] (1952), Bel-Air (1971), Les Vallées (maternelle en 1980 et élémentaire en 1994) et d'un collège (collège Pasteur, 1972).

Elle dispose également d'un centre de loisirs (enfants de 3 à 15 ans) réalisé dans les années 1980. Le précédent centre aéré, construit en 1968 et détruit par un incendie accidentel, était situé au même endroit.

À la rentrée 2014, l'ouverture d'une école privée hors contrat de confession musulmane était prévue, la première de France en région Centre. Elle n'a pas pu ouvrir à cause d'un non-respect de certaines normes de sécurité, et ne pouvait toujours pas ouvrir à la rentrée 2015 à la suite d'une décision du maire relative au nombre de places de stationnement concernant cette école[160]. L'association qui promouvait ce projet a fini par y renoncer au printemps 2016[161].

Sont également situés sur le territoire de la commune :

Santé, solidarité modifier

Le centre social municipal abrite[M 28] :

  • le centre communal d'action sociale (CCAS) ;
  • le centre local d'information et de coordination (CLIC) qui accompagne les personnes âgées et leurs familles ;
  • le multi-accueil Mélodine, établissement municipal d’accueil du jeune enfant (EAJE) qui permet l’accueil en simultané de 20 enfants de façon régulière ou occasionnelle ;
  • la mini-crèche La courte échelle, établissement municipal d’accueil du jeune enfant (EAJE) qui permet l’accueil de 21 enfants de 0 à 3 ans (ou jusqu’à la scolarisation) en accueil régulier.

En outre, un service municipal de transport gratuit en minibus adapté est proposé aux personnes âgées pour leur permettre de se déplacer.

La Maison de santé pluridisciplinaire municipale (MSP) a vu le jour en 2019 grâce à l'action de la municipalité et regroupe une vingtaine de praticiens[M 29].

Le relais d'assistantes maternelles (RAM) est un service municipal gratuit mis à la disposition des habitants. C’est un lieu d’écoute, d’informations, de rencontres, d’animations et d’échanges pour les parents, les assistantes maternelles, les gardes à domicile et les enfants.

Un pôle de santé privé a ouvert ses portes en 2017 et regroupe une dizaine de praticiens[M 29].

Une dizaine d'associations à but social agissent au niveau local.

Établissements pour personnes âgées modifier

La commune accueille trois établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) :

  • l'Ehpad les Ombrages (qui héberge également le centre de réadaptation fonctionnelle Le Coteau - CRFA) gérés par l’Union pour la Gestion des Établissements des Caisses d’Assurance Maladie (UGECAM) se sont installés début 2018[M 30] ;
  • l'Ehpad Résidence de La Chapelle[162] ;
  • l'Ehpad Reflet de Loire administré par l'entreprise Korian[163].

Sécurité, justice modifier

Police municipale modifier

La police municipale composée de six policiers en 2021, assure des missions de dissuasion et de prévention, y compris en milieu scolaire (écoles, collège, centre de formation d’apprentis). Elle effectue environ 1 200 interventions annuellement. Le service supervise également le dispositif de vidéo-protection composé de 60 caméras réparties sur le territoire de la commune[M 31].

Sapeurs-pompiers modifier

En 2021, la commune dispose d’un centre de première intervention (CPI) composé d’une quinzaine de sapeurs-pompiers volontaires. Le centre réalise plus de 300 interventions par an (feux, accidents, secours à victimes et autres opérations). Il dépend du service départemental d'incendie et de secours (SDIS) et possède un véhicule d’intervention polyvalent (VIP) doté d’une réserve d’eau de 400 litres et d’un véhicule léger[M 32].

Il est intégré au Groupement Intercommunal des Sapeurs Pompiers de l'Agglomération Orléanaise (GISPAO) en 1991[M 33].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.

Le recensement de 1954 révèle qu'en vingt années, la population a augmenté de 35 % et le nombre de maisons s'est accru de 85 % entre 1936 et 1958. 7 % sont alors de nationalité étrangère, principalement américaine, car 13 000 américains se sont installés dans l'agglomération orléanaise à la suite du Pacte de l’Otan de 1949[T 8]. Entre 1951 et 1967, 5 495 bébés (dont près de 5 000 citoyens américains) naissent dans l'hôpital militaire de la commune (The 34th General Hospital), le plus important d'Europe. En 1966, la France quitte l'OTAN et les bases militaires américaines sont démantelées[GHL 33].

Entre 1954 et 1982, la population triple, passant de 2 613 à 7 801 habitants[T 8]. En 2021, la commune comptait 10 218 habitants, en augmentation de 0,47 % par rapport à 2015[I 5].

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1751 3241 2701 2671 2821 2411 2711 3661 452
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6941 8481 8581 7751 7271 7561 7361 8221 696
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6621 5171 5531 2771 3881 6471 9132 1622 613
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 7485 1436 4827 8018 2078 9679 2829 80010 223
2021 - - - - - - - -
10 218--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[102] puis Insee à partir de 2006[164].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

Locales modifier

La commune compte une trentaine d'associations culturelles et accueille de nombreuses manifestations dont :

  • la fête du vin doux[165], fin septembre, place des Grèves, depuis 1977 ;
  • les éditions du festival national d'opéras pour enfants[M 34] se sont déroulées chaque année de 1990 à 1992 puis tous les 2 ans de 1992 à 2002[166] ;
  • depuis 2004, le festival d'images sous-marines Images de l'eau delà : concours, conférences, projections, expositions[167] ;
  • le festival Geek Faëries (2010-2012).

Le , la commune commémore le bicentenaire de la Révolution française par l'organisation de manifestations et cérémonies. À cette occasion, un arbre de la liberté, un chêne, est officiellement planté par la municipalité dans le parc de l'Espace Béraire.

Photographie en couleurs d'un groupe de musiciens en représentation, sur une estrade, un batteur étant au premier plan.
Festival Balade en Musiques.

Depuis sa création en 2008/2009, le service culturel municipal propose une saison de programmations culturelles tout le long de l'année avec plusieurs temps forts:

  • le festival « Balade en musiques » en juin depuis 2008, place des Grèves et renommé depuis 2022 « Sons au fil de l'eau[168] » ;
  • les fêtes d'automne, entre 2008 et 2015, appelées « Festival E Chap & Vous! » ;
  • la « fête des Duits »[169], à partir de l'été 2014 et pendant quelques années, a permis de créer en bord de Loire et dans le parc de la Solitude, un espace culturel original voué à la légende du Dragon de Saint-Mesmin et à la création artistique.
  • « la rue au fil de l'eau », festival des arts de la rue, ayant lieu en été à partir de 2021, dans le centre bourg et place de l'église[170], en lien avec « le Loiret au fil de l'eau », manifestation d'été organisée par le Conseil départemental du Loiret[171].

En outre, pour commémorer les 1 500 ans de la mort de saint Mesmin, la ville a proposé tout au long de l'année 2020 des manifestations culturelles autour de la légende du dragon de Béraire[172].

Agglomération modifier

La commune participe par ailleurs à des manifestations organisées au niveau de l'agglomération :

  • le festival intercommunal Festiv'Elles organisé dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes en mars de chaque année depuis 2015. Créé au départ avec deux communes de l'agglomération orléanaise, au fil des années, d’autres communes se sont jointes au projet. Elles sont aujourd'hui onze (La Chapelle-Saint-Mesmin, Chécy, Fleury-les-Aubrais, Ingré, Orléans, Ormes, Saint-Jean-de-Braye, Saint-Jean-de-la-Ruelle, Saint-Jean-le-Blanc, Saran et Semoy) à proposer une programmation diverse, variée et complémentaire (expositions, projections, spectacles tout public, concerts et spectacles d’humour)[173] ;
  • les Fêtes johanniques d'Orléans, qui fêtent chaque début mai la libération d'Orléans par Jeanne d'Arc en 1429, restent la manifestation populaire la plus importante et la plus ancienne de l'agglomération Orléanaise[174] ;
  • le festival de Loire rassemble en septembre à Orléans, depuis 2003, tous les deux ans les années impaires, une importante batellerie internationale (700 mariniers, 500 artistes, 150 exposants) avec près de 300 manifestations gratuites programmées autour de ce thème, sur deux kilomètres de quais[175].

Sports modifier

Les clubs sportifs de la ville (environ 22 associations, 3 400 licenciés) sont regroupés au sein de l'Union sportive chapelloise, créée en 1941[176].

En 1990, la commune créé une école municipale des sports réservée aux enfants de quatre à six ans[M 35].

Jusqu'en 2022, la commune disposait de deux gymnases : Jean Sadoul (1972 et dénommé ainsi en 1992[M 36]) et Aurélien-Hatton (le complexe sportif dont dépend le gymnase est aménagé en 1970 et ce dernier agrandi en 1993) et d'une piscine municipale construite en 1973 et réhabilitée en 2011. Le gymnase Jean-Sadoul désormais trop vétuste et inadapté, ferme ses portes fin pour être démoli et laisser la place, début (les travaux ayant démarré fin 2020[M 37]), à un nouveau complexe sportif plus moderne, plus vaste (2 640 m2), plus économe et mieux adapté aux activités des associations sportives locales[M 38], dénommé Nicolas Bonneau, en hommage à son maire à l'origine du projet, décédé en 2020.

Un circuit de BMX, situé en bord de Loire au lieu-dit Vaussoudun[Note 30] dans le domaine public fluvial (géré par l'État) depuis 1988, accueille régulièrement des compétitions nationales et internationales. Ce terrain « en dur » est précédé en 1983 par l'implantation d'un simple parcours de bicross (encore en activité) près de la place des Grèves[M 4]. L'association le Bi Club Chapellois[177], utilisatrice du circuit, est le premier club de BMX de France en nombre de licenciés. À ce titre, avec 310 licenciés, le club s’est vu remettre en 2017 par le président de la Fédération française de cyclisme, le trophée de plus grand club de cyclisme français, sur 2 508 clubs, toutes disciplines confondues[M 39].

Un nouveau circuit de BMX, composé d’une piste d’une longueur de 420 mètres et muni de deux buttes de départ s’élevant chacune respectivement à une hauteur de 5 et de 8 mètres, respectant les normes des compétitions internationales, sera édifié dans le courant de l'année 2023 à l'extrême ouest de la commune au lieu-dit Les Pierrelayes[M 40]. La zone dédiée à ce projet a en effet été validée le par le conseil d'Orléans Métropole dans le cadre de l'élaboration du Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUM). Ce circuit intègrera, à partir de , la plus longue piste de bicross de France et devrait être utilisée comme « base arrière » pour les Jeux olympiques d'été de 2024.

Vie associative modifier

En dehors des associations sportives et culturelles, la commune témoigne d'une vie associative intense[178],[179]. Elle compte de nombreuses associations culturelles, comme « Bidon é vous », Échanges franco-allemands, Détente et loisirs et le Groupe d'Histoire Locale (GHL) qui depuis 1984 oeuvre en faveur de la sauvegarde de la mémoire de l'histoire de la commune[M 41], des associations humanitaires, d'entraide et sociales[180]. L'Harmonie de La Chapelle Saint-Mesmin[181] est le groupe culturel le plus ancien de la commune encore en activité, puisque l'orchestre a été fondé par la compagnie des sapeurs-pompiers en 1863[114], à la suite de la dissolution de la Garde nationale en 1852.

Cultes modifier

Culte catholique modifier

Le territoire de la commune dépend du « groupement paroissial de La Chapelle-Saint-Mesmin-Chaingy-St Ay (Agylus) »[182] au sein du « pôle missionnaire Ouest »[183] du diocèse d'Orléans. Le lieu de culte est l'église Saint-Mesmin où la messe est célébrée chaque dimanche[184].

Autres cultes modifier

Le lieu de culte musulman est la mosquée Al-Taqwa[185] néanmoins, il est possible d'aller dans l'une des quatre mosquées d'Orléans (pakistanaise, La Source, Es-Sunna et Ibn Badis)[186]. Les Chapellois ne disposent pas de lieux de culte israélite et protestant. Pour ces religions, les lieux de culte les plus proches sont à Orléans : synagogue d'Orléans et plusieurs lieux de culte protestant, notamment le temple de l'Église protestante unie de France[187], le centre de l'Église évangélique libre d'Orléans[188], le centre de l'Église Parole de Vie[189], l'Église évangélique baptiste de l'Orléanais[190].

Médias modifier

Télévision modifier

France 3 Orléans Loiret est la chaîne locale publique sur l'actualité du Loiret et de sa métropole.

Radio modifier

Plusieurs chaînes de radio peuvent être reçues dans la commune[191], parmi lesquelles (classement en fonction de la fréquence d'émission) :

Presse modifier

Les Chapellois sont informés par :

  • les pages locales du quotidien La République du Centre[LaR 9] ;
  • le magazine municipal LCSM, bulletin trimestriel d'information de 20 pages, tirage couleur, distribué gratuitement aux habitants et consultable sur le site de la mairie[M 42] ;
  • le Guide Pratique, guide municipal annuel de 64 pages, recensant les services, les commerces, les entreprises, les associations et fournissant tous renseignements utiles ;
  • le Bulletin annuel du Groupe d'histoire locale (GHL) de La Chapelle Saint-Mesmin ;
  • L'Étudiant autonome, journal des étudiants de l'agglomération orléanaise dont le siège de la rédaction est situé sur le campus de La Source ;
  • La Tribune d'Orléans, journal gratuit d'informations locales paraissant chaque jeudi (le journal a cessé son activité le et a été regroupé avec L'Hebd'O, devenant ainsi La Tribune/Hebd'O, magazine [gratuit] d'information d'Orléans et d'Orléans Métropole, paraissant chaque mercredi) ;
  • Edith Magazine, féminin mensuel gratuit d'Orléans et son agglomération.

Internet modifier

Le déploiement du réseau FTTH (de l'anglais : Fiber to the Home, en français : Fibre optique jusqu'au domicile) est opérationnel depuis 2016 sur tout le territoire de la commune[M 43].

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 4 227 ménages, 10 072 personnes dans les ménages fiscaux, et un revenu fiscal médian déclaré par unité de consommation de 22 730 [I 6], ce qui place La Chapelle-Saint-Mesmin au 9 764e rang par ordre décroissant parmi les 31 330 communes de plus de 34 ménages en métropole[I 7].

Cette valeur de 22 730 euros de revenu fiscal médian disponible est très légèrement supérieure (+ 3,5 %) à la médiane départementale qui s'établit, pour la même année, à 21 960 euros[I 8].

Emploi modifier

Taux de chômage
Division 2007 2012 2017
Commune 7 % 9 % 9,6 %
Département 9,2 % 12,1 % 13,1 %
France métro. 11 % 12,7 % 13,4 %

En 2017, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 6 280 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs dont 71 % ayant un emploi et 7,5 % de chômeurs[I 9]. Depuis 2007, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

On compte 3 446 emplois dans la commune, contre 3 189 en 2007 et 3 489 en 2012. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 4 485, l'indicateur de concentration d'emploi est de 76,8 %[I 10].

Seulement 19,3 % des habitants travaillent dans la commune[I 11]. Pour se rendre au travail, 82 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,9 % de transports en commun, 5,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied. Enfin 2,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Entreprises, commerces et agriculture modifier

Secteurs d'activité modifier

Secteur Postes salariés Taux
Ensemble 3 592 100
Agriculture 0 0
Industrie 397 11,1 %
Construction 312 8,7 %
Commerce, transports, services divers 2 182 60,7 %
Administration publique, enseignement,
santé, action sociale
741 20,6 %

Le tissu économique communal est largement représenté par les commerces, transports et services divers qui représentent 61 % des emplois sur le territoire en 2017[G 11], contre 47,3 % aux niveaux départemental et national[194],[195].

L'activité agricole[G 12]. encore présente en 2010 a connu une érosion continue en 30 ans, passant de 21 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune en 1988, à 9 en 2000, 8 en 2010. En 2017, la commune ne compte plus que trois exploitants agricoles[GHL 34].

L'activité industrielle, avec 397 emplois dans la commune et 11,1 % des emplois, est non négligeable mais reste inférieure au niveau départemental, où elle représente 16,7 %[I 13].

Zonage modifier

La commune dispose de cinq zones d'activité[G 13] :

  • la zone des Portes de Micy, zone communale située directement à la sortie du péage autoroutier Orléans/Centre ;
  • la zone de la Chistera, zone privée située au long de l'avenue Georges Pompidou à proximité du péage autoroutier Orléans/Centre, de la deuxième ligne de tramway et du parc relais de 176 places ;
  • la zone Descartes, zone privée à environ deux minutes du péage autoroutier Orléans/Centre ;
  • la zone des Forges, zone communale située au nord de la ville et à environ 1 km du péage autoroutier ;
  • la zone des Quatre Cheminées, zone communale située à la sortie ouest de la ville en bordure de la route départementale 2152. Cette zone doit faire l’objet d’un agrandissement dans le cadre du plan local d'urbanisme mis en révision en 2015 et adopté par Orléans Métropole en 2019 (voir plus haut la section « Projets d'aménagement »).

Industrie modifier

Photographie en couleurs de face, de trois verres de table empilés l'un dans l'autre, sur une table.
Verres Duralex-DSC 3968.
Photographie en couleurs d'une affiche représentant le bibendum Michelin poussant un pneu.
Affiche publicitaire Michelin.

Il subsiste un réel secteur industriel entre l'usine Duralex (dotée d'une imposante cheminée) et l'autoroute A71 au lieu-dit des Hauts-Champs, ce secteur est par ailleurs connexe à la zone industrielle d'Ingré / Saint-Jean-de-la-Ruelle (communes limitrophes) et est très bien desservie par les infrastructures autoroutières. Les deux principales entreprises en activité sont les entreprises Duralex et la conserverie de légumes Maingourd. L'entreprise Michelin qui a également été un employeur important de ce secteur d'activité a aujourd'hui disparu.

La verrerie Duralex[196], emploie en 2021 environ 260 personnes. Placée en redressement judiciaire en , le tribunal de commerce d'Orléans a validé, fin , son rachat par la maison mère de Pyrex, International Cookware[197],[LaR 10]. Cette verrerie, créée en 1927 par le vinaigrier Dessaux, a appartenu également au parfumeur François Coty en 1930, sous le nom de société des verreries de La Chapelle-Saint-Mesmin. Elle servait alors à fabriquer des flacons de parfum[198]. Elle a été acquise par Saint-Gobain en 1934. En 1935, l'usine compte 575 salariés[GHL 35]. Certains entrepôts à l'est au lieu-dit des Forges ont été cédés à d'autres entreprises depuis l'avènement des flux tendus. À la fin des années 1960, l'usine compte 1 000 employés sur 41 000 m2 couverts et produit 600 000 articles par jour[T 10]. Mais la vaisselle trempée Duralex « incassable » fabriquée sur place qui équipe encore de nombreuses cuisines de collectivités continue d'être exportée en 2021 dans plus de 100 pays du monde. Ceci malgré l'installation d'usines similaires du prototype performant Chapellois par le groupe Saint-Gobain dans d'autres pays et après des licenciements massifs à La Chapelle dans les années 1980 accompagnés d'importants mouvements sociaux. La vaisselle Duralex modèle de design industrielle du XXe siècle est présente au MoMa Store, boutique du Musée of Modern Art de New York.

La conserverie de légumes René Maingourd (Groupe CECAB-Eureden : D'aucy-Maingourd-Depenne[199]…), créée initialement en 1880 à Orléans[200], est installée dans la commune depuis 1969 en face de l'entrée/sortie des autoroutes A10 et A71 à l'extrémité sud-est de ce secteur industriel de la commune. En 2019, elle employait 154 personnes et présentait un chiffre d'affaires de 42 676 908 [201],[202].

Une importante entreprise Michelin (domaine de 19 hectares dont 41 000 m2 de bâtiments) s'est installée en 1950 au sud-est de l'actuelle verrerie Duralex et à l'est de la rue d'Ingré, et a compté des effectifs importants (1 300 personnes jusqu'aux années 1980, 850 personnes en 1988 et 522 personnes en 1991). Pendant ces 50 années d'existence, l'usine a fabriqué pneus (le « Métalic »), chambres à air et enfin cartes routières[GHL 36]. Faisant suite à la cessation des activités industrielles et la suppression de 485 emplois en 1991 puis de la fin des activités sur les cartes routières en avec une quarantaine d'employés, et enfin à la démolition du site en 1996-1997, il ne reste aujourd'hui de l'usine Michelin que quelques traces (notamment une petite cité pavillonnaire réservée au personnel de l'usine : Les Oiseaux et La Noue), et laisse place au siège social voisin du groupe Mr Bricolage.

Agriculture modifier

Au XIXe siècle, environ 400 familles paysannes vivaient de l'agriculture. En 1950, on comptait 362 exploitants. En 1972, le nombre se réduit à 49. En 2017, la commune ne compte plus que trois exploitants agricoles[203].

En raison de la taille et du morcellement des parcelles cultivables ainsi que du manque de chemins pour y circuler, le syndicat agricole local propose, en 1945, de procéder à un remembrement de la propriété foncière. La commune fut l'une des premières du département à le mettre en place en 1950. L'association foncière (AFP) fut créée à cette occasion. Cette opération permit de réduire le nombre de parcelles cadastrales de 18 960 à 1 405[GHL 37]. Un second remembrement a lieu à l'occasion de la construction et le passage de l'autoroute A10 sur le territoire de la commune en 1974 afin de procéder à la remise en forme des parcelles et des chemins d'exploitation[GHL 38]. L'association foncière est chargée d'entretenir les chemins d'exploitation qui ne peuvent être classés dans le domaine communal, à l'exception du chemin de l'échelle rétrocédé à la commune en 1992[M 44].

Afin d'améliorer leurs revenus, les cultivateurs, en contrat avec la Société d'exploitation industrielle des tabacs et des allumettes (Seita), s'essayèrent à la culture du tabac à partir de 1950. On compte huit planteurs dès la première année, seize en 1956 et enfin deux en 1970. Mais cette activité, bien que rémunératrice, exigeait beaucoup d'énergie et de temps. Elle cessa en 1970[GHL 39],[GHL 40].

Commerce modifier

Photographie en couleurs d'un marché en extérieur, une vasque fleurie au premier plan.
Le marché de Béraire.

Le marché de Béraire, créé en 2009, a lieu le samedi matin de h à 13 h devant l’Espace Béraire. C'est un marché à dominante alimentaire qui compte 30 commerçants et producteurs.

Les petits commerces et moyennes surfaces se trouvent principalement le long de l'ancienne route nationale (route de Blois, rue Nationale, route d'Orléans), créant des micro-centralités le long de cet axe et lui conférant une certaine animation malgré le flux important de véhicules. Le supermarché de la marque Intermarché s'installe à l'ouest de la commune en 1983[M 45].

La place du Bourg, anciennement commerçante, ne compte plus en 2021 qu'un bistrot.

Services modifier

Le château des Hauts a été vendu en 2012 par le conseil général du Loiret à la société d'informatique Pentalog qui en a entrepris la rénovation[204] pour en faire son siège.

Le siège social du groupe Mr Bricolage est situé à La Chapelle-Saint-Mesmin depuis 2000 en lieu et place de l'ancienne usine Michelin dans la zone industrielle. Il regroupe plus de 340 collaborateurs.

Culture locale, patrimoine et tourisme modifier

Carte
Carte des principaux lieux et monuments de La Chapelle-Saint-Mesmin
  • Architecture religieuse
    • 1Église Saint-Mesmin
    • 2Grotte du dragon de Béraire
    • 3Croix Noble
    • 4Chapelle Chemin de Beuvry
  • Architecture civile
    • 1Ancien petit séminaire
    • 2Petit château
    • 3Château de la Source du Rollin
    • 4Château de l'Ardoise
    • 5Château des Hauts
    • 6Château des Tourelles

Patrimoine religieux modifier

Église Saint-Mesmin modifier

L'église Saint-Mesmin est l'une des plus anciennes du Val de Loire, bâtie à flanc de coteau au-dessus de la grotte dite du dragon aux XIe et XIIe siècles. Elle est « classée » au titre des monuments historiques depuis 1862[205].

Grotte du dragon de Béraire modifier

La grotte du dragon de Béraire, située juste en dessous de la Villa Béraire (Villa Berarii) à l'emplacement de l'église Saint-Mesmin, aurait été, selon la légende, le repère d'un dragon terrassé par Maximin de Micy (saint Mesmin l'Ancien), 2e abbé de Micy située sur la rive opposée. Il y fut enterré à sa mort en 520.

La Croix Noble modifier

C'est une croix[Note 31] en pierre taillée, d'1,86 mètre de hauteur, située à l'extrémité nord-ouest de la commune, au carrefour des rues d'Orentay et de l'Azone et des routes de Chaingy et de La Chapelle[206]. Elle y a été installée le par trois carriers[Note 32], au croisement de cinq chemins[Note 33] empruntés à l'époque principalement par des troupeaux de bovins. Ce monument a été précédé, au XVIIe siècle, par une autre croix[Note 34], disparue plusieurs années avant son remplacement par la croix actuelle. Elle a été extraite d'une carrière souterraine située à proximité par Jacques Moreau, agriculteur et carrier. Les aménagements récents des chemins en routes ont permis la création d'un terre-plein au milieu du carrefour mettant en valeur cette croix. Mutilée par une collision malheureuse dans les années 1980, la Croix Noble a été restaurée par l'Atelier de la Perrière de La Chapelle Saint-Mesmin. Une restauration de la croix (décapage et peinture des inscriptions gravées) est entreprise en 2021[GHL 42].

La chapelle Chemin de Beuvry modifier

Photographie en couleurs d'une stèle funéraire de type chapelle au milieu d'un cimetière.
Chapelle Chemin de Beuvry (en haut à droite du cliché).

Cette chapelle sépulcrale de la famille Chemin de Beuvry est un imposant monument funéraire érigé en 1837 dans le cimetière dit « du bourg » à la mémoire de Etienne Jean Désiré Chemin de Beuvry (voir liste des propriétaires du château des Hauts) par sa veuve Françoise Le Pilleur de Beuvry qui en fit don, ainsi que deux parcelles de terrain du cimetière[Note 35], à la commune[GHL 43].

Patrimoine civil modifier

Ancien petit séminaire modifier

Propriété de l'hôpital d'Orléans jusqu'en 2020, le petit séminaire était, entre 1846 à 1906, l'école secondaire ecclésiastique dépendant du séminaire d'Orléans. Il est créé par Jean-Jacques Fayet et continue de se développer sous l'épiscopat de Félix Dupanloup. Il a compté jusqu'à 300 élèves. Paul Gauguin fut l'un de ses élèves les plus illustres.

Châteaux modifier

La commune contient plusieurs châteaux :

  • le château des Hauts qui date du XVe siècle est le siège de la société d'informatique Pentalog[204]. Il a été la résidence notamment de Marie Touchet la maîtresse de Charles IX, la tragédienne Mademoiselle Raucourt[207] et Félix Dupanloup évêque d'Orléans ;
  • le Petit château ou château de la Solitude, abrite l'hôtel de ville depuis 1999 ;
  • le château de la Source du Rollin ou château du Rollin, construit au XIXe siècle[T 11], est, en 2021, une hostellerie de charme pouvant accueillir réceptions, fêtes de mariage et séminaires[208] ;
  • le château de l'Ardoise a notamment été à partir de 1840 la demeure d'Ernest Pillon, archéologue et découvreur de la grotte du dragon de Béraire[GHL 44] ;
Carte postale en noir et blanc représentant un bâtiment nommé « Les Pervenches ».
Le château des Pervenches avant sa démolition.
  • le château des Tourelles bâti dans la seconde moitié du XIXe siècle ;
  • le petit château (à ne pas confondre avec l'autre petit château, actuel hôtel de ville), belle demeure possédant une cave voutée construite au Moyen Âge ; il fut habité dans les années 1920 par la comédienne Nelly Cormon ;
  • les châteaux des Oiseaux, des Pervenches, de La Barre de l'Ange et de Monteloup (dont il ne subsiste aujourd'hui que l'allée) ont été démolis dans les années 1950 et 1960 pour laisser la place à des lotissements ou à des ensembles immobiliers.

Ancienne mairie modifier

L'ancienne mairie, située sur la route départementale 2152, abrite l'école municipale de musique et de danse depuis 1999[M 46].

Photographie en couleurs d'une cour vue d'un toit la bordant, bordée d'une rangée d'arbres.
Vue de l'ancienne école communale au second plan et du petit séminaire au lointain.

En 1881, le conseil municipal décide de faire édifier une nouvelle école. Trois ans plus tard, en 1884, une mairie-école[209] remplace la précédente en bordure de la route principale, au hameau de La Guide « à l'emplacement de la pompe »[Note 36], situation plus centrale pour la commune mais éloignée du centre ancien et de la Loire dont celle-ci se détourne progressivement. L'ancienne école communale (bibliothèque municipale depuis 2000 après avoir servi pendant plusieurs années de salle du conseil municipal) et la cour de l'école étaient situées juste derrière la mairie. Au moment de sa construction, un mur séparait l'école des filles de celle des garçons. Un puits commun, construit dans l'axe du mur, permettait d'en actionner le treuil indépendamment d'un côté (à l'ouest, coté garçons) ou de l'autre (à l'est, côté filles). Le mur et le puits seront démolis dans les années 1950[GHL 45]. Un muret entourant de part et d'autre une large grille à double vantaux est édifié face à la route principale[Note 37]. À l'est de ce mur est également construit le local abritant la pompe à incendie et à l'ouest, celui de la prison. Début 1884, il est également décidé d'ajouter une annexe pour y installer l'horloge de la mairie au-dessus de laquelle est percée une lucarne-cloche. Celle-ci ne sera branchée au réseau électrique qu'en 1978[M 48]. Le coût de la construction des bâtiments et de l'expropriation des propriétaires des terrains, qui s'élève à la somme 93 947,84 francs, est financé en partie par un emprunt (auprès de l'État, de particuliers et de la caisse des écoles) et par la revente des anciens locaux des écoles et de la mairie situés place du bourg[GHL 46]. Le bâtiment est rénové en 1959, sous le mandat d'Aurélien Hatton, maire[210].

Autres patrimoines civils modifier

La commune possède de nombreux autres lieux et monuments civils :

  • l'ancienne salle des fêtes, ancienne lingerie[GHL 47] du petit séminaire (qui accueille depuis 2000 le studio de l'école municipale de danse[Note 38] et les bâtiments de l'ancien asile Sainte-Anne (actuels locaux associatifs), propriétés de l'ancien petit séminaire, ont été attribués à la commune en 1911[211], à la suite du vote de la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905. Concerts, bals, séances de théâtre et de cinéma s'y déroulaient jusqu'à la construction de l'Espace Béraire ;
  • le gîte d'étape municipal, anciennement Closerie des Roses construite en 1909[Note 39], acquis par la commune en 1989[M 50] et aménagé en 1991[M 51], d'une capacité de 15 personnes, situé en pleine verdure en bord de Loire, accueille randonneurs et cyclo-touristes toute l'année ;
  • le bâtiment abritant le poste de police municipale actuel, construit en 1934 pour y installer le bureau de poste, a été racheté par la commune en 1983[M 52] ;
  • le bureau de poste actuel, construit par la commune[M 53], a été inauguré le [GHL 48]. Auparavant sur ce terrain, il existait un vaste réfectoire construit en 1938 en remplacement de la cantine scolaire (située depuis 1932 dans l'actuelle salle Déparday) et jugée trop exiguë[M 54]. Ce bâtiment est démoli avant 1981 pour laisser la place au bureau de poste actuel ;
  • le centre social et la halte garderie ouvrent en 1978[M 55] ;
  • le monument aux morts, faisant suite à une souscription publique en 1919, est inauguré en en mémoire des Chapellois morts pour la France au cours de la Première Guerre mondiale. Il est situé dans le cimetière dit « du bourg ». Deux plaques fixées sur celui-ci rendent également hommage aux morts de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre d'Algérie[Note 40]. Les sépultures de quelques maires de la commune du XIXe siècle s'y trouvent. Un nouveau cimetière a été créé en 1982 à la limite ouest de la commune ;
Photographie en couleurs d'une allée étroite et longue, bordée de deux rangées d'arbres sans feuilles.
L'allée de Monteloup.
  • l'allée de Monteloup, située au lieu-dit le Poirier Baron, constitue l'unique vestige de cette propriété, composée d'un petit château et de communs, datant du XVIIIe siècle démolis dans les années 1970 et remplacés par le lotissement homonyme. C'est une allée remarquable conservée en l'état bordée de tilleuls qui part de la route de Blois au nord et qui menait vers l'entrée de la propriété. À l'époque, on la surnommait allée à Drufin, du nom de famille des derniers propriétaires (1807 à 1962)[Note 41]. Elle est aujourd'hui classée dans le domaine communal[GHL 50],[M 56] ;
  • les serres municipales sont construites en 1988[M 57] ;
  • Le pont de l'A71 sur la Loire, pont autoroutier en béton précontraint entre la commune et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin.

Tourisme modifier

  • Une offre d'hostellerie diversifiée existe (7 hôtels pour 359 chambres[I 14]) principalement à proximité de l'entrée des autoroutes A10 et A71 (entrée/sortie Orléans-Centre) et sur la route d'Orléans à laquelle s'ajoute une aire municipale d'autocaravanes (camping-cars) de 23 emplacements d’environ 60 m2 chacun situé en bord de Loire[Note 42].
  • Un parcours touristique « Nature et Culture », intitulé A la découverte de la Chapelle-Saint-Mesmin, composé de « six missions », a été créé par la commune au moyen d'une application gratuite téléchargeable sur smartphone[212].
  • Un parcours patrimonial, composé de 13 panneaux de bois retraçant l'histoire de la commune et décrivant la richesse de son patrimoine (Culture et Nature), intitulé Sur les traces du passeur, sera mis en place au début de l'été 2023 près des bords de Loire[M 58].
  • La commune sera intégrée mi-2023, dans l'itinéraire crée par le conseil départemental du Loiret, intitulé La Route des Illustres du Loiret, par l'implantation de deux panneaux évoquant la vie de deux personnalités artistiques ayant vécu à La Chapelle Saint-Mesmin : Mademoiselle Raucourt et Eugène Prévost-Messemin[213].

Sites et paysages remarquables modifier

Sites archéologiques modifier

Le plan local d'urbanisme approuvé en 2019 a permis de répertorier 19 sites de vestiges archéologiques[G 14] :

Carte
Carte des principaux sites archéologiques.
  1. le site gallo-romain au lieu-dit Les Garreaux ;
  2. la carrière d'extraction de calcaire d'époque au lieu-dit Pailly ;
  3. l'indice toponymique d'activité métallurgique au lieu-dit Les Forges ;
  4. le site d'habitat du Haut-Empire romain au lieu-dit de Gouffault ;
  5. l'enclos circulaire d'époque indéterminée aux lieux-dits L'Épinodier et Les Fourreaux ;
  6. la voie romaine potentielle d'Orléans à Tours (route communale) ;
  7. la voie romaine probable d'Orléans à Tours (N152) ;
  8. le site préhistorique (mobilier lithique de surface non daté) rue du Clos du Four ;
  9. l'agglomération gallo-romaine, médiévale et moderne (La Chapelle Saint-Mesmin) ;
  10. le château médiéval (château des Hauts) ;
  11. la station magdalénienne de Monteloup aux lieux-dits de Monteloup et Les Neuf Arpents ;
  12. le village du Moyen Âge au lieu-dit de l'Ardoise ;
  13. le site préhistorique (mobilier lithique de surface non daté) au lieu-dit Le Coteau ;
  14. l'enclos circulaire (château de la Source) ;
  15. le site gallo-romain (lieu de culte potentiel) au lieu-dit La Source du Rollin ;
  16. le site du Paléolithique et du Mésolithique au lieu-dit Besançon ;
  17. le moulin à vent d'époque moderne au lieu-dit Pailly, autrefois appelé le « moulin Boucher »[Note 43] ;
  18. le moulin à vent d'époque moderne au lieu-dit Sud Grattelard ;
  19. le moulin à vent d'époque moderne au lieu-dit Sud de la Noue[Note 44].

Le territoire de la commune comprend d'autres sites archéologiques :

  • en 1862, l'archéologue Ernest Pillon[GHL 53] découvre des sépultures, à l'emplacement du Château des Tourelles (construit en 1869), qui attestent l'existence d'une nécropole païenne gallo-romaine avec la présence de squelettes dont chacun portait une médaille de nolage[214] ;
  • en 2005, à l'occasion de l'aménagement du lotissement des Grands Clos, des fouilles archéologiques permettent de confirmer l'existence (un siècle avant notre ère) d'un village d'époque protohistorique (vaisselle céramique, torchis, trous de poteaux) et la mise à jour de vestiges (vaisselle céramique, lampe à huile, fusaïole, carreau d'arbalète, dé à coudre, pièce de monnaie), provenant d'une probable bâtisse seigneuriale (pigeonnier ou tour défensive) datant de l'époque médiévale (XIVe siècle et XVe siècle)[GHL 54] ;
  • en 2007, près du lieu-dit Gouffault, un rapport archéologique de sondage effectué sur 720 m2 par le Bureau d'Études de Recherches et d'Applications (BERA) a permis de récolter des pièces de monnaie gauloises, romaine et du IXe siècle, divers objets métalliques du Moyen Âge, des tessons de céramique et de mettre en évidence des pieds de mur (calcaire, briques et tuiles d'origine gallo-romaine), des trous de poteaux et différents fossés[GHL 55].

Paysages remarquables modifier

La place des Grèves, située en bordure de Loire à proximité d'une zone boisée (les bois de La Chapelle dénommé également « parc municipal » dont le bois de Vaussoudun fait partie[215]), constitue un potentiel touristique pour la commune. En effet, ce site naturel bordé par le sentier GR3 et bénéficiant du classement du Val de Loire au patrimoine mondial de l’UNESCO, se trouve dans un rayon d'accès : de l'église Saint-Mesmin, de la grotte du dragon de Béraire, de la Réserve naturelle nationale de Saint-Mesmin, de l'ancienne cale du passeur de Loire, du gîte d’étapes municipal, de la guinguette municipale, du minigolf municipal, de l'aire municipal de camping-cars, du terrain de jeu de pétanque, du parcours de santé, d'une aire de pique-nique, d'une aire de jeux pour jeunes enfants, d'un mini-terrain de BMX.

Le lieu, présentant un espace dégagé face à la Loire, constitue également un point de vue idéal pour l'observation de la faune et la flore des bords de Loire. La place est également un lieu de convivialité, de détente, de loisirs et de promenades familiales.

Elle est également utilisée pour l'accueil de manifestations musicales estivales, à l'occasion de la fête de la musique ou du festival annuel municipal Ballade en Musique[216].

Équipements culturels modifier

La ville possède plusieurs équipements culturels dont la gestion est confiée au service culturel de la mairie, créé en 2008/2009 :

  • l'Espace Béraire, complexe culturel et lieu de diffusion, édifié en 1986 (comprenant une salle de congrès de 600 places, un auditorium de 130 places, une salle de restaurant de 100 places, une cuisine, plusieurs salles de réunions et un espace d’exposition en mezzanine) est situé au sein du vaste parc de Béraire, ouvert au public. L'édifice est inauguré le [M 59] ;
  • la bibliothèque municipale, créée en [M 60]. D'abord implantée dans le centre social, elle est intégrée à l'Espace Béraire en 1986 et s'installe enfin en 2001 dans les locaux réaménagés de l’école de l'ancienne mairie sous la dénomination de Bibliothèque Louis-Rouilly. Environ 30 000 documents sont mis à la disposition des lecteurs. Un portage à domicile de livres est proposé aux personnes âgées, handicapées ou malades. En 2023, la structure s'est vu décerner par le Ministère de la Culture[217], le label offre de lecture « Facile à lire », destinée aux personnes qui n’ont jamais vraiment maîtrisé l’apprentissage de la lecture ou qui ont désappris à lire[218];
  • l'école municipale de musique, de danse et de théâtre[Note 45], créée en 1978[Note 46]. Disciplines : formation musicale, piano, violon, guitare, flûte traversière, clarinette, saxophone, trompette, cor d’harmonie, trombone, tuba, percussions, batterie, chorales, orchestres, danse classique, modern’jazz et théâtre. Les enseignants artistiques encadrent le fonctionnement d’un Orchestre à l'école qui a été créé au cours du mandat municipal 2014/2020[M 66]. L’EMM est installée dans l'ancienne mairie depuis septembre 1999[M 46] ;
Photographie en couleurs d'un bâtiment récent dont l'architecture présente un toit en forme d'auvent très avancé.
La salle du Plessis des Hauts.
  • la salle du Plessis des Hauts, salle polyvalente à destination des associations[Note 47], est inaugurée en 2006 ;
  • la salle Messemin, salle d'exposition attenante à la bibliothèque municipale, inaugurée en 2007 en hommage au peintre Chapellois Eugène Prévost dit Messemin ;
  • l'ancienne salle des fêtes, réhabilitée en 2001 et aménagée en studio de danse est réservée aux cours de danse classique et de modern'jazz ;
  • la Maison de Beauvois, ancienne maison paysanne, acquise et rénovée en 1993, salle réservée aux associations ;
  • la Guinguette, acquise et rénovée en 1989, et dénommée ainsi en 1995[M 69], située en bord de Loire, lieu convivial d'activités associatives d'intérieur et de plein-air;
  • les salles René Déparday[Note 48], situées derrière la médiathèque municipale, construites en 1932[M 70] à l'origine pour l'ouverture d'une classe enfantine (école maternelle) et la création d'une cantine scolaire et d'une cuisine à destination des écoliers de la commune ; ceci jusqu’à l'édification de l'école élémentaire Jean-Vilar en 1952. Elles sont utilisées comme centre social jusqu'aux années 1960 et sont aujourd'hui réservées aux activités associatives.

Personnalités liées à la commune modifier

Parmi les nombreuses personnalités liées à La Chapelle Saint-Mesmin, on peut citer :

  • saint Mesmin l'Ancien ou Maximin de Micy (-520), 2e abbé du monastère de Saint-Mesmin de Micy ;
  • Jean-Jacques Fayet (1786-1849), évêque d'Orléans et homme politique. Il achète la propriété du château des Hauts en 1844, afin d'y faire bâtir le petit séminaire (en 2021 : maison de retraite Paul-Gauguin) ;
  • Louis-Émile Vanderburch, (1794-1862), écrivain et dramaturge français, habita le petit château, qui héberge l'actuelle mairie, de 1836 à 1853 ;
  • Félix Dupanloup (1802-1878), évêque d'Orléans et homme politique. Il fait du château des Hauts sa résidence d'été privilégiée et dirigea le petit séminaire ;
  • Ernest Pillon (1803-1874), peintre, dessinateur et archéologue. Il s'installe à La Chapelle Saint-Mesmin en 1840 en faisant l'acquisition du château de l'Ardoise et élu conseiller municipal en 1845 ; il y meurt, il est inhumé dans le vieux cimetière ;
  • Alexandre Collin (1808-1890), ingénieur. Il réhabilite l'accès à la grotte du Dragon en 1857 ;
  • Eugène Prévost (1880-1944), peintre et décorateur ; il est né dans la commune.
  • Émile Rousseau (1899-1979), artiste lyrique ; il a vécu à La Chapelle[219] ;
  • Alain Drufin (1942-2024), athlète, spécialiste du lancer du poids ; il est né dans la commune ;
  • Bruno Bini (1954), footballeur puis entraîneur. Il est élu conseiller municipal en 2014 ;
  • Franck Bellucci (1966), écrivain, comédien et enseignant, réside dans la commune[220].

Représentation de la commune modifier

Héraldique modifier

Blason de La Chapelle-Saint-Mesmin

Sur proposition des Archives départementales du Loiret, les armes de La Chapelle-Saint-Mesmin, adoptées par le conseil municipal en 1977[M 71], se blasonnent ainsi :

D'azur à la croix componée d'argent et de gueules de neuf pièces, cantonnée de quatre fleurs de lys d'or[221].

Flamme postale modifier

Flamme postale de la commune, représentant la Loire avec en premier plan un héron et des roseaux et en arrière-plan l'église communale.
Flamme postale

En octobre 1990, la municipalité crée une flamme postale[222],[GHL 56] afin de mieux faire connaitre l'identité de la commune (église, Loire, faune ligérienne) au moyen des échanges postaux.

Logo et identité visuelle modifier

La refonte de l’identité visuelle de la commune est réalisée en 2016 avec en particulier la création d’un nouveau logo qui remplace celui utilisé depuis 1991[Note 49]. Une charte graphique associée au logo est parallèlement créée[M 72],[Note 50].

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Ouvrages modifier

Par auteur modifier
  • Camille Bloch, Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 1, Orléans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Camille Bloch, Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 2, Orléans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Gilles Cosson, Les taureaux de Khorsabad, Paris, Plon, , 318 p. (ISBN -2 259-00084-3), p. 237, 248. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • René Crozet, Petite histoire de l'Orléanais : Des origines au début du XXe siècle, Cressé, Edition des Régionalismes, , 236 p. (ISBN 9782824004648), réédité en 2015
  • Du Boys, Netty (1837-1890), L'Abbé Hetsch : par l'auteur des Derniers jours de Mgr Dupanloup ; avec introduction de Mgr Perraud, Paris, Librairie Poussielgue Frères, , 692 p. (lire en ligne)
  • Jacques Debal, Histoire d'Orléans et de son terroir : tome II (XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles), Le Coteau (42120), Editions Horvath, , 365 p. (ISBN 2-7171-0247-7). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean-Marie Flonneau, Deux siècles d'industrie dans le Loiret : 1750-1950, Orléans, Chambre de commerce et d'industrie du Loiret, , 120 p. (ISBN 2-909390-02-0), p. 107 à 108. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Pierre Georges, Béraire ou La Chapelle Saint-Mesmin : La petite histoire, Vincennes, Editions de la vie contemporaine, , 30 p. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • François-Henri Houbart, Histoire de l'Orgue en Orléanais et dans le Loiret : Inventaire des orgues, facteurs, organistes, compositeurs, Sampzon, Delatour France, , 482 p. (ISBN 9782414068753). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Émile Huet, Histoire du Petit Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin, Orléans, Paul Pigelet & Fils, , 450 p., réédité en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 1166792625 et 978-1166792626).
  • Abbé Eugène Jarossay, Histoire de l'Abbaye de Micy-Saint-Mesmin Lez-Orléans (502-1790), son influence religieuse et sociale : d'après les archives et les documents originaux, pièces justificatives et gravures, avec une lettre de Mgr Touchet, Orléans, M. Marron, , 543 p. (lire en ligne). Réédité en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 978-1167713569). Disponible sur le site de University of Toronto Libraries (lire en ligne).Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Abbé Lagrange, Vie de Monseigneur Dupanloup : Evêque d'Orléans, Membre de l'Académie Française, t. 1, 2 et 3, Paris, Librairie Poussielgue Frères, , 1548 p. (lire en ligne).
  • Berthold de Micy, Vie de saint Mesmin : Vita Sancti Maximini, dédiée à Jonas, évêque d’Orléans, Abbaye de Micy, . Édité en 1668 par Dom Jean Mabillon, ASOB saec1, Paris, 1668, p. 580-597. Bibliotheca hagiographica latina, Vol. 2, Vita BHL 5817, page 851, Bruxelles, 1898-1899[224].
  • Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
  • Abbé Patron (préf. Mgr Dupanloup), Recherches historiques sur l'Orléanais : où Essai sur l'histoire, l'archéologie, la statistique des villes, villages, hameaux, églises, chapelles, châteaux forts abbayes, hôpitaux et institutions de l'Orléanais proprement dit: depuis l'époque celtique jusqu'à nos jours, t. 1, Blanchard, , 511 p. (lire en ligne), p. 365.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Abbé Patron (préf. Mgr Dupanloup), Recherches historiques sur l'Orléanais : où Essai sur l'histoire, l'archéologie, la statistique des villes, villages, hameaux, églises, chapelles, châteaux forts abbayes, hôpitaux et institutions de l'Orléanais proprement dit: depuis l'époque celtique jusqu'à nos jours, t. 2, Blanchard, , 621 p. (lire en ligne).Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Jean-René Perrin (préf. Préface de Jean-Pierre Sueur, sénateur du Loiret), La Légende du Dragon de Béraire, Sampzon, Éditions Édilivre, , 112 p. (ISBN 978-2-7521-0302-4). Académie d'Orléans Agriculture, Sciences, Belles-Lettres et Arts VIe Série, tome 20, 2010, p. 145 : Lire en ligne la communication de J.R Perrin (2010) Document utilisé pour la rédaction de l’article.
  • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
  • Catherine Thion, La Chapelle-Saint-Mesmin, des siècles d'histoire, La Chapelle-Saint-Mesmin, Mairie de La Chapelle-Saint-Mesmin, 2007, 2016, 93 p. (ISBN 978-2-9529017-0-3). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Charles Vander-Burch Fils, Biographie d'un homme de lettres, Saint-Étienne, Imprimerie veuve Théolier Ainé et Cie, , 19 p. (lire en ligne)
  • Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Nord, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59960-2). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Catherine Maurizi, La Chapelle-Saint-Mesmin de 1830 à nos jours, Nanterre, Université Paris X, , 59 p. : Citation sur le site MemHOuest
  • Olivier Villacroux, La Verrerie de la Chapelle-Saint-Mesmin ou l'histoire d'un produit : le Duralex (1934-1969), Tours, Bibliothèque d'Histoire, Archéologie, Histoire de l'Art (Tours),  : Citation sur le site MemHOuest
  • Sandrine Beaudenuit, Les vignerons de La Chapelle-Saint-Mesmin (1750-1812), Orléans, Bibliothèque Universitaire (Orléans - Lettres) - R34-1042, , 146 p. : Citation sur le site MemHOuest
Collectifs modifier
  • Collectif, Bulletins annuels et éditions spéciales hors série du Groupe d'Histoire Locale, La Chapelle Saint-Mesmin, GHL, depuis 1984 (ISSN 0981-0706). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Collectif, Petit Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin : le site, l'histoire, l'œuvre, Orléans, Herluison, 32 p. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Fête de la cinquantaine et douzième réunion triennale des anciens présidées par S. G. Mgr : l'évêque d'Orléans le 26 juillet 1896 : petit séminaire de La Chapelle-Saint-Mesmin, Orléans, Paul Pigelet, , 70 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Rapports modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Filmographie modifier

Vidéos

Vidéos archivées sur les images d'archives en région Centre-Val de Loire :

Vidéo archivée sur la chaîne Youtube du Festival national d'opéras pour enfants de La Chapelle-Saint-Mesmin :

Long métrage

Quelques scènes du long métrage de Gaël Lépingle Des garçons de province (2023) ont été tournées en 2020 à La Chapelle Saint-Mesmin, notamment près de la place de l'hôtel de ville, place de l'église, dans le parc de l'ancien petit séminaire, dans le parc de la Solitude, et sur l'esplanade de l'Espace Béraire :

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. La Rivière des Bois, aujourd'hui entièrement busée, fut par le passé plus un fossé intermittent qu'une véritable rivière. Elle était souvent asséchée. Mais à des époques plus reculées, elle traversait la commune pour se jeter dans le Rollin[GHL 2]
  3. Le mini-golf est créé en 1983 par la municipalité[M 4]
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , l'ancienne notion d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  9. La borne 61 se trouve au bord du chemin menant à la Loire juste après le no 23 de la route ; la borne 62 au carrefour de la rue de la Bredauche; la borne 63, juste après le dernier feu tricolore avant la sortie de la commune vers l'ouest[GHL 5]
  10. À l'emplacement de cette résidence se trouvait un petit château et ses dépendances dénommé Les Pervenches datant de la fin du XIXe siècle. Les douze immeubles composés de cent vingt-neuf logements de type « économique et social » ont été bâtis par tranches successives entre 1962 et 1967[M 11]
  11. La Barre de l'Ange est un ensemble immobilier de trois corps de bâtiments de 92 logements (Le Parc, La Tour, Le Halage, locaux commerciaux et garages fermés). Le permis de construire a été délivré le et les travaux réceptionnés le . À cet emplacement, se dressait, au milieu d'un parc, une maison de maître construite (probablement au milieu du XIXe siècle) en moellons et toiture d'ardoise sur laquelle on débouchait par une allée bordée de vignes. Un belvédère surplombait la Loire. L'accès sur la Loire existe toujours[57]
  12. Les Sansonnets est un ensemble de trois petits immeubles de trente logements, situés de part et d'autre de la rue des Chaffaults à l'emplacement de parcelles auparavant cultivées, et réservés au moment de la construction aux personnels de l'entreprise Saint-Gobain[58]
  13. Le Levereau est le nom du lieu-dit (clos des Levereaux, vignes des Levraux, les Evraux[59]. Cette résidence, composée de six bâtiments dont six pavillons jumelés, compte 105 logements.
  14. Les Hauts du Bourg sont un lotissement de vingt-trois maisons dont les toits plats seront pour la majorité remplacés par des toits à double pente, en raison de problèmes d'infiltrations d'eau[60]
  15. Le Prieuré est un ensemble de trois immeubles de trois à six étages composés au total de 70 appartements (permis de construire no 56.991 du ).
  16. En 1963, il est décidé l'expropriation d'une superficie de quatre hectares des terrains nécessaires à la réalisation d'un lotissement à usage d'habitation « afin de permettre aux personnes de condition modeste de pouvoir accéder à la propriété »[M 12], dossiers permis de construire no 1137, 1575, 1238 et 1036). Il est composé de trois immeubles : Le petit parc (1969) 20 appartements, le bouvreuil (1975) 16 appartements, les mésanges (1968) 76 appartements, de pavillons (1965), de cinq commerces et d'un local paroissial (1972). Un petit immeuble de vingt appartements de type HLM sera ajouté à proximité afin de proposer « des logements destinés à des personnes âgées à revenus modestes »[M 13].
  17. Le Val de Loire est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
  18. ORSIL = Organisation des Secours en cas d’Inondation Loire.
  19. ...soixante quatorze arpents d'excellentes vignes échelonnées sur le coteau en plein midi,... in Bulletin de la Société Archéologique d'Orléans - T4 - Ernest Pillon (1862)[GHL 17]
  20. La chapelle de Vaussoudun est également détruite par la crue[GHL 20]
  21. Le 7, allée des Tilleuls est la Villa des Troènes
  22. Les lieux-dits les Hauts-Champs et les Bas-Champs qui dépendaient de la commune voisine d'Ingré ont été rattachés à la commune de La Chapelle respectivement en 1949 et 1957 (délibérations municipales du et du ).
  23. En 1964, elle fait partie des douze communes (Orléans, Chécy, Combleux, Fleury-les-Aubrais, Ingré, La Chapelle Saint-Mesmin, Saint-Jean de Braye, Saint-Jean-de-la-Ruelle, Saint-Jean-le-Blanc, Saint-Pryvé-Saint-Mesmin, Semoy, Saran) à s'associer en vue de créer le Syndicat intercommunal à vocations multiples de l'agglomération orléanaise (SIVOMAO).
  24. Bilan de fin de mandat 1989/1995 de Jean-Marc Bernard[134].
  25. Michel Tescher conduit une « liste d'intérêt communal, d'opposition municipale - Majorité présidentielle »[135]
  26. Tract de Nicolas Bonneau, résultats élections municipales de 2008, 2nd tour[138].
  27. La commune assurait la gestion de l'eau depuis la création du château d'eau en 1939.
  28. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
  29. Avant 1990, l'école Jean-Vilar était dénommée École du Bourg, puis École de la rue d'Ingré. La sculpture de cuivre qui se trouve sur la façade de l'école est une œuvre de l'artiste Marcel Gili, commandée dans le cadre du 1 % artistique[M 27].
  30. À cet exact emplacement, une décharge recueillait, jusqu'en 1973, tous types d'immondices, d'ordures ménagères et de déchets industriels. Le conseil municipal décide d'y mettre fin en .
  31. Outre la Croix Noble, il existait six autres croix jusqu'au XXe siècle qui ont toutes progressivement disparu : la croix de l'Ardoise (carrefour des rues de l'Ardoise, de Monteloup et de la Tortue), la croix Monteau appelée aussi croix Blanche ou croix Blond (entre la rue des Forges et la commune d'Ingré), la croix de Chivaneau ou croix du Got (chemin des Hauts Champs), la croix de Marmogne (rue de Marmogne et rue Clovis), la croix des Chaffaults (rue des Chaffaults) et la croix de la place de l'église[GHL 41]
  32. Jacques Moreau, Clément Delord et Gaston Girault. Une anecdote rapportée par Robert Pillault raconte que, peu après son édification, des habitants de la ville voisine de Chaingy « veulent abattre la croix. Les constructeurs montent la garde pendant trois jours (et probablement trois nuits) avec leurs outils ».
  33. Chemin d'Orentay, chemin de la Zone (sic), grand chemin d'Orléans à Chaingy et chemins de Maigreville (sic) et de la Petite Grésie (ou chemin des soldats). Ces deux derniers chemins qui constituaient une médiane sud-ouest/nord-est ont aujourd'hui disparu de ce croisement.
  34. Autrefois, la Procession des Rogations (bénédiction des cultures pendant les trois jours précédant l'Ascension), se rendait jusqu'à la Croix Noble.
  35. Le legs est signifié par acte notarié (no 1775) le par Madame Le Pileur de Beuvry par-devant Maître Bigot. L'ordonnance royale du autorise la commune à accepter la donation. Enfin, le , l'acte de donation est signé et Madame veuve de Beuvry s'engage à faire démolir le mur séparant les deux parcelles, entourant le monument, du reste du cimetière.
  36. Il s'agit probablement de la pompe à incendie de la compagnie des sapeurs-pompiers.
  37. À cette époque, l'entrée à la mairie se fait uniquement par cet accès. En 1985, il est décidé de percer un accès à l'est à partir de la cour de la mairie vers l'allée des tilleuls[M 47]. En 1997, le portail est démonté puis replacé à l'entrée du parc de la Solitude sur décision de la Municipalité afin de permettre d'ouvrir celui-ci, devenu public, sur la place du Bourg.
  38. Le montant de la réhabilitation de l'ancienne salle des fêtes en studio de danse s'élève à la somme de 1 285 128 F T.T.C.[M 49]
  39. À l'époque, pension de famille et café-restaurant (et guinguette le dimanche à la belle saison).
  40. Stèle réalisée par Valère Girault, tailleur de pierre, pour la somme de 3 005 francs. Après l'agrandissement du cimetière en 1928, le monument est replacé au centre de celui-ci[GHL 49]
  41. Deux membres de cette famille ont été maires de la commune : Edmond Drufin (en 1896) et son fils Gaston Drufin (de 1904 à 1908). L'un des descendants de cette famille, Alain Drufin (né en 1942 à La Chapelle-Saint-Mesmin) sera un athlète de haut niveau. Il fut champion de France de lancer de poids en 1966.
  42. Cette aire de camping-cars a remplacé en 2009 le camping municipal créé en 1970 et qui avait été fermé en 2002.
  43. Ce moulin, construit en 1825 par Pierre-Armand Boucher, meunier, a moulu du grain jusqu'en 1925, et lorsqu'il a été vendu par le meunier Rose pour être aménagé en maison d'habitation l'année suivante, après lui avoir ôté les ailes[GHL 51].
  44. Entre les années 1840 et 1870, on comptait 6 à 7 moulins à vent en activité, époque où La Chapelle en possédait le plus. Les moulins connus sont le moulin Boucher-Blanchard (1845-1876), le moulin de Bel Air ou Sagot (avant 1773-1886), le moulin de la Noue (avant 1750-1863), le moulin de la Guide (XVIIIe), le moulin Blanchard aux Garreaux (1840-1906), le moulin Hatton aux Dangeaux (1837-après 1890), le premier moulin de Pailly (entre 1812 et 1821-1884), le second moulin de Pailly (1825) existe toujours, il a été aménagé en maison d'habitation en 1926[GHL 52].
  45. Le cours de théâtre est créé en 2000[M 61]
  46. En 1962, la commune crée un cours municipal de solfège et en 1963, un cours d'enseignement musical. Les cours sont dispensés dans le petit local situé à l'ouest de l'ancienne mairie[M 62]. Les interventions musicales dispensées par des enseignants musiciens dans les écoles commencent en 1973[M 63]. L'école municipale de musique est créée en 1978[M 64]. En 1981, son fonctionnement est assuré par l'Harmonie (associative) de la commune puis elle redevient municipale en 1982[M 65]. Après avoir été dispensés dans des salles en préfabriqué situées rue d'Ingré, les cours auront lieu dans une aile de l'école élémentaire Jean-Vilar. Depuis la rentrée scolaire 1999[M 46], l'école municipale de musique occupe complètement l'ancienne mairie.
  47. À l'origine destinée aux activités des « séniors », l'estimation du montant des travaux s'élève, en 2003 à la somme de 861 120 F T.T.C.[M 67] et s'élèvera en définitive à la somme de 1 079 680 F T.T.C.[M 68]
  48. Nommées ainsi en 1989 en hommage à René Deparday (1894-1989) agriculteur chapellois, responsable associatif et de coopératives agricoles.
  49. La « frise-flamme » fait écho à l’histoire et au patrimoine de la ville. La ligne du fleuve caractérise son cadre de vie. Le nuage de points souligne la cohésion des acteurs du territoire. Le concept du bloc-marque assure à la ville une lisibilité immédiate.
  50. La commune n'a toutefois pas déposé ce logo à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI), le seul logo déposé au sein de la commune est celui d'un ostéopathe[223].
  • Cartes
  1. Stephan Georg, « Distance entre La Chapelle-Saint-Mesmin et Orléans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre La Chapelle-Saint-Mesmin et Saint-Jean-de-la-Ruelle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Louis Laffitte (1905), « Carte industrielle du département du Loiret : dressée par les soins de la Commission d'enquête de la Société la "Loire Navigable" », sur 1886.u-bordeaux-montaigne.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Publications modifier

Ouvrage de Catherine Thion modifier
  1. Catherine Thion 2016, p. 29.
  2. a et b Catherine Thion 2016, p. 36.
  3. Catherine Thion 2016, p. 10.
  4. a et b Catherine Thion 2016, p. 14-15.
  5. Catherine Thion 2016, p. 23.
  6. a et b Catherine Thion 2016, p. 39.
  7. Catherine Thion 2016, p. 53.
  8. a b c et d Catherine Thion 2016, p. 47.
  9. a et b Catherine Thion 2016, p. 88.
  10. Catherine Thion 2016, p. 43.
  11. Catherine Thion 2016, p. 85.
Bulletin annuel du Groupe d'histoire locale de La Chapelle Saint-Mesmin modifier
  1. Aimé Hugon, « Carrières et souterrains », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 3,‎ , p. 6-9 (ISSN 0981-0706) (sources : archives départementales du Loiret).
  2. Annick Bureau, « Les mares à La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 26,‎ , p. 35-38 (ISSN 0981-0706).
  3. Michel Roussillat, « La Loire, quartier d’hiver du viking noir », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 58-60 (ISSN 0981-0706).
  4. Marinette Bonnier et Danièle Lelong, « Jardins à La Chapelle hier et aujourd’hui », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 17,‎ , p. 36-37 (ISSN 0981-0706).
  5. Danièle Boucher, « Des témoins discrets des siècles passés: les bornes royales et les bornes de Loire », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 32,‎ , p. 18-22 (ISSN 0981-0706).
  6. a et b Danièle Boucher, « Des témoins discrets des siècles passés: les bornes royales et les bornes de Loire », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 32,‎ , p. 18-22 (ISSN 0981-0706).
  7. Pierre Moreau, « Maisons paysannes », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 1,‎ , p. 17-21 (ISSN 0981-0706).
  8. Pierre Moreau, « Vieux fours à pain à La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 19-25 (ISSN 0981-0706).
  9. Reine Mothiron, « L'urbanisation de La Chapelle de la 1re guerre mondiale à 1978 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 5,‎ , p. 15-27 (ISSN 0981-0706).
  10. Christiane Quillerier, « Lotissement des Tilleuls 1955-1959 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 12-18 (ISSN 0981-0706).
  11. Marc Laroche, « Histoire d'une découverte magdalénienne sur le plateau de Monteloup », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 33,‎ , p. 1-4 (ISSN 0981-0706).
  12. Dominique Petit et Pascal Julien, « Archéologie près de l'église », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 4-16 (ISSN 0981-0706)
  13. « Recensements », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 7,‎ , p. 12-13 (ISSN 0981-0706)
  14. Sandrine Beaudenuit, « Les vignerons à La Chapelle aux XVIIIe siècle et XIXe siècle », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 17,‎ , p. 1-6 (ISSN 0981-0706).
  15. Aimé Hugon, « Les sapeurs pompiers », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 4,‎ , p. 40-45 (ISSN 0981-0706).
  16. Sandrine Beaudenuit, « Les vignerons à La Chapelle aux XVIIIe siècle et XIXe siècle », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 17,‎ , p. 1-6 (ISSN 0981-0706). Sources : archives départementales du Loiret : 3E 38977 - 3E 39020, archives municipales CC2 : impôts et comptabilité, rôle du vingtième de 1765, 1770 et 1782 - 3F10: vigne, vin. Cadastre napoléonien: G1 à G10.
  17. Luce Madeline, « Vaussoudun et ses habitants après la Révolution de 1789 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 19,‎ , p. 19-22 (ISSN 0981-0706).
  18. Claude Moreau, « Les levées : la brèche de Vaussoudun de 1846 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 18,‎ , p. 41-43 (ISSN 0981-0706). Sources : archives départementales du Loiret et DIREN du Loiret.
  19. Pierre Moreau et Jean-Claude Meunier, « Mystères à Vaussoudun », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 36,‎ , p. 44-47 (ISSN 0981-0706).
  20. Pierre Moreau et Jean-Claude Meunier, « Mystères à Vaussoudun », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 36,‎ , p. 44-47 (ISSN 0981-0706).
  21. Jules Boucher, « Journal de Jules Boucher, engagé volontaire chapellois », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 4,‎ , p. 54-61 (ISSN 0981-0706). Sources : Archives communales (délibérations municipales des et ) et Émile Huet, Histoire du Petit Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin, Orléans, Paul Pigelet & Fils, , 450 p., réédité en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 1166792625 et 978-1166792626).
  22. Pascal Julien, « L'Écho de La Chapelle-Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 3,‎ , p. 19-20 (ISSN 0981-0706). Sources : Délibération du conseil municipal du , rapporté dans le bulletin L'Écho de La Chapelle-Saint-Mesmin de et de .
  23. Collectif, « Le monument aux morts », Édition spéciale hors série du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin 1914-1918 à La Chapelle Saint-Mesmin, no 3,‎ , p. 61-62 (ISSN 0981-0706) (Sources : témoignages du chapellois Jules Boucher, Journal du Loiret, archives municipales 2 D5 1 D12 2 D 12E 37 4 H20 4 H11, archives départementales du Loiret, 12 FI).
  24. Monique Veillon, « Le passeur », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 4,‎ , p. 28-33 (ISSN 0981-0706). Sources retranscrites des archives municipales, séries O 11.
  25. Gilbert Moreau, « Souvenir d'un chapellois, l'agriculture à La Chapelle de 1920 à 1930 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 31-32 (ISSN 0981-0706).
  26. Philippe Rouilly, « La Chapelle Saint-Mesmin : Centre d'évacuation en septembre 1939 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 28,‎ , p. 23-28 (ISSN 0981-0706)
  27. Collectif, « Je me souviens 1939-1945 Seconde Guerre mondiale à La Chapelle Saint-Mesmin : La période 1940-1945, les points forts : L'exode », Edition spéciale hors série du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin : Je me souviens..., no 2,‎ , p. 5-7 (ISSN 0981-0706)
  28. André Deparday-Cochon et Jean-Marie Frédet, « Je me souviens 1939-1945 Seconde Guerre mondiale à La Chapelle Saint-Mesmin : des chapellois racontent : 1939 à 1945 », Edition spéciale hors série du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin : Je me souviens..., no 2,‎ , p. 52 et 64 (ISSN 0981-0706).
  29. Monique Veillon, « 1939-1945 : Le temps de la guerre à La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 5,‎ , p. 50-64 (ISSN 0981-0706) (sources : archives municipales série F.H.L., registres des délibérations du conseil municipal de 1935 à 1946, Le Loiret dans la guerre 1939/1945 d'Yves Durand, éditions Horvath).
  30. Monique Veillon et Marie-Jo Pitou, « Les américains à La Chapelle », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 12,‎ , p. 35-43 (ISSN 0981-0706) (sources : archives municipales).
  31. Reine Mothiron, « L'urbanisation de La Chapelle de la 1re guerre mondiale à 1978 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 5,‎ , p. 15-27 (ISSN 0981-0706) (sources : archives municipales).
  32. Jeannette Audejean et Annick Bureau, « La construction de l'école Jean-Vilar », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 21,‎ , p. 9-11 (ISSN 0981-0706) (sources : archives municipales).
  33. Monique Veillon et Marie-Jo Pitou, « Les américains à La Chapelle », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 12,‎ , p. 35-43 (ISSN 0981-0706) (sources : archives municipales).
  34. Le GAEC du Louvre, le Moulin de Pailly et la SCEA. Pierre Beaudenuit, « Cheminement de l'agriculture depuis deux siècles », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 28,‎ , p. 3-5 (ISSN 0981-0706) (sources : archives municipales).
  35. Christian Veillon, « Duralex, dernière gobeleterie française », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 36,‎ , p. 1-9 (ISSN 0981-0706)
  36. Aimé Hugon, « Michelin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 5,‎ , p. 44-49 (ISSN 0981-0706).
  37. Gaston Deparday et Marcel Moreau, « Une association peu connue : l'association foncière de La Chapelle-Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 34,‎ , p. 32-38 (ISSN 0981-0706).
  38. Pierre Beaudenuit, « Cheminement de l'agriculture depuis deux siècles », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 28,‎ , p. 3-5 (ISSN 0981-0706)(sources : archives municipales).
  39. Marcel Moreau et Pierre Moreau, « La culture du tabac à La Chapelle-Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 29,‎ , p. 26-31 (ISSN 0981-0706).
  40. Michel Stobre, « La récolte du tabac 1945-1950 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 35,‎ , p. 32-33 (ISSN 0981-0706).
  41. Aimé Hugon, « Les croix de nos chemins », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 11,‎ , p. 21-25 (ISSN 0981-0706).
  42. Jacques Maviel, « La Croix Noble », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 17-20 (ISSN 0981-0706). Sources : archives communales, notes de Robert Pillault aux archives départementales du Loiret, cotes 139J6 et 139J7, bulletin paroissial L'Echo de La Chapelle de juin 1903.
  43. Aimé Hugon, « La famille Chemin de Beuvry », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 16,‎ , p. 9-14 (ISSN 0981-0706).
  44. Danièle Boucher, « La maison de l'Ardoise du VIe siècle au XXe siècle, de la propriété religieuse à la propriété d'agrément », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 28,‎ , p. 33-39 (ISSN 0981-0706)
  45. Régine Déparday-Rouet, « Distribution des prix et souvenirs d'école », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 30,‎ , p. 16 (ISSN 0981-0706).
  46. Pierre Beaudenuit, « Délibération du conseil municipal du 9 février 1882 », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 14,‎ , p. 30 (ISSN 0981-0706)
  47. Marinette Bonnier, « L'allée des tilleuls », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 30,‎ , p. 58-61 (ISSN 0981-0706).
  48. Monique Veillon, « La poste : facteurs et bureaux de poste à La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 25 (ISSN 0981-0706).
  49. Pierre Beaudenuit, « Extrait du registre paroissial de l'abbé Caillette, curé de la commune », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 21,‎ , p. 25-26 (ISSN 0981-0706).
  50. Danièle Boucher, « La propriété de Monteloup du XVIIe siècle au XXe siècle », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 35,‎ , p. 2-7 (ISSN 0981-0706).
  51. Philippe Rouilly, « Les moulins à vent », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 19,‎ , p. 38-50 (ISSN 0981-0706). Sources : Les moulins à vent autour d'Orléans au XIXe, tome 1 de Gérard Grange et AD45.
  52. Philippe Rouilly, « Les moulins à vent », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 19,‎ , p. 38-50 (ISSN 0981-0706). Sources : Les moulins à vent autour d'Orléans au XIXe, tome 1 de Gérard Grange et AD45.
  53. Jacques Maviel, « Avant des aménagements autour de l'église : Emplacements ayant donné lieu à des découvertes : Les Tourelles (source : Ernest Pillon, bulletin de la Société Archéologique et Historique d'Orléans, tome 4, années 1862-1867) », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 5,‎ , p. 7 (ISSN 0981-0706).
  54. Jacques Maviel, « Archéologie-Lotissement des Grands Clos, 2e tranche d'archéologie préventive », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 23,‎ , p. 3-5 (ISSN 0981-0706) (source : INRAP Orléans, projet 2005 no 2223).
  55. Philippe Rouilly et Jacques Maviel, « Archéologie : Rapport de sondages au lieu-dit Gouffault », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 25,‎ , p. 40-43 (ISSN 0981-0706).
  56. Monique Veillon, « La poste, facteurs et bureaux de poste à La Chapelle Saint-Mesmin », Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale de La Chapelle Saint-Mesmin, no 8,‎ , p. 28 (ISSN 0981-0706)
Le quotidien régional La République du Centre modifier
  1. « 14 grands cormorans de moins », (consulté le ).
  2. Quentin Jost, « Quatre ruches ont été installées en avril », (consulté le ).
  3. « La première stèle de Compostelle du Loiret », (consulté le ).
  4. Maude Milekovic, « Il y a vingt ans, le Loiret était soufflé par les tempêtes de 1999 », (consulté le ).
  5. Caroline Bozec, « Nicolas Bonneau, maire de La Chapelle-Saint-Mesmin : ses passions, ses réalisations, ses objectifs », (consulté le ).
  6. « La métropole d'Orléans, bientôt une "commune touristique" qui compte ? », (consulté le ).
  7. « Le comité a tenu son assemblée générale », sur La République du Centre, (consulté le ).
  8. « Trente ans d'amitié célébrés », sur La République du Centre, (consulté le ).
  9. « La Chapelle-Saint-Mesmin » (consulté le ).
  10. Carole Tribout, « Les verres Duralex de La Chapelle-Saint-Mesmin passent entre les mains de Pyrex », (consulté le ).

Sites web modifier

Inventaire national du patrimoine naturel modifier
Géoportail modifier
  1. « Carte de La Chapelle-Saint-Mesmin » (consulté le ).
  2. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), partie 2, état initial de l’environnement, p. 8-9.
  3. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, p. 48-56.
  4. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), p. 16, chapitre 1 (Analyse de l'état actuel de l'environnement communal.
  5. a b et c « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, pages 68-72.
  6. a b et c « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, p. 32.
  7. a et b « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, p. 71.
  8. a b c et d « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, p. 33.
  9. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, p. 35.
  10. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, p. 36.
  11. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), p. 28.
  12. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), p. 30.
  13. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), p. 29.
  14. « Rapport de présentation du Plan local d'urbanisme », (consulté le ), chap.1, page 47.
Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire modifier
Insee modifier
Site web modifier
  1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 d'Orléans » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Orléans » (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Chapelle-Saint-Mesmin » (consulté le ).
Dossier relatif à la commune modifier
  1. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à la La Chapelle-Saint-Mesmin - Section LOG T1 » (consulté le ).
  2. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à la La Chapelle-Saint-Mesmin - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans le département du Loiret - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Populations légales 2018 - Commune de la Chapelle-Saint-Mesmin » (consulté le ).
  6. REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 (Insee) pour La Chapelle-Saint-Mesmin.
  7. « Structure et distribution des revenus, inégalité des niveaux de vie en 2018 : Dispositif Fichier localisé social et fiscal (Filosofi) », (consulté le ).
  8. REV T1, Ménages fiscaux de l'année 2018.
  9. EMP T1, Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  10. EMP T5 - Emploi et activité (Insee) pour La Chapelle-Saint-Mesmin.
  11. ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone (Insee) pour La Chapelle-Saint-Mesmin.
  12. ACT G2, Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2017.
  13. « Dossier complet de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin » (consulté le ).
  14. TOU T1, Nombre et capacité des hôtels au .
Mairie modifier
  1. a et b « Parcs et jardins », non daté (consulté le ).
  2. a et b « Accueil > Mon cadre de vie > Biodiversité », non daté (consulté le ).
  3. « Zéro pesticide », (consulté le ).
  4. a et b Délibération du conseil municipal du .
  5. « Rucher pédagogique », (consulté le ).
  6. Délibération du conseil municipal du .
  7. « Réseau TER » (consulté le ).
  8. Avis favorable du conseil municipal du 27 septembre 2022.
  9. « Avis d'enquête publique/Demande de permis d’aménager n° 045 075 21 A0001, déposée par la SAS Domaine Floresens, d’une friche industrielle située entre la rue d’Ingré et la rue de l’Enfer par la création d’un quartier à usage mixte : habitations et activités économiques. », (consulté le ).
  10. Délibération du conseil municipal du .
  11. Délibération du conseil municipal du .
  12. Délibération du conseil municipal du
  13. Délibération du conseil municipal du
  14. « Plan local d'urbanisme/Orientations d’aménagement et de programmation », (consulté le ).
  15. Délibération du conseil municipal du .
  16. a et b « Accueil > Mon cadre de vie > Urbanisme et travaux - Plan Local d’Urbanisme (PLU) », non daté (consulté le ).
  17. « Avis d'enquête publique/Demande de permis d’aménager n° 045 075 21 A0001, déposée par la SAS Domaine Floresens, d’une friche industrielle située entre la rue d’Ingré et la rue de l’Enfer par la création d’un quartier à usage mixte : habitations et activités économiques. », (consulté le ).
  18. « Accueil > Mon cadre de vie > Risques majeurs - DICRIM - Document d’Information Communal sur les Risques majeurs », non daté (consulté le ).
  19. « Accueil > Mon cadre de vie > Risques majeurs - Risques majeurs : soyez alertés », non daté (consulté le ).
  20. Arrêté du maire du (archives municipales).
  21. Délibération du conseil municipal du .
  22. Délibérations du conseil municipal des et (archives municipales).
  23. Délibération du conseil municipal du (archives municipales).
  24. Procès-verbal de la réunion du conseil municipal du .
  25. Délibération du conseil municipal du .
  26. « Accueil > Mes activités > Sports - Terre de jeux 2024 », non daté (consulté le ).
  27. Délibération du conseil municipal du .
  28. « Accueil > Mes services > Solidarité », non daté (consulté le ).
  29. a et b « 72 route d’Orléans - Un centre d’ophtalmologie, un gynécologue obstétricien, une pédiatre et des kinésithérapeutes se sont installés en 2017 » (consulté le ).
  30. « Nouvel EHPAD et CRFA de l’UGECAM », non daté (consulté le ).
  31. « Police municipale », non daté (consulté le ).
  32. « Soutenez les sapeurs-pompiers », non daté (consulté le ).
  33. Délibération du conseil municipal du .
  34. Délibération du conseil municipal du .
  35. Délibération du conseil municipal du .
  36. Délibération du conseil municipal du .
  37. Délibérations du conseil municipal no 2020/051 du , no 2022/001 du et no 2022/062 du relatives à l'autorisation de programme pour le nouveau complexe sportif.
  38. « Futur complexe sportif », non daté (consulté le ).
  39. « Magazine municipal no 17 - été 2020 » (consulté le ), p. 17.
  40. Délibération du conseil municipal du relative au plan de financement du circuit de BMX des Pierrelayes. Le coût total du projet est estimé à 3 millions d'Euros H.T.
  41. « Inscriptions aux associations culturelles », non daté (consulté le ).
  42. « Magazine municipal (no 1 du printemps 2016 au no 18 de l'hiver 2020/2021 » (consulté le ).
  43. « Fibre à l'abonné » (consulté le ).
  44. Délibération du conseil municipal du .
  45. Délibération du conseil municipal du
  46. a b et c Délibération du conseil municipal du .
  47. Délibération du conseil municipal du 18 novembre 1985.
  48. Délibération du conseil municipal du .
  49. Délibération du conseil municipal du .
  50. Délibération du conseil municipal du .
  51. Délibérations du conseil municipal du et du .
  52. Délibération du conseil municipal du .
  53. Délibération du conseil municipal du .
  54. Délibération du conseil municipal du .
  55. Délibération du conseil municipal du , date à laquelle il est également décidé de procéder au recrutement d'une infirmière, de deux puéricultrices, d'une secrétaire et d'une bibliothécaire.
  56. L'allée a été cédée en 1976 à la commune par le lotisseur pour la somme de 193 000,00 francs : Délibération du conseil municipal du .
  57. Délibération du conseil municipal du .
  58. « Ville de La Chapelle Saint-Mesmin » (consulté le ) sur le site internet de la commune.
  59. Délibération du conseil municipal du .
  60. Délibération municipale du
  61. Délibération du conseil municipal du .
  62. Délibérations municipales des , et .
  63. Délibération du conseil municipal du .
  64. Par délibération du conseil municipal.
  65. Délibération du conseil municipal du .
  66. « Ensemble avec Orchestre à l’école », (consulté le ).
  67. Délibération du conseil municipal du
  68. Délibération du conseil municipal du .
  69. Délibération du conseil municipal du .
  70. Délibérations du conseil municipal des et .
  71. Délibération du conseil municipal du 20 septembre 1977.
  72. « Magazine communal LCSM - no 1 » [PDF], (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b « Métadonnées de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Frédéric Zégierman 1999, p. 211.
  3. Voir carte interactive ci-contre.
  4. « Communes les plus proches de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur villorama.com (consulté le ).
  5. « Distance entre La Chapelle-Saint-Mesmin et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin. », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Histoire géologique du Bassin parisien », sur le site du Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consulté le ).
  7. G. Berger et N. Desprez, « Notice géologique 363 N - secteur d'Orléans » [PDF], sur le site InfoTerre, un accès à l'information scientifique et technique du BRGM, (consulté le ), p. 1.
  8. a et b BRGM, « Carte des ressources en matériaux de la Région Centre - Elaborée dans le cadre de la révision des Schémas Départementaux des Carrières » [PDF], sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire, (consulté le ), p. 89.
  9. « fiche du BRGM, lithologie (composition détaillée de la formation "Calcaire de Beauce") au niveau du forage à 84 mètres de profondeur (de 106,60 NGF à 23 NGF) de l'ancien Château d'Eau communal créé en 1937 », sur le site InfoTerre, un accès à l'information scientifique et technique du BRGM, date du document brgm (lithologie du forage) inconnue (consulté le ).
  10. « Notice géologique - feuille 363 N « Orléans » » [PDF], sur le site InfoTerre, un accès à l'information scientifique et technique du BRGM (consulté le ), p. 5.
  11. « Notice géologique 363 N - secteur d'Orléans » [PDF], sur le site InfoTerre, un accès à l'information scientifique et technique du BRGM, (consulté le ), p. 2.
  12. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
  13. « Caractéristiques du val de la Bouverie », sur www2.centre.ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  14. a et b « Val de Loire patrimoine mondial - Plan de gestion », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire, (consulté le ).
  15. « Carte du périmètre du Val de Loire, patrimoine mondial de l'Unesco », sur le site de la mission Val de Loire (consulté le ).
  16. « Une signalétique commune et originale » [PDF], sur le site « Le Val de Loire patrimoine mondial » (consulté le ).
  17. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  18. Plan de prévention des risques d'inondations dans le Val d'Orléans : Agglomération Orléanaise : Rapport de présentation, (lire en ligne), p. 24-25
  19. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 51
  20. « Les sources de Bellevue ont désormais leur panneau », sur La République du Centre, (consulté le ).
  21. « Fiche cours d'eau "le Rollin" (K4404000) du Sandre », sur le site du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau, (consulté le ).
  22. En 1828, le Rollin entraînait le moulin à eau du château (source : Le Journal du Loiret du 20 janvier 1828, page 4).
  23. Cadastre napoléonien, « La Chapelle Saint-Mesmin », 1812, [lire en ligne].
  24. « Enveloppes à forte probabilité de présence de zones humides », sur le site du schéma d'aménagement et de gestion des eaux des eaux de la nappe de Beauce et ses milieux aquatiques (consulté le ).
  25. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  26. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  27. « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Mesmin et Fleury-les-Aubrais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  28. « Station Météo-France « Fleury-les-Aubrais », sur la commune de Fleury-les-Aubrais - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  29. « Station Météo-France « Fleury-les-Aubrais », sur la commune de Fleury-les-Aubrais - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  30. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  31. a et b « Palmarès 2004 - Région Centre / Deux fleurs » [PDF], sur le site de l'association Villes et villages fleuris (consulté le ), p. 11.
  32. « Chronologie succincte de la ville de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur ville-lachapellesaintmesmin.fr (consulté le ).
  33. a et b « Réserve naturelle Saint-Mesmin », sur le site de l'association Réserves naturelles de France (consulté le ).
  34. « FR2410017 - Vallée de la Loire du Loiret. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  35. « Environnement : Remarquable », LCSM, magazine de La Chapelle-Saint-Mesmin no 20,‎ , p. 14
  36. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  37. a et b « Cartographie des zones naturelles protégées sur La Chapelle-Saint-Mesmin (entre le nom de la commune dans la fenêtre de recherche). », sur la cartographie interactive de la DREAL Centre- Val de Loire. (consulté le ).
  38. « Projet d'arrêté préfectoral relatif à la régulation du grand cormoran pour la période 2019-2022 dans le département du Loiret. », sur le site de la préfecture du Loiret, (consulté le ).
  39. « Typologie urbain / rural », sur le site de l'Observatoire des Territoires (consulté le ).
  40. « Comprendre la grille de densité », sur le site de l'Observatoire des Territoires (consulté le ).
  41. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur un site du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  42. « Carte des SCOT dans le Loiret au  », sur le site de la préfecture du Loiret (consulté le ).
  43. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux dans le Loiret en mai 2019 », sur le site de la préfecture du Loiret (consulté le ).
  44. a et b Ministère de la Transition écologique, « Trafic moyen journalier annuel sur le réseau routier national », sur data.gouv.f (consulté le ).
  45. « Route nationale française 152 », sur routes.fandom.com (consulté le ).
  46. « Recherchr une fiche horaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site des transports de l'agglomération orléanaise (consulté le ).
  47. « page d'accueil », sur le site de Réseau de mobilité interurbaine (consulté le ).
  48. « fiche horaire ligne TER Centre no 3 » [PDF], sur le site de la SNCF (consulté le ).
  49. « Services & Gares - Halte ferroviaire La Chapelle-Saint-Mesmin », sur le site de la SNCF (consulté le ).
  50. « page d'accueil », sur le site de l'association « Compostelle 45 », (consulté le ).
  51. Marie-France Renerre, « Bornes de Loire », sur le blog bords-de-loire-de-touraine, .
  52. Soutien à la requalification thermique du parc résidentiel : 90 propriétaires et 12 copropriétés concernés (objectifs communaux d’accompagnement).
  53. 421 logements sur 7 années (représentant 4,4% de la métropole), dont 70 logements par an. Notamment dans le secteur Descartes à l'Est de la commune, dans le cadre du projet d'aménagement de la SAS Domaine Floresens, à l'emplacement de la friche industrielle ancienne de l'usine Michelin.
  54. 149 logements (représentant 5,4% de la métropole) dont 25 logements par an.
  55. Dont l'obligation de rattrapage de la loi SRU, à savoir un parc de logement social de 20 % sur l'ensemble de la commune (actuellement 15 %).
  56. « Le contrat de mixité sociale communal », sur cerema.fr (consulté le ).
  57. Archives municipales.
  58. Archives municipales, dossier du permis de construire no 641.
  59. Archives départementales du Loiret J269 et J 270
  60. Courrier de réponse du directeur départemental de l'Équipement du .
  61. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) du Loiret) », sur le site de la préfecture du Loiret, (consulté le ), p. 66.
  62. « Risques majeurs à La Chapelle-Saint-Mesmin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site www.georisques.gouv.fr édité par le ministère de la Transition écologique et opéré par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). (consulté le ).
  63. « Évaluation des conséquences négatives des inondations : résultats sur le sous-bassin de la Loire moyenne » [PDF], sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ), p. 36-37.
  64. PPRI Val d'Orléans - Agglomération orléanaise - Rapport de présentation, p. 59.
  65. PPRI Val d'Orléans - Agglomération orléanaise - Rapport de présentation, p. 62.
  66. PPRI Val d'Orléans - agglo - Rapport de présentation.
  67. « Plan communal de sauvegarde (PCS) », sur le site http://www.mementodumaire.net/ de l'Institut des risques majeurs (IRMa) (consulté le ).
  68. « La Chapelle-Saint-Mesmin - Recensement des cavités souterraines », sur le site « Géorisques » édité par le ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  69. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène », sur le site « Géorisques » édité par le ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  70. « Sécheresse : 151 communes du Loiret reconnues en état de catastrophe naturelle », sur le site de la chaîne France 3, (consulté le ).
  71. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Carte d'aléa pour le secteur de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur le site « Géorisques » du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  72. «Villa Berarii en quae dicitur Cappella Sancti Maximini » en 836, dans Gallia Christiana, t. XII, fausse charte des rois Louis le Pieux et Lothaire, forgée par les moines de l'Abbaye Saint-Mesmin de Micy fin Xe siècle ou début XIe siècle. En effet, les titres de propriété originaux ont été détruits par les raids vikings au IXe siècle.
  73. « In Capella Sancti Maximini » avant le , dans Actes de Philippe 1er, no 77, p. 194.
  74. a b et c Denis Jeanson, « Toponymes Chapelle suivi d’un nom de saint ou de sainte », sur le dictionnaire de toponymie de la région Centre (consulté le ).
  75. Archives nationales-JJ 40, fol. 59, no 117.
  76. Archives Nationales-JJ 105, no 100, fol. 61 v°
  77. « Sur la route de La Chapelle Sainct Mesmin à Orléans », Archives Nationales-JJ 125, no 61, fol. 34 v°.
  78. Archives Nationales-JJ 234, no 251, fol. 143 v°.
  79. Bibliothèque municipale d’Orléans, Ms 995, fol. 101.
  80. « Arrêté du 5 vendémiaire an IX portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 46 », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  81. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 144b
  82. Jacques Soyer, Les noms de lieux du Loiret, Paris, éditions Horvath, , 735 p. (ISBN 2-7171-0056-3), p. 491.
  83. « Fichier Fantoir 2020 des voies et lieux-dits »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr, (consulté le ).
  84. « Carte de la commune », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  85. Nicolas Charles auteur2= Pierrick Graviou, « Le calcaire lacustre aquitanien de la grotte du Dragon à La Chapelle-SaintMesmin » [PDF], sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr, BRGM, (consulté en ).
  86. [Bodu et al. 2019] Pierre Bodu, Michael Baillet, Ballinger Michele, Gaëlle Dumarçay, Nejma Goutas, Henri-Georges Naton, Hélène Salomon, Isabelle Théry-Parisot, Joël Suire, Olivier Touzé et al., « Le gisement paléolithique multistratifié « les Bossats » à Ormesson (Seine-et-Marne, France) : palethnographie ou pâle ethnographie ? Une synthèse des huit premières années de fouille (2009-2016) » (Actes du 28e congrès préhistorique de France – Amiens, 30 mai-4 juin 2016), Préhistoire de l'Europe du Nord-Ouest : mobilités, climats et identités culturelles, vol. 2 « Paléolithique supérieur ancien, Paléolithique final – Mésolithique »,‎ , p. 231-261 (lire en ligne [sur researchgate.net], consulté en ), p. 251.
  87. [Javon 1973] Pierre-Paul Javon, Odontologie d'un fragment de mandibule et de deux dents éparses (Magdalénien ancien) de la chapelle Saint-Mesmin (45380 Loiret) (thèse de doctorat en Préhistoire), .
  88. [Valentin, Bodu & Julien 2004] Boris Valentin, Pierre Bodu et Michèle Julien, Habitats et peuplements tardiglaciaires du Bassin parisien (Projet collectif de recherche 2003-2005. Rapport d’activité pour 2004), CNRS, Équipe ethnologie Préhistorique UMR 7041, , 187 p. (lire en ligne [PDF] sur hal-lara.archives-ouvertes.fr), p. 147.
  89. [Nouel 1937] Abbé A. Nouel, « Une Station du Paléolithique supérieur à La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 34, no 9,‎ , p. 379-387 (lire en ligne [sur persee]).
  90. Valentin, Bodu & Julien 2004, p. 158.
  91. [Richard 1972] Guy Richard, « À propos du site préhistorique de La Chapelle-St-Mesmin » (note bibliographique), Bulletin de l'Association des Naturalistes Orléanais et de la Loire Moyenne, no 6, 3e sér.,‎ , p. 15-16.
  92. Jacques Soyer, « Les voies antiques de l'Orléanais », mémoires de la Société archéologique de l'Orléanais, t. XXXVII,‎ , p. 42-43 (lire en ligne [sur gallica]).
  93. « Loiret, La Chapelle-Saint-Mesmin, rue du Coin Chaud : rapport de diagnostic », sur ariadne-portal.dcu.gr, Inrap, (consulté en ).
  94. Bruno Zélie, La Chapelle-Saint-Mesmin (45), Lieux-dits : Le Placeau et Les Chesnats, 2010, [lire en ligne].
  95. « Un village du haut Moyen Âge rue des Chesnats à la Chapelle-Saint-Mesmin », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  96. [PDF] Archéologie en Région Centre, 2013, no 2, publication de la DRAC Centre (ISSN 1243-8499), p. 2, [lire en ligne].
  97. Valérie Mauret-Cribellier, « Les aménagements portuaires de la Loire : commune de La-Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret) », sur le site du service du patrimoine et de l'inventaire du conseil régional du Centre-Val de Loire, (consulté le ).
  98. Henri Galinié, « Auvernat, synonyme d’Auvergnat ? », Recherches sur l'histoire des cépages de Loire,‎ (lire en ligne).
  99. La Loire – les peuples du fleuve, par Abel Poitrineau. p. 5-19, Une turbulente famille. Ed. Horvath, Saint-Étienne, 1989. (ISBN 2-7171-0639-1).
  100. Jacques Debal 1982, p. 306.
  101. Motte 2003, p. 24.
  102. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  103. « Arrêté du 5 vendémiaire an IX portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 42 », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  104. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
  105. Source : pétition du 6 frimaire an VI (), AD du Loiret no 45857.
  106. Louis Rondonneau, Collection générale des lois : décrets, arrêtés, sénatus-consultes, avis du conseil d'État et règlements d'administration publiés depuis 1789 jusqu'au . Gouvernement Impérial : - , vol. 10, Paris, Imprimerie royale, coll. « Bulletin des lois », , 434 p. (lire en ligne), 2e, p. 485-486.
  107. Journal Le Foyer du .
  108. Journal du Loiret du , p. 2, [lire en ligne].
  109. Journal du Loiret du , p. 2, [lire en ligne].
  110. Journal du Loiret du , p. 2, [lire en ligne].
  111. a et b Journal L'Orléanais du 17 juin 1846.
  112. Journal du Loiret du , p. 2, [lire en ligne].
  113. Bulletin de la Société archéologique et historique d'Orléans, 1858, tome III, p. 454-463.
  114. a et b Serge Vannier, Musiques et Fanfares du Loiret, Romorantin, CPE éditions, , 128 p. (EAN 9782845037298, www.cpe-editions.com), p. 30-33.
  115. « page d'accueil », sur le site de l'Harmonie de La Chapelle Saint-Mesmin (consulté le ).
  116. Courrier de M. Choquet-Leguillon in Journal du Loiret du , p. 3, [lire en ligne].
  117. La commune compte 50 soldats morts durant la Première Guerre mondiale soit 3 % des résidents de la commune : 11 en 1914, 16 en 1915, 3 en 1916, 4 en 1917, 12 en 1918, 3 en 1919 et 1 en 1921.
  118. Poulot, « La Chapelle Saint Mesmin en 1930 : Les personnes, les services, les biens », sur le site de l'encyclopédie collaborative « Loire Beauce Encyclopedia », (consulté le ).
  119. « Arrêté du 9 août 1951 relatif aux "vins de l'Orléanais", définition du droit à l'appellation en application de la loi du 6 mais 1919 relative aux appellations d'origine », (consulté le ), p. 8990.
  120. « Orléans Métropole - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur le site de la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  121. Décret no 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret.
  122. « Découpage électoral du Loiret (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  123. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
  124. « Election des conseillers municipaux et du maire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la DGCL (consulté le ).
  125. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  126. a et b « Résultats du 1er tour pour La Chapelle-Saint-Mesmin », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  127. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  128. « La Chapelle-Saint-Mesmin : Nicolas Bonneau en piste pour un 3e mandat », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  129. a et b Bertrand Mallen, « Loiret : le maire de la Chapelle-Saint-Mesmin, Nicolas Bonneau, est mort à l'âge de 53 ans », sur le site de la chaîne France 3, (consulté le ).
  130. a b et c Antoine Denéchère, « Valérie Barthe Cheneau, élue maire de la Chapelle-Saint-Mesmin, dans le Loiret », sur le site de la chaîne France Bleu, (consulté le ).
  131. « Valérie Barthe Cheneau, la nouvelle maire de La Chapelle Saint Mesmin », sur le site de la chaîne France Bleu, (consulté le ).
  132. a et b « Liste des maires de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
  133. a et b J.C. Dumort, « La Chapelle Saint Mesmin:Le différentes municipalités de la Révolution à L'Empire », sur le site de l'encyclopédie en ligne « Loire Beauce Encyclopedia » des membres de l'association « Racines du Pays Loire Beauce », (consulté le ).
  134. Plaquette de la campagne électorale de Jean-Marc Bernard aux municipales de 1995.
  135. Plaquette de la campagne électorale de Michel Tescher aux municipales de 1995.
  136. Tract de la campagne électorale de Michel Tescher aux municipales de 1995.
  137. Antoine Denéchère, « Municipales : la République en Marche soutient deux premiers candidats dans le Loiret », sur le site de la chaîne France Bleu, (consulté le ).
  138. Plaquette Ensemble pour La Chapelle, liste de Nicolas Bonneau aux municipales de 2008.
  139. « Notre équipe », sur le site de la liste de Nicolas Bonneau aux municipales de 2020, (consulté le ).
  140. « Les conséquences de l’intercommunalité sur la fiscalité des communes », sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  141. « Comptes de la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur impots.gouv.fr (consulté le ).
  142. « LABEL TERRE DE JEUX 2024 : LISTE COMPLÈTE DES LABELLISÉS », sur le site des Jeux Paris 2024, (consulté le ).
  143. « Ville prudente, les villes labellisées », sur le site de l'association Prévention routière, .
  144. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (consulté le ).
  145. « Annuaire des villes jumelées »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de l'association française du conseil des communes et régions d'Europe (consulté le ).
  146. Les services publics d'eau et d'assainissement ; p. 5.
  147. Article L5215-20 du Code général des collectivités territoriales.
  148. L5217-2 Article L5217-2 du Code général des collectivités territoriales.
  149. BRGM, « SIVOM d'Orléans - Implantation des forages d'eau potable et périmètres de protection » [PDF], sur infoterre.brgm.fr, (consulté le ), p. 18-22.
  150. Les services publics d'eau et d'assainissement, p. 16.
  151. a et b Rapport 2015 sur le prix et la qualité du service public d'assainissement, p. 25-26.
  152. a et b Rapport 2015 sur le prix et la qualité du service public d'assainissement, p. 115.
  153. Rapport 2015 sur le prix et la qualité du service public d'assainissement, p. 27.
  154. Article L2224-10 du Code général des collectivités territoriales.
  155. Rapport 2015 sur le prix et la qualité du service public d'assainissement, p. 16-18.
  156. « Orléans Métropole - politique d'assainissement », sur orleans-metropole.fr (consulté le ).
  157. « Catalogue des stations d'épuration en service dans le Loiret au 13 septembre 2013 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
  158. « TDÉCHETTERIES, VÉGÉ'TRI », sur le site de la communauté urbaine Orléans Métropole (consulté le ).
  159. « Rapport annuel 2015 sur le prix et la qualité du service public d’élimination des déchets » [PDF], sur le site de la communauté urbaine Orléans Métropole (consulté le ), p. 31-36.
  160. Claire Chaudière, « Pas d'ouverture pour l'école musulmane de Saint Mesmin - France Inter », sur le site de France Inter, (consulté le ).
  161. Ch. L, « Pas d'école musulmane à la Chapelle-Saint-Mesmin - France 3 Centre-Val de Loire », (consulté le ).
  162. Ehpad La Chapelle
  163. Site web de l'entreprise Korian
  164. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  165. « La fête du vin doux - Une édition un peu spéciale...mais toujours autant de convivialité ! », sur la page web de la fête du vin doux (consulté le ).
  166. « page d'accueil », sur le site du festival national d'opéras pour enfants (consulté le ).
  167. « page d'accueil », sur le site du festival d'images sous-marines Images de l'eau delà (consulté le ).
  168. « Sons au fil de l'eau », sur Site de la commune (consulté le ).
  169. « La fête des Duits », sur le site d'Arnaud NANO MÉTHIVIER (consulté le ).
  170. « La Rue au Fil de l’Eau - Festival », sur le site de la commune (consulté le ).
  171. « Le Loiret au fil de l'eau (Loire & canaux) », sur le site du CD45 (consulté le ).
  172. « La fête des Duits », sur le site d'Orléans Métropole (consulté le ).
  173. Alicia Méchin, « Festiv’Elles : 11 communes du Loiret mettent à l’honneur les femmes ! », sur le site de la chaîne de radio Vibration, (consulté le ).
  174. « Les fêtes de Jeanne d'Arc », sur le site d'Orléans Métropole (consulté le ).
  175. « Festival de Loire », sur le site d'Orléans Métropole (consulté le ).
  176. « Page d'accueil », sur le site des clubs membres de l'Union sportive chapelloise (consulté le ).
  177. « Page d'accueil », sur le site Bi Club Chapellois (consulté le ).
  178. « Associations à La Chapelle-Saint-Mesmin », sur le site pagesjaunes.fr (consulté le ).
  179. « Annuaire des associations de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur le site de la Ville de La Chapelle-Saint-Mesmin (consulté le ).
  180. « Agenda des associations », non daté (consulté le ).
  181. « Harmonie de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur opentalent.fr (consulté le ).
  182. « Groupement paroissial de La Chapelle-Saint-Mesmin-Chaingy-St Ay (Agylus) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du diocèse d'Orléans (consulté le ).
  183. « Pôle missionnaire Ouest »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du diocèse d'Orléans (consulté le ).
  184. « Horaires des messes », sur le site de la Conférence des évêques de France (consulté le ).
  185. « Mosquée de la Chapelle-Saint-Mesmin à La chapelle-saint-mesmin », sur la mosquée du coin (consulté le ).
  186. « Liste des mosquées à Orléans », sur le guide musulman (consulté le ).
  187. « Église Protestante Unie d'Orléans », sur le site de l'Union nationale des associations cultuelles de l'Église protestante unie de France (consulté le ).
  188. « Page d'accueil », sur le site de l'Église évangélique libre d'Orléans (consulté le ).
  189. « Page d'accueil », sur le site de l'Église Parole de Vie (consulté le ).
  190. « Page d'accueil », sur le site de l'Église évangélique baptiste de l'Orléanais (consulté le ).
  191. « Radios reçues à La Chapelle-Saint-Mesmin. », sur le site du conseil supérieur de l'audiovisuel, (consulté le ).
  192. « Radio Campus Orléans », sur orleans.radiocampus.org (consulté le ).
  193. « RCF Loiret », sur orleans.catholique.fr (consulté le ).
  194. « Statistiques de l'Insee pour la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin », sur statistiques-locales.insee.fr, (consulté le ).
  195. « Statistiques de l'Insee pour le département du Loiret », sur statistiques-locales.insee.fr, (consulté le ).
  196. « émission "Comment ça va bien", France 2, 22 avril 2014 », sur youtube.com, (consulté le ).
  197. « Duralex: Pyrex favori pour la reprise, malgré une offre jugée insuffisante », sur le site du quotidien Le Figaro, (consulté le ).
  198. Jean-Marie Flonneau, Deux siècles d'industrie dans le Loiret : 1750-1950, Orléans, Chambre de commerce et d'industrie du Loiret, , 120 p. (ISBN 2-909390-02-0), p. 107, 108.
  199. Groupe Eureden
  200. « Les conserveries », sur archives.orleans-metropole.fr (consulté le ).
  201. « Entreprise René Maingourd », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  202. « Entreprise René Maingourd », sur verif.com (consulté le ).
  203. Le GAEC du Louvre, le Moulin de Pailly et la SCEA.
  204. a et b « Visite du Chateau des Hauts futur siège de la SSII orléanaise Pentalog » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  205. « L'église Saint-Mesmin », notice no PA00098732, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  206. Voir le cliché Street View de Google Maps
  207. La remarquable collection de roses du jardin du château à l'époque de la célèbre actrice, entre 1801 et 1815, permet à la commune de figurer dans le répertoire de la Route de la Rose du Loiret établi par le conseil département du Loiret: « La route de la rose du Loiret », sur routedelarose.fr, Tourisme Loiret (consulté le ).
  208. Site du château du Rollin
  209. Architecte : R. Dusserre (source: plaque apposée au-dessus de l'entrée de l'ancienne salle des mariages)
  210. Information confirmée par la plaque apposée au-dessus de l'entrée de l'ancienne salle des mariages.
  211. Par arrêté préfectoral du à la suite de la délibération du conseil municipal du dans laquelle : « la commune revendique la propriété de l'allée des tilleuls et du petit séminaire afin d'agrandir les écoles et d'aménager une salle des fêtes (...). »
  212. « A la découverte de La Chapelle Saint-Mesmin », sur Explorama (consulté le ), durée du parcours : 90 min.
  213. « La Route des Illustres du Loiret », sur tourismeloiret.com (consulté le ).
  214. Offrande à Charon que l'on plaçait dans la bouche des défunts.
  215. Voir l’article Wikipedia à propos de l’histoire du Château de la Source du Rollin pour découvrir l’origine de ce bois qui date de la fin du XIXe siècle.
  216. [PDF] Laura Rouvelin, Réaménagement des bords de Loire à la Chapelle-Saint-Mesmin (45) - Création d’une guinguette sur la Place des Grèves, École polytechnique de l'université de Tours, stage DA3 2008/2009, [lire en ligne].]
  217. « Ministère de la Culture », (consulté le )
  218. « Espaces "Facile à lire" : Bibliotheque Municipale Louis Rouilly - Mairie de La Chapelle-Saint-Mesmin », (consulté le )
  219. « Emile Rousseau (1899-1985) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  220. Site de la Cie de l'Encre
  221. « Armorial de France », sur L'Armorial (consulté le ).
  222. Dessinée gracieusement par Béatrice Veillon.
  223. Logotype no  16 4 250 264 déposé le .
  224. Site de la BNF.
  225. Cette maison, située sur la route départementale vers la limite Est de la commune, a été abattue à la fin de l’année 2022. Elle a été plus tard dénommée Le Pigeon Vert.