Marly-le-Roi

commune française du département des Yvelines

Marly-le-Roi
Marly-le-Roi
L'Abreuvoir de Marly, le quartier de Montval-Coteaux et au fond, le viaduc ferroviaire.
Blason de Marly-le-Roi
Blason
Marly-le-Roi
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité CA Saint Germain Boucles de Seine
Maire
Mandat
Jean-Yves Perrot
2020-2026
Code postal 78160
Code commune 78372
Démographie
Gentilé Marlychois
Population
municipale
16 531 hab. (2021 en augmentation de 0,61 % par rapport à 2015)
Densité 2 528 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 03″ nord, 2° 05′ 41″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 179 m
Superficie 6,54 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Chatou
Législatives 4e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Marly-le-Roi
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Marly-le-Roi
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Marly-le-Roi
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Marly-le-Roi

Marly-le-Roi est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Située à une vingtaine de kilomètres à l'ouest du centre de Paris, cette commune de l'unité urbaine de Paris au cœur du Pays des Impressionnistes abrite notamment le Domaine national de Marly-le-Roi et une partie de la forêt domaniale de Marly.

Ses habitants sont appelés les Marlychois.

Géographie modifier

Position de Marly-le-Roi dans les Yvelines.

Description modifier

Vue aérienne historique de Marly.

La commune de Marly-le-Roi se situe sur la rive gauche de la Seine au sud d'un méandre, à 22 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris, point zéro des routes de France.

Elle est localisée à 9 kilomètres au nord de Versailles, préfecture des Yvelines, à 5 kilomètres au sud de Saint-Germain-en-Laye la sous-préfecture et à 17 kilomètres à l'ouest de la porte d'Auteuil.

Elle est bâtie sur une sorte de promontoire en contrebas et au nord du plateau du Cœur-Volant au bord duquel se trouvait le château de Marly aujourd'hui disparu. Ledit promontoire domine d'environ 150 mètres la vallée de la Seine plus au nord. L'urbanisation est concentrée dans la moitié nord du territoire communal, la moitié sud étant majoritairement couverte par la forêt domaniale de Marly.


Communes limitrophes modifier

Quartiers modifier

Vieux-Marly.

La commune compte cinq quartiers :

  • Le Vieux Marly-Ombrages-Monbâti, avec des hôtels particuliers du XVIIIe siècle et l’église Saint-Vigor, édifiée au XVIIe siècle ;
  • Le Plateau-Vergers-Vauillons-Bois Martin, avec ses maisons individuelles, et le parc Jean-Witold ;
  • Les Grandes Terres, domaine piétonnier résidentiel et privé, dans un parc de 27 hectares ;
  • Montval, ancien hameau de Le Pecq avant 1822[1], avec son gymnase, son groupe scolaire et sa bibliothèque ;
  • Les Coteaux, comprenant l'ancien hameau de Montval.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marly-le-Roi est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Transports et déplacements modifier

Voies de communications modifier

Gare de Marly-le-Roi.

Transports en commun modifier

Chemin de fer modifier

Gare de Marly-le-Roi.

La commune est desservie par la gare de Marly-le-Roi, sur la ligne TransilienLigne L du Transilien.

La ligne effectue les liaisons entre les gares de Paris-Saint-Lazare, de La Défense et de Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt de Marly. Elle est située sur la ligne de Saint-Cloud à Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt-de-Marly.

En 1878, la Société anonyme du Tramway à Vapeur de Rueil à Marly-le-Roi (TVRMR) met en service le la ligne entre Rueil-Malmaison et Port-Marly. Un train sur deux empruntait l’embranchement vers l’abreuvoir de Marly-le-Roi. En 1891, un accident mortel, impliquant une passante et le mécanicien, rapporté par le supplément illustré du Petit Journal du , eut lieu à la halte Saint-Fiacre (arrêt actuel de la ligne 1 du bus de Saint-Germain-en-Laye à Versailles).

La rame automotrice Z6523/24 de la livrée Z 6400 est le premier train parrainé en Île-de-France par une commune, en l’occurrence celle de Marly-le-Roi, le [16].

Transports routiers urbains et interurbains modifier

L'ancien réseau de bus Entre Seine et Forêt.

La commune est desservie par les lignes :

Toponymie modifier

Le toponyme est attesté sous les formes Mairilaco en 697, Marleium en 1087, Marletum, de Marleio en 1173[17],[18], Marliacum en 1202.

Il serait issu d'un anthroponyme latin tel que Marullius[17] ou Marillius[18]. Le nom de Marly provient de marcilliacum, « domaine de Marcel », qui a donné marlacum, malliaco villa ou peut-être de merula, merle.

Micro-toponymie modifier

  • Le nom de Marly a été donné à une automobile construite en 1956 par la société Simca, le break Simca Marly.
  • Le nom de Marly a été donné à un plat « La Timbale Marly », (un salpicon), mélange à base de légumes, de fruits, de poisson et de viande. Les ingrédients sont coupés finement.

Histoire modifier

Le lieu est connu dès 676, sous Thierry III.

On découvrit à Marly, en 1848, un dolmen au lieu-dit le Mississipi[19] non loin de la « Tour aux Païens »[20].

Marly est propriété des seigneurs de Montmorency jusqu'à son acquisition par Louis XIV en 1676 qui y fait construire par Jules Hardouin-Mansart « son » château de Marly, plus intime que Versailles et où il pourra s'adonner aux plaisirs personnels. Il acquiert ainsi par échange la seigneurie de Marly pour y construire son château.

Le château, situé sur le plateau du Cœur Volant, est alimenté en eau par la machine de Marly et l'aqueduc de Louveciennes et l'extrémité nord est agrémentée d'un bassin, en contrebas, au niveau du village, et d'un immense abreuvoir où les cavaliers peuvent entrer avec leurs montures ! Ce bassin sera agrémenté, sous Louis XV, par les deux célèbres chevaux de Marly sculptés en 1745 par Guillaume Coustou. En 1789, le château est pillé par les révolutionnaires et laissé à l'abandon.

Durant la Révolution, la commune porte provisoirement le nom de Marly-la-Machine[21] (bien que celle-ci soit située sur la commune de Bougival) ; les chevaux sont « subtilisés » pour être installés à Paris sur la place de la Concorde puis placés à l'entrée de l'avenue des Champs-Élysées en 1795. Aujourd'hui, ils se trouvent à l'abri des intempéries au Musée du Louvre dans la cour Marly de l'aile Richelieu.

En 1799, un industriel, Alexandre Sagniel, achète le château à l'abandon et installe des ateliers de filature dans les communs. Failli, cet industriel ne trouvant pas à céder le château en l'état de délabrement avancé, le démantèle et en vend les pierres comme pierres à bâtir[22]. En 1806, le domaine passe entre les mains de l'administration des Eaux et Forêts.

La période impressionniste voit le village, à l'instar de ceux de Bougival, Louveciennes ou Croissy, attirer les peintres comme Sisley ou Pissarro ainsi que poètes, écrivains et sculpteurs. Maillol s'y installera également au début du XXe siècle.

L'abreuvoir de Marly fut le seul élément du domaine de Marly classé au titre des monuments historiques en 1862. Si d'autres éléments ont été classés en 1928, la totalité du domaine de Marly ne fut classé que le [23],[24]. Jusqu'en 2009, le domaine a été une résidence de la présidence de la République[25], servant notamment de relais de chasses présidentielles et de lieu de villégiature[26]. Il est aujourd'hui géré par l'Établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles.

Au cours des années 1950-1960, la ville voit son développement urbain au sein de l'aire urbaine de Paris s’accélérer au sud de la commune avec l'implantation du quartier des Grandes Terres[27].

Politique et administration modifier

Intercommunalité modifier

Logo de Saint Germain Boucles de Seine.

Marly-le-Roi fait partie de la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine avec 19 autres communes du nord-est du département des Yvelines, et dont le siège est situé au Pecq.

Découpage administratif modifier

La commune est située dans le département des Yvelines, dont la préfecture est Versailles. Elle fait partie de l'arrondissement de Saint-Germain-en-Laye et, depuis 2015, du canton de Chatou. De 1833 à 2015, elle avait été intégrée au canton de Marly-le-Roi. De plus, elle fait partie de la quatrième circonscription des Yvelines.

L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de Marly au tribunal judiciaire de Versailles et au tribunal administratif de Versailles, tous rattachés à la cour d'appel de Versailles[28].

Tendances politiques et résultats modifier

Élections présidentielles modifier

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives modifier

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes modifier

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales modifier

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections départementales modifier

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections municipales modifier

Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :

- Élections municipales de 2008[37] : 59,94 % pour Jean-Yves Perrot (DVD), 26,23 % pour Sandrine Dubos (DVG) et 13,83 % pour Bernard Longhi (Modem). Le taux de participation était de 61,24 %.

- Élections municipales de 2014[37] : 73,26 % pour Jean-Yves Perrot (DVD) et 26,74 % pour Jacques Chesnais (DVG). Le taux de participation était de 59,17 %.

- Élections municipales de 2020[38] : 52,41 % pour Jean-Yves Perrot (DVD), 31,37 % pour Noëlla Arnaudo (DVC) et 16,22 % pour Tanguy Ruellan (DVG). Le taux de participation était de 44,71 %.

Liste des maires modifier

Hôtel de ville.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1808 1810 Victor Deschamps    
1810 1830 Adrien Bucon    
1830 1848 Paul Huvet    
1848 1849 Émile Piton    
1849 1849 Édouard Maulme    
1849 1852 Georges Guyet    
1852 1862 Jean Moiesseron    
1862 1870 Gustave Fillet    
1870 1871 Victorien Sardou    
1871 1874 François Beaugrand    
1874 1875 Pierre Errequeta    
1875 1881 Louis Mazian    
1881 1888 Hector Titreville    
1888 1888 Charles Basselier    
1888 1899 Jean-Baptiste Broussin    
1899 1913 Alfred Couturier    
1913 1918 Paul Duret    
1918 1919 Auguste Lesserteur    
1919 1930 Raoul Filhos    
1930 1934 Paul Oudot    
1934 1935 Léon Legrand    
1935 1940 Paul Leduc    
1940 1947 Maurice Bourgoing    
1947 mai 1953 Henri Bèque    
mai 1953 1966 Raymond Gilles SE Conseiller général de Marly-le-Roi (1964 → 1967)
Démissionnaire
février 1966 mars 1989 Jean Béranger Rad. puis
MRG (UG)
Cadre, ancien premier adjoint
Sénateur des Yvelines (1977 → 1986)
Conseiller général de Marly-le-Roi (1967 → 1979)
Conseiller régional d'Île-de-France (1982 → 1988)
Vice-président du Mouvement des radicaux de gauche
mars 1989 juin 1995 Yves Guibert DVD Ancien directeur général, ingénieur
juin 1995 octobre 1997 François-Henri de Virieu DVG-PS Journaliste
Décédé en fonction
janvier 1998 mars 2001 Bernard Longhi DVD  
mars 2001 En cours
(au 9 juillet 2020)
Jean-Yves Perrot[39] RPR puis
UMP-LR
puis DVD
Énarque, haut fonctionnaire[40], conseiller-maître à la Cour des Comptes
Conseiller régional d’Ile-de-France (2004 → 2010)
Président de la CA Saint-Germain Seine et Forêts (2014 → 2015)
Vice-président de la CA Saint Germain Boucles de Seine (2016 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[41] ,[42],[43]

Distinctions et labels modifier

En 2002, pour entretenir l'héritage culturel laissé par les Impressionnistes dans les Yvelines, Marly-le-Roi, avec huit autres communes riveraines de la Seine, Carrières-sur-Seine, Chatou, Croissy-sur-Seine, Bougival, Louveciennes, Le Port-Marly, Le Pecq et Noisy-le-Roi, crée le label et la structure « Pays des Impressionnistes »[44].

Jumelages modifier

Carte
Villes jumelées avec Marly-le-Roi.Voir et modifier les données sur Wikidata
Villes jumelées avec Marly-le-Roi.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Kita[45]Malidepuis
Leichlingen[45]Allemagnedepuis
Marlow[45],[46]Royaume-Unidepuis le
Viseu[45],[47]Portugaldepuis le

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[48],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 16 531 habitants[Note 4], en augmentation de 0,61 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3871 2291 1911 0521 2081 1581 1671 2031 243
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3251 3801 3021 2501 3341 5581 6881 4911 443
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5681 6631 6701 9512 2802 4592 5372 9923 765
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
10 19311 92516 10317 25716 74116 75916 65516 64516 147
2021 - - - - - - - -
16 531--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 7 574 hommes pour 8 761 femmes, soit un taux de 53,63 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
2,0 
6,3 
75-89 ans
11,0 
15,4 
60-74 ans
16,6 
21,3 
45-59 ans
22,1 
18,6 
30-44 ans
18,0 
15,9 
15-29 ans
13,5 
21,4 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[51]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement modifier

En fond, le lycée Louis-de-Broglie.

La commune relève de l'académie de Versailles.

La ville compte[52] :

Sports modifier

Équipements sportifs

La commune offre plusieurs équipements sportifs : deux piscines municipales (la piscine municipale Franck-Esposito[56] et la piscine intercommunale de Saint-Germain-en-Laye), cinq gymnases (le gymnase du Champ-des-Oiseaux, le complexe sportif du Chenil, le gymnase Ramon, le gymnase des Maigret et le gymnase du Centre), deux stades[57] (le stade François-Henri-de-Virieu pour le football et le tennis, et le stade du Chenil pour le football et l'athlétisme), un centre équestre (poney-club) et un rowing club.

La ville possède d'autre part une école municipale des sports, comprenant plusieurs activités : la section arts du cirque, la section multisports (jeux de ballons : handball, basket-ball, volley-ball, football et rugby ; jeux de raquettes : tennis, badminton, tennis de table ; athlétisme : courses, lancers, sauts, hockey, cross québécois ; rollers, gymnastique, trampoline, piscine) et la section gymnastique.

Événements sportifs
  • la Foulée marlychoise[58] ;
  • le tournoi open de tennis[59].

Équipements culturels modifier

  • La bibliothèque et centre multimédia Pierre-Bourdan, avenue de Saint-Germain, possède une section adulte et une section jeunesse[60] ;
  • Le conservatoire de musique Roger-Bourdin dans le parc Jean-Witold[61] ;
  • Le cinéma Le Fontenelle offre un cinéma d'art et d'essai[62],[63] ;
  • Le centre culturel Jean-Vilar propose notamment des spectacles de : théâtre, musique, danse, contes et expositions de peintures[64],[65] ;
  • L’office de tourisme propose de nombreuses activités[66],[67] ;
  • Le Pôle Jeunesse est une structure qui accueille les jeunes Marlychois de 11 à 25 ans. De nombreuses activités sont organisées en accès libre ou sur inscription : jeux, sport, tournois, cours de musique, activités manuelles, sorties ludiques et culturelles[68].

Santé modifier

Marly-le-Roi met à la disposition de ses concitoyens différents centres médicaux : le Centre de protection maternelle et infantile (PMI), le Centre de planification et d’éducation familiale, le Centre médico-psychologique, le Centre médico-psycho-pédagogique, et le S.I.M.A.D. (Service de soins à domicile), le Centre de rééducation pour aveugles et malvoyants et le Centre thérapeutique de jour Jean-Ernst. La ville regroupe une dizaine de médecins généralistes et une trentaine de médecins spécialistes. Elle est rattachée au Centre hospitalier de Poissy / Saint-Germain-en-Laye.

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Des concerts de l'orchestre de Marly en l'église Saint-Thibaut[69] ;
  • Expositions culturelles : un week-end pour l'art ;
  • Fête des associations[70] ;
  • Fête de la musique et de la poésie[71] ;
  • Festival du film de Marly ;
  • Fête de la ville, avec son grand feu d'artifice, dans le parc royal de Marly ;
  • Les Rencontres de Danse Contemporaine organisées par Dancite[72], au centre culturel Jean-Vilar.

Cultes modifier

Église Saint-Vigor de Marly.

Marly possède deux cimetières : Henri-Bouilhet et Genêtrière.

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

  • L'exploitation agricole est restreinte à une sorte d'enclave entre Bailly et Rocquencourt à proximité du fort du Trou d'Enfer.
  • Les entreprises installées sur la commune exercent leurs activités dans le secteur tertiaire et occupent une superficie de 61 hectares. Les principales sont :
    • l'entreprise technologique Carl Zeiss ;
    • la compagnie d'assurances Axa.

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 44 022 , ce qui plaçait Marly-le-Roi au 1 045e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[75].

En 2017, la part des ménages fiscaux imposables était de 77%[76].

Emploi modifier

Le taux de chômage, en 2017, pour la commune s'élève à 6,5 %[76], un chiffre inférieur à la moyenne des Yvelines (9,9 %)[77] et à la moyenne nationale (10,4 %)[78].

Culture locale et patrimoine modifier

La terrasse de Marly, vue par Hubert Robert, seconde moitié du XVIIIe siècle.
L'église Saint-Vigor.

Lieux et monuments modifier

La ville possède un patrimoine très important[79] :

... mais la machine de Marly était en fait située à Bougival.

Espaces verts modifier

Grand bassin du domaine de Marly.

La ville compte près de dix-sept hectares d'espaces verts (hors domaine national de Marly et forêt domaniale), dont 458 m2 d'espaces fleuris.

Le service des espaces verts réalise deux fleurissements par an et entretient plus de 1 300 arbres : tels que les prunus, les tilleuls, les chênes, les érables, les platanes, les aubépines, les marronniers, les catalpas, les liquidambars, et les acacias.

On trouve notamment à Marly[80] :

  • Le parc royal, dans lequel se trouvent les célèbres chevaux de Marly et se situait le château de Marly ;
  • Le musée-promenade de Marly-le-Roi - Louveciennes, en bordure du parc royal ;
  • La forêt domaniale de Marly et l'Ecole de la Campagne et de la Forêt (centre d'éducation à l'environnement) ;
  • Le parc municipal du Chenil (arboretum aux essences riches et variées) ;
  • Le parc municipal des Coteaux (vergers) ;
  • Le parc municipal Jean-Witold, édifié en 1928 ;
  • Le jardin Maillol, au coeur du quartier historique de Marly ;
  • Le square Georges-Michel, rénové en 2019 ;
  • Le jardin de lecture de la bibliothèque Pierre-Bourdan.

Marly dans les arts modifier

Alfred Sisley, La Place du Chenil à Marly, effet de neige (1876).
Alfred Sisley,
La Forge à Marly-le-Roi (1875).

La ville a servi de modèle à plusieurs peintres, parmi lesquels Hubert Robert, Alfred Sisley, Maurice de Vlaminck (Une rue de Marly-le-Roi, vers 1905[81]) et Giovanni Boldini (La Machine de Marly (La Seine à Bougival)).

  • Le peintre français Georges Mathieu a intitulé une des œuvres Marly. Il s'agit d'une huile sur toile de 60 par 100 cm datée de (19)65 qui représente, sur un fond bleu sombre, un réseau de lignes parallèles et perpendiculaires surmontées de plusieurs diagonales et de lignes brisées. Elle fut exposée, sous le no 70 en 1965, à la Galerie Charpentier à Paris lors d'une exposition monographique.

La ville a été utilisée comme lieu de tournages pour de nombreux films, comme Razzia sur la schnouf, Les Yeux sans visage, Playtime, Bonjour l'angoisse, Ne réveillez pas un flic qui dort, Se souvenir des belles choses ou Mademoiselle de Joncquières.

Personnalités liées à la commune modifier

(Liste non exhaustive, classée par années croissantes)

Héraldique modifier

Armes de Marly-le-Roi

Les armes de Marly-le-Roi se blasonnent ainsi :
« écartelé, au premier et au quatrième d'azur au soleil d'or, au deuxième et au troisième d'or à la croix de gueules treillissée d'argent et cantonnée de quatre aiglettes d'azur ».

Le blason de Marly-le-Roi fut créé en 1942, les soleils symbolisent Louis XIV, les alérions (petits aigles) sont les armes des Montmorency, premiers seigneurs de Marly-le-Roi, les couleurs bleu et jaune sont les couleurs royales.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Antoine Le Bas, La Celle-Saint-Cloud, Marly-le-Roy : Yvelines, Lieux Dits Éditions, (ISBN 978-2905913241).
  • L'Histoire de Marly-le-Roi, des origines à 1914, présences et forces, Pierre Nickler avec la collaboration de Christiane Neave, éditions Champflour, Marly-le-Roi, 1996, (ISBN 2-87655-030-X).
  • Les Petits Trains et les Tramways des Yvelines et de l'Ouest parisien du XIXe siècle aux années 2000, Claude Wagner, Éditions du Valhermeil, 1997 (ISBN 2-905684-85-2).
  • Hélène Honegger-Grouard, Une histoire d'enfance 1935-1950, (ISBN 978-2-8399-2015-5).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. Cercle Généalogique de Versailles et des Yvelines, Paysages d'Yvelines à la fin du XVIIIe siècle : Le cadastre de Bertier de Sauvigny, Archives départementales des Yvelines, .
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Marly-le-Roi et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Rail passion hors-série, Spécial Île-de-France, novembre 2006, p. 92
  17. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 569.
  18. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  19. Mellerio : Fouilles opérées dans le voisinage de l'Allée couverte du Mississipi, à Marly-le-Roi. Bulletin de la Société des Sciences de Seine-et-Oise, tome XI, page 25. Sur le plateau de Marly, de nombreux silex taillés.
  20. Guegan : Recherches géologiques et préhistoriques, aux environs de SaintGermain-en-Laye. Mém. de la Société des Sciences morales de Lettres et des Arts, de S.-et-O., 1874, t. X, p. 392 et suivantes, Rech. préhist. dans le dép. de S.-et-O. de 1-879 à 1883. Com. ant. et arts de S.-et-O. 1884, p. 79-80.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Avenue des Combattants on peut voir des moellons de marbre rose dans un mur de clôture.
  23. Gabor Mester de Parajd, « Le domaine de Marly aujourd’hui », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [en ligne], | 2012, mis en ligne le 18 décembre 2013, consulté le 12 novembre 2015. URL : http://crcv.revues.org/11953 ; DOI : 10.4000/crcv.11953.
  24. « Domaine national de Marly », notice no PA00087524, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Panneau d'information du parc[source insuffisante].
  26. « Marly la maison de campagne », sur L'Express.
  27. « Patrimoine de Marly le Roi », sur Ville de Marly.
  28. Organisation juridictionnelle sur le site du ministère de la Justice. Consulté le 15/03/2020.
  29. « Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  30. « Résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  31. « Résultat de l'élection législative de 2012 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  32. « Résultat de l'élection législative de 2017 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  33. « Résultat de l'élection européenne de 2014 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  34. « Résultat de l'élection européenne de 2019 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  35. « Résultat de l'élection régionale de 2015 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  36. « Résultat de l'élection départementale de 2015 à Marly-le-Roi », sur le site du ministère de l’intérieur.
  37. a et b « Résultat de l'élection municipale de 2014 à Marly-le-Roi », sur le Monde.
  38. « Résultat de l'élection municipale de 2020 à Marly-le-Roi », sur le Monde.
  39. « Jean-Yves Perrot, Conseiller maître à la Cour des comptes (personnalité qualifiée désignée par le président du Sénat) », La commission de surveillance, sur caissedesdepots.fr (consulté le ).
  40. Comité d'histoire, « Jean-Yves Perrot », Les directions d'administration centrale, des origines à nos jours, Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie (consulté le ).
  41. Réélu pour le mandat 2014-2020 : François Desserre, « Jean-Yves Perrot réalise un score « historique » : Le maire sortant de Marly-le-Roi, Jean-Yves Perrot, a largement été réélu dès le premier tour. Il a obtenu 73,26% des voix », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Maxime Fieschi et Sébastien Birden, « Marly-le-Roi : le maire et son adjointe, adversaires mais pas ennemis : Noëlla Arnaudo a fait dissidence et se présente aux municipales, accompagnée de plusieurs adjoints, face au maire Jean-Yves Perrot. Pour l’heure, tout le monde travaille encore main dans la main », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Le Mesnil-le-Roi 78600 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  44. Clarisse Josselin, Le Pays des impressionnistes est né, Le Parisien, 27.02.2002.
  45. a b c et d « http://www.marlyleroi.fr/index.php/Jumelage?idpage=6 »
  46. « http://www.marlowtowntwinning.co.uk/htdocs/ »
  47. « https://www.cm-viseu.pt/index.php/diretorio/cidades-geminadas »
  48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marly-le-Roi (78372) », (consulté le ).
  51. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  52. Annuaire| Ville de Marly-le-Roi, consultée le 3 septembre 2020
  53. Thierry Lefebvre et Cécile Raynal, Un studio de télévision à l'école - Le collège expérimental audiovisuel de Marly-le-Roi (1966-1992), Éditions Glyphe, Paris, 2017.
  54. « Lycée Louis de Broglie, Marly le Roi », sur lyc-debroglie-marly.ac-versailles.fr (consulté le ).
  55. Article| Le Monde, consultée le 3 septembre 2020
  56. Ville| Ville de Marly-le-Roi, consultée le 3 septembre 2020
  57. Ville| Ville de Marly-le-Roi, consultée le 3 septembre 2020
  58. La Foulée Marlychoise.
  59. Le tournoi open de tennis.
  60. Bibliothèque Pierre Bourdan centre multimédia, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)
  61. Le conservatoire de musique Roger Bourdin, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)
  62. Cinéma Le Fontenelle, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)
  63. Les films à l'affiche, publié sur le site de cineode.fr (consulté le 6 mars 2018)
  64. Le centre culturel Jean Vilar, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)
  65. « Évènements », publié sur le site du centre culturel Jean Vilar (consulté le 6 mars 2018)
  66. Le Point d'information touristique, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)
  67. Office de tourisme, publié sur le site du pays-des-impressionnistes.fr (consulté le 6 mars 2018)
  68. Pôle Jeunesse, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)
  69. Concerts de l’orchestre de Marly.
  70. « Fête des associations »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  71. « Fête de la musique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  72. [1]
  73. Site| Ville de Marly, consultée le 3 septembre 2020
  74. Site| Eglise Prostetante, consultée le 3 septembre 2020
  75. « Revenus fiscaux localisés des ménages-Année 2010 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  76. a et b « Insee - Chiffres clés : Commune de Marly-le-Roi (78372) », sur insee.fr (consulté le ).
  77. « Insee - Chiffres clés : Département des Yvelines (78) », sur insee.fr (consulté le ).
  78. « Insee - Indicateur - Estimation du taux de chômage au sens du BIT pour le 1er trimestre 2013 », sur insee.fr (consulté le ).
  79. Le patrimoine de Marly-le-Roi
  80. « Espaces Verts », sur Ville de Marly-le-Roi.
  81. Paris, Musée national d'art moderne, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou
  82. Visite aux archives municipales de Marly-le-Roi, publié le 18 janvier 2014 par Nicolas Prévost, sur le site du Collège Louis Lumière (consulté le 24 décembre 2017)
  83. a b c d e f g et h Marly-le-Roi : Cimetière Bouilhet, publié le 27 mars 2009 par Philippe Landru, sur le site Cimetières de France et d’ailleurs (consulté le 24 décembre 2017)
  84. « Marly : la maison d'Alexandre Dumas fils cherche un nouveau propriétaire », publié le 22 avril 2016 par Virginie Grolleau, sur le site de L'Obs (consulté le 24 décembre 2017)
  85. Inventaire après décès d'Alexandre Dumas, publié sur le site des Archives de France (consulté le 24 décembre 2017)
  86. a et b Anciens maires, publié sur le site de la Mairie de Marly-le-Roi (consulté le 24 décembre 2017)
  87. André Theuriet est élu en 1896 au fauteuil no 2, publié sur le site de l'Académie française (consulté le 24 décembre 2017)
  88. Les amis d'Alfred Sisley, publié en 2016 sur le site d'alfred-sisley.com (consulté le 24 décembre 2017)
  89. Anne Delage ou Simon De Lage dite Simone Arnaud, sur le site artlyriquefr.fr (consulté le 26 décembre 2017)
  90. Simone Arnaud (1850-1901), mise à jour du 7 février 2017 sur le site Data.bnf.fr (consulté le 26 décembre 2017)
  91. Patrimoine ancien : L’atelier Maillol, publié sur le site de la Mairie de Marly-le-Roi (consulté le 24 décembre 2017)
  92. [PDF] Plaquette : Le Vieux Marly, page 2/2, publié le 26 juin 2014 sur le site levieuxmarly.fr (consulté le 24 décembre 2017)
  93. Archives de la classe de trombone des CNSMD, publié par Nicolas Moutier, sur Le site du Trombone (consulté le 24 décembre 2017)
  94. [PDF] Le Domaine des Grandes Terres à Marly-le-Roi, page 3/22, publié le 15 juin 2013 sur le site du Plan Urbanisme Construction Architecture (Puca) (consulté le 24 décembre 2017)
  95. « Marcel Durand », sur GeneaNet (consulté le ).
  96. « Biographie Marcel Durand », sur GeneaNet (consulté le ).
  97. « Une allée pour le père de la cuisine moderne », publié le 5 octobre 2001 par Véronique Beaugrand, sur le site Le Parisien (consulté le 24 décembre 2017)
  98. « Décès de François Henri de Virieu », publié le 28 octobre 1997 sur le site L'Orient-Le Jour (consulté le 24 décembre 2017)
  99. Un nouveau nom pour la bibliothèque municipale, publié sur le site de la Bibliothèque et centre multimédia Pierre Bourdan (consulté le 24 décembre 2017)
  100. Simone Renant, sur le site cinememorial.com (consulté le 24 décembre 2017)
  101. « La résidence des Grandes Terres », publié le 14 novembre 2016 par PhilDpr, sur le site Les panneaux Michelin (consulté le 24 décembre 2017)
  102. Naissance du conservatoire, publié sur le site de la Mairie de Marly-le-Roi (consulté le 24 décembre 2017)
  103. Jean Witold, publié sur le site de l'Orchestre de Marly (consulté le 24 décembre 2017)
  104. « Hugues Aufray : La célébrité est un poison », publie le 12 août 2017 par Ludovic Perrin, sur le site lejdd.fr (consulté le 24 décembre 2017)
  105. Conservatoire Roger Bourdin de Marly-le-Roi, publié le 27 septembre 2016 sur le site de Facebook (consulté le 24 décembre 2017)
  106. Interview : Danakil, l’ADN du reggae, publié le 9 décembre 2016 par Bertrand Lavaine, sur le site de Radio France internationale (consulté le 24 décembre 2017)