Stade de la Côte Feuillée

tremplin de saut à ski

Stade de la Côte Feuillée
Image illustrative de l’article Stade de la Côte Feuillée
Les tremplins de Chaux-Neuve.
Généralités
Pays France
Ville Chaux-Neuve
Coordonnées 46° 40′ 44″ nord, 6° 07′ 59″ est
Création 1990
Caractéristiques
Point K K 106, K 56[note 1],[1], K 28[2], K 10, K8
Taille HS HS 118, HS 64[note 1], HS 28
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Stade de la Côte Feuillée

Le stade de la Côte Feuillée est un stade comprenant des tremplins de saut à ski, situé à Chaux-Neuve dans le département français du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Construit dans l'optique des Championnats du monde junior de ski nordique 1990, le site accueille depuis 1996 des courses de la Coupe du monde de combiné nordique. Au fur et à mesure, l'étape de Chaux-Neuve est devenue une étape incontournable de cette compétition. Le stade accueille également des compétitions estivales, ainsi que l'arrivée de la Transjurassienne en 2018.

Le stade de la Côte Feuillée possède cinq tremplins construits en 1989 et en 1995. Le plus grand tremplin est progressivement amélioré et il est devenu en 2010 un HS 118[note 2]. Le record du tremplin est détenu par le Suisse Sandro Hauswirth avec une distance de 121,5 mètres.

Géographie modifier

Les tremplins se situent à Chaux-Neuve en Franche-Comté[2]. Cette petite commune du Doubs est située à 1 000 m d'altitude sur les montagnes du Massif du Jura et à 6 km au sud de Mouthe, village surnommé « La petite Sibérie de France » en raison de son record de basse température à −36,7 °C, la plus froide enregistrée en France[3]. Mouthe accueille traditionnellement l'arrivée de la Transjurassienne[4].

Histoire modifier

Dès le début du XXe siècle, des concours de saut sont organisés à Chaux-Neuve[5],[6]. Un club, le Ski Club du Risoux, est créé en 1909[7]. En 1965, un projet de construction d'un tremplin olympique débute sous l'impulsion de la commune de Chaux-Neuve et d'une subvention de la Direction de Jeunesse et Sports, mais des problèmes dus aux travaux de terrassement et au financement ont conduit à l'abandon de celui-ci[2],[8],[7]. Vingt ans plus tard, les communes des environs décident de se joindre au projet et le stade voit le jour notamment en prévision des championnats du monde junior de ski nordique 1990[9],[2]. Le tremplin est construit entre 1989 et 1990 sous la direction de l'architecte Gérard Boucton[2]. La construction coûte environ 15 millions de francs[10]. Le tremplin est inauguré en , mais les championnats du monde juniors sont déplacés en raison du manque de neige à Chaux-Neuve[7]. Au mois de , le stade accueille une manche de la Coupe du monde B[2]. Depuis 1996, le stade accueille chaque année une épreuve de Coupe du monde de combiné nordique[2].

Le tremplin est reclassé en HS 100 en 2005[9]. En 2010, le plus grand tremplin est rénové pour la somme de 6 millions d'euros[9]. La piste a été allongée et réfrigérée, ce qui permet au tremplin de devenir un HS 118[9],[11]. En 2012, les tremplins sont équipés d'aire de réception en plastique afin d'être utilisés toute l'année[6].

Un temps évoqué comme possible tremplin pour les épreuves des Jeux olympiques de la jeunesse d'hiver de 2020[12], Chaux-Neuve n'est finalement pas retenu pour accueillir les épreuves de saut et de combiné nordique[13]. Le site des Tuffes est finalement choisi par le comité d'organisation[14]. En 2018, l'arrivée de la Transjurassienne est fixée aux pieds du tremplin pour la première fois en raison du faible enneigement à Mouthe[4].

Description du stade modifier

Détail technique du plus grand tremplin[6],[15]
Schéma d'un tremplin de saut à ski.
Présentation générale d'un tremplin.
Le Grand tremplin de Chaux-Neuve vu de face.
Le Grand tremplin avec la première ligne rouge qui représente le point K et la deuxième ligne rouge, le point HS.
Point K [note 3],[16] 106
HS [note 4], [17] 118
Longueur de la piste d'élan 98 mètres
Angle d'inclinaison de la table 11 °
Angle d'inclinaison du point K 33,230°

Le stade de la Côte Feuillée possède cinq tremplins construits en 1989 et en 1995[2],[9]. Trois tremplins sont construits en 1989 : le K 90, le K 57 et le K 28[6]. Les deux tremplins d'initiation, le K 10 et le K 8 sont ouverts en 1995[9].

Le plus grand tremplin a progressivement évolué d'un K 90 vers un K 106 (HS 118)[9]. Il compte une piste d'élan de 98 mètres qui est réfrigérée depuis 2010[6],[11]. Depuis 2016, le K 57[note 1] dispose d'un système similaire[18]. L'aire de réception des tremplins est équipée d'une couverture plastique depuis 2012[6]. Petit à petit sont ajoutés des gradins, une tour de contrôle, une rotonde servant de vestiaire, de salle de presse, de salle d'arbitrage, un télésiège et des canons à neige[2]. Ces améliorations étaient nécessaires afin de maintenir le tremplin dans le circuit international[19],[20].

Les trois tremplins les plus grands sont homologués par la Fédération française de ski et les deux plus grands sont homologués par la Fédération internationale de ski[21],[note 1].

Plusieurs pistes de 1,5 km à 2,5 km existent à proximité du tremplin pour les courses de ski de fond[9]. En 2015, une passerelle est créée et le parcours des pistes modifié en 2016[22],[23]. La parcours passe de 2,5 km à 2 km ce qui signifie que les athlètes passent cinq fois dans le stade, que la piste est plus facile à maintenir enneigée et que les spectateurs sont plus condensés le long du parcours[24]. L'arrivée de la course de ski de fond a lieu sur l'aire de réception du tremplin[24].

Événements organisés sur les tremplins modifier

Coupe du monde de combiné nordique modifier

Des maisons blanches au toit rouge avec en arrière-plan un tremplin.
Vue du village de Chaux-Neuve avec le tremplin en arrière-plan.

Une épreuve de Coupe du monde est prévue en mais elle est finalement déplacée à Saint-Moritz en raison des conditions climatiques[25]. Deux ans plus tard, les bénévoles de trois clubs (l’AS Mouthe, le ski-club du Mont noir et le Risoux club) fondent l’association pour un stade nordique international afin de gérer l'organisation des événements internationaux sur le tremplin[25].

En 1996, il est organisé pour la première fois une manche de la Coupe du monde de combiné nordique qui rend hommage aux enfants du pays : Fabrice Guy et Sylvain Guillaume[26]. En 1999 et 2000, les épreuves sont organisées en collaboration avec les Suisses lorsque les manches se déroulaient encore en un week-end : le saut avait lieu à Chaux-Neuve le samedi et la course de fond au Brassus (Canton de Vaud) le dimanche[26],[27]. En raison d'un problème de droits télévisés, les compétitions ne peuvent être retransmises en direct[27],[28].

En 2003, l'épreuve accuse un déficit de 45 000 [26]. En 2009, la compétition revient boostée par Jason Lamy-Chappuis[26]. L'épreuve rassemble environ 30 000 spectateurs internationaux en un week-end avec un budget d'environ 400 000  et impliquant 400 bénévoles[26]. En 2012, trois courses sont organisées[29]. Alessandro Pittin réalise le triplé devant 15 000 spectateurs[30],[31]. En 2019, le « Triple » est organisée à Chaux-Neuve, en lieu et place de Seefeld in Tirol[32].

En quinze ans, cette épreuve est devenue un rendez-vous incontournable de la Coupe du monde de combiné nordique[26]. Elle est appréciée par de nombreux athlètes parmi lesquels Felix Gottwald, Mario Stecher ou Jason Lamy-Chappuis qui considère l'épreuve comme l'Alpe d'Huez du combiné[26],[33],[22]. En 2020, il n'y a pas d'épreuves de la Coupe du monde en raison des Jeux olympiques de la jeunesse d'hiver de 2020[34]. En raison de la pandémie de coronavirus, l'édition 2021 est également annulée[35]. En effet, les organisateurs ont besoin d'un nombre important de spectateurs pour équilibrer le budget de l’organisation et ils craignent une édition à huis clos[35]. La Coupe revient au calendrier en 2023[36]. En 2022, il est annoncé que les associations gérant l’organisation des coupes du monde de Chaux-Neuve et de la Station des Rousses (ski de fond) se regroupent au sein de Nordic Evenements[37]. L'édition 2023 est finalement annulée en raison du manque de neige[38].

Autres compétitions modifier

Construit dans l'optique des championnats du monde junior de ski nordique 1990 prévu fin , le tremplin est inauguré par un Coupe OPA le [7]. Cependant deux semaines plus tard, pour les championnats du monde juniors, la neige a fondu et la compétition n'a finalement pas lieu sur le tremplin[7].

Quelques mois après la fin de construction, le stade accueille en une manche de la Coupe du monde B[2]. La course est remportée par le Meuthiard Fabrice Guy[22]. Des championnats de France, notamment en 2015[22], et de Suisse de saut à ski et de combiné nordique ont été organisés sur le tremplin[39]. En , les finales de Coupe OPA de combiné nordique et Alpen Cup de saut à ski (en) sont organisées sur le tremplin[40]. Lors de ces compétitions, le Suisse Sandro Hauswirth (de) porte le record du tremplin à 121,5 mètres[41],[6].

Des compétitions estivales en saut et en combiné nordique (rollerski) sont également organisées depuis la création du tremplin[42].

Résultats et records modifier

Résultats des compétitions de Coupe du monde modifier

Résultats des compétitions de Coupe du monde de combiné nordique[39]
Date Format Premier Deuxième Troisième
Gundersen individuel – K 90 / 15 km Kenji Ogiwara Knut Tore Apeland Halldor Skard
Gundersen individuel – K 90 / 15 km Milan Kučera Felix Gottwald Ludovic Roux
Gundersen individuel – K 90 / 15 km Samppa Lajunen Todd Lodwick Ladislav Rygl
Gundersen individuel – K 90 / 15 km Samppa Lajunen Jaakko Tallus Mario Stecher
Gundersen individuel – K 90 / 15 km Felix Gottwald Ronny Ackermann Todd Lodwick
Gundersen individuel – HS 100 / 10 km Magnus Moan Anssi Koivuranta Björn Kircheisen
Gundersen individuel – HS 100 / 10 km Anssi Koivuranta Christoph Bieler Magnus Moan
Gundersen individuel – HS 100 / 10 km Magnus Moan Jason Lamy-Chappuis Todd Lodwick
Gundersen individuel – HS 100 / 10 km Magnus Moan Jason Lamy-Chappuis Mario Stecher
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km David Kreiner Mikko Kokslien Felix Gottwald
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Jason Lamy-Chappuis Felix Gottwald Mikko Kokslien
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Alessandro Pittin Jason Lamy-Chappuis Fabian Riessle
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Alessandro Pittin Jason Lamy-Chappuis Fabian Riessle
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Alessandro Pittin Jørgen Graabak Mikko Kokslien
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Tino Edelmann Bernhard Gruber Akito Watabe
Sprint par équipes – HS 118 – 2 × 7,5 km Drapeau de l'Allemagne Allemagne I Drapeau de la Norvège Norvège I Drapeau de la France France I
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Mikko Kokslien Magnus Krog Jørgen Graabak
Sprint par équipes – HS 118 – 2 × 7,5 km Drapeau de l'Allemagne Allemagne II Drapeau de la Norvège Norvège II Drapeau de l'Allemagne Allemagne I
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Eric Frenzel Fabian Riessle Magnus Moan
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Magnus Moan Magnus Krog Bernhard Gruber
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Eric Frenzel Bernhard Gruber Akito Watabe
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Fabian Riessle Eric Frenzel Akito Watabe
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Johannes Rydzek Fabian Riessle Akito Watabe
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Fabian Riessle Johannes Rydzek Eric Frenzel
Gundersen individuel – HS 118 / 10 km Jan Schmid Akito Watabe Ilkka Herola
Par équipe HS 118 - 4 × 5 km Drapeau de la Norvège Norvège Drapeau de l'Allemagne Allemagne Drapeau de la Finlande Finlande
Gundersen individuel – HS 118 - 5 km Franz-Josef Rehrl Espen Bjørnstad Fabian Rießle
Gundersen individuel – HS 118 - 10 km Franz-Josef Rehrl Akito Watabe Fabian Rießle
Gundersen individuel – HS 118 - 15 km Mario Seidl Fabian Rießle Franz-Josef Rehrl

Records du tremplin modifier

Hommes modifier

Records du tremplin chez les hommes depuis les travaux d'agrandissement en 2010[6]
Date Athlète Distance Compétition
Jason Lamy Chappuis 115 mètres
Luca Egloff (de) 115,5 mètres
Christoph Bieler 116,5 mètres Coupe du monde
Wilhelm Denifl 120 mètres Coupe du monde
Eric Frenzel 120 mètres Coupe du monde
Jason Lamy Chappuis 120,5 mètres Championnat de France
Vincent Descombes Sevoie 120,5 mètres Championnat de France
Sandro Hauswirth (pl) 121,5 mètres Alpen Cup de saut à ski (en)

Femmes modifier

Records du tremplin chez les femmes depuis les travaux d'agrandissement en 2010[6]
Date Athlète Distance Compétition
Coline Mattel 101 mètres Championnat de France
Coline Mattel 105 mètres
Coline Mattel 108 mètres
Léa Lemare 113 mètres Championnat de France

Personnalités liées au stade modifier

Bibliographie modifier

  • Olivier Givre, Voyage dans le monde du saut : stade de saut à ski de la Côte Feuillée, Chaux-Neuve : un site, une histoire, Parc naturel régional du Haut-Jura, , 37 p. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Nordic Evénements, Dossier de presse Chaux-Neuve Coupe du Monde de Combiné Nordique 16-17 janvier 2016, , 9 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Jacques Piguet, Épreuves internationales de ski Le Brassus Vallée de Joux, Jacques Piguet, , 336 p. (résumé).
  • [vidéo] « L'émission spéciale “Chaux-Neuve a 20 ans” », France 3 Franche-Comté,‎ (lire en ligne).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. a b c et d Le deuxième plus grand tremplin est un K 56 et HS 64 l'hiver et un K 57 et HS 60 l'été. Il est homologué par la FIS dans sa configuration hivernale.
  2. HS : hill size [de hill, colline], sigle anglais utilisé pour « taille de tremplin ». Le chiffre associé correspond au plus long saut possible effectuable en sécurité.
  3. Le point idéal d’atterrissage sur la piste est le point K.
  4. Depuis 2004, le FIS utilise le point HS pour définir la taille d'un tremplin (en lieu et place du point K). Le HS (hill size) est la longueur entre la fin de la piste d'élan et la fin de la zone d'atterrissage.

Références modifier

  1. Fédération française de ski, « Liste des tremplins homologués » [PDF], .
  2. a b c d e f g h i et j Olivier Givre 2006, p. 5.
  3. « Mouthe, village le plus froid de France : explications », sur meteofrance.fr, .
  4. a et b Sophie Courageot, « Transjurassienne : Mouthe/Chaux-Neuve, qui va gagner l'arrivée de la Transju ces prochains hivers ? », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  5. Blandine Costentin, « Chaux-Neuve 2017 : le combiné nordique en quatre vidéos », sur francebleu.fr, .
  6. a b c d e f g h et i (en) « Chaux Neuve », sur skisprungschanzen.com.
  7. a b c d et e Sophie Courageot, « Le “Grand Direct de Midi” au tremplin de Chaux-Neuve », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  8. (de) « Chaux-Neuve - La Côte Feuillée », sur berkutschi.com.
  9. a b c d e f g et h Nordic Evénements 2016, p. 6.
  10. Olivier Givre 2006, p. 7.
  11. a et b « Un nouveau tremplin de dimension internationale », sur villagesfm.com, .
  12. Sébastien Cala, « Les Championnats suisses de saut de retour à la vallée de Joux », sur laregion.ch, .
  13. « Et si le massif du Jura recevait les Jeux olympiques de la Jeunesse d’hiver en 2020 », sur nordicmag.info, .
  14. « Le stade des Tuffes fait sa mue internationale », sur nordicmag.info, .
  15. Olivier Givre 2006, p. 3.
  16. Philippe Bécret, Alexandre Capron, Arnaud de Prelle et Bruno de Waeghe, Projet Modélisation : Dimensionnement d’un tremplin de saut à ski, 2002-2003, 41 p., PDF (lire en ligne), p. 6.
  17. (en) FIS, Jumping Hills - Construction norm 2018, PDF (lire en ligne).
  18. Lila Lefebvre, « Chaux-Neuve s'offre un nouveau tremplin pour les championnats de France de combiné nordique », sur francebleu.fr, .
  19. France 3 Franche-Comté 2016, p. 6.
  20. « Chaux-Neuve : Du sport et des retombées économiques », .
  21. « Liste des tremplins homologués » [PDF], sur ffs.fr.
  22. a b c et d « Chaux-Neuve : l'après Lamy-Chappuis », Nordic Magazine, no 17,‎ , p. 44-48.
  23. « Chaux-Neuve : les Allemands en conquérants », Nordic Magazine, no 21,‎ , p. 108-109.
  24. a et b Sophie Courageot, « La piste de ski de fond change de tracé et de profil », .
  25. a et b « En 15 ans, Chaux-Neuve est devenu un tremplin incontournable », .
  26. a b c d e f g h i j et k Jean-Pierre Bidet, « « L'Alpe-d'Huez du combiné » », L'Equipe,‎ .
  27. a et b Jacques Piguet 2017, p. 295.
  28. Jacques Piguet 2017, p. 304.
  29. Jean-Pierre Bidet, « Trois chances au pays », L'Équipe,‎ .
  30. Sophie Courageot, « Chaux-Neuve 2012 : Triplé pour Alessandro Pittin », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  31. « Valérie Fourneyron sur les traces du Nordique », sur sports.gouv.fr, .
  32. Sophie Courageot, « Chaux-Neuve : c'est quoi cette épreuve de triple, la première sur le tremplin du Haut-Doubs ? », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  33. « I love CN », Nordic Magazine, no 10,‎ , p. 86-89.
  34. (en) « Nordic Combined committees meet in Zürich », .
  35. a et b Julien Laurent, « Combiné nordique : pas de manche mondiale en 2021 non plus à Chaux-Neuve », .
  36. Bertrand Joliot, « Pendant les Jeux Olympiques de la jeunesse, Chaux-Neuve continue », sur estrepublicain.fr, .
  37. Florian Burgaud, « Ski nordique : les associations organisatrices des coupes du monde de Chaux-Neuve et de la Station des Rousses s’allient », sur nordicmag.info, .
  38. « La FIS a snobé Chaux Neuve », sur ski-nordique.net, .
  39. a et b Nordic Evénements 2016, p. 7.
  40. « Dossier de presse Finales de la Coupe d'Europe 2018 » [PDF], sur worldcup-chauxneuve.fr, p. 8.
  41. « Saut à ski », sur nordicmag.info, .
  42. « Les images d'un remarquable prix d'été à Chaux-Neuve », sur estrepublicain.fr, .
  43. Olivier Givre 2006, p. 10.

Liens externes modifier

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